DIAGNOSTIC STRATEGIQUE POUVANT MENER L’ENTREPRISE A UNE SITUATION PROFITABLE

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Quantitatifs

Augmentation du pourcentage de part de marché :

Pour que cet objectif soit atteint, il est nécessaire de faire une étude Marketing et des parts de marché possible.

Maximisation du profit

Toute Entreprise cherche à maximiser son profit. Celle-ci est réalisable par l’adoption d’une stratégie d’augmentation du Chiffre d’Affaires et de la limitation des dépenses.

Eviter les résultats déficitaires

Le compte de résultat dégage la différence entre lemontant des produits et des charges totales comptabilisés durant une année. L’activité annuelle sera bénéficiaire si les produits sont supérieurs aux charges.
Le Chiffre d’affaires doit couvrir toutes les charges (fixes et variables) pour que le résultat ne soit pas déficitaire. Par contre, pour une Entreprise a but lucratif, c’est-à-dire qui cherche des profits, un résultat nul signifie sa disparition..

Qualitatifs

Amélioration des relations avec les tiers

Il doit toujours y avoir une étroite collaboration avec les tiers en particulier les partenaires sur le marché (Clients, Fournisseurs, banque)
– La négociation avec les fournisseurs est nécessaire en ce qui concerne le délai des paiements des dettes, rallongement selon les conventions entre deux parties.
– L’acquisition de nouveaux clients nécessite une bonne relation avec les tiers. Il faudra donner une image de confiance aux clients potentiels et aux nouveaux clients.

Satisfaction des clients

– Améliorer la performance et la qualité des travaux de la construction en tenant compte des suggestions des clients
– Respecter les délais d’exécution des travaux pourrépondre aux besoins des clients
– Chercher à améliorer la conformité optimale des produits fabriqués avec les recommandations imposées par le client.

Recherche des qualités techniques

Celle-ci est nécessaire afin de connaître les attentes du marché non encore satisfaites.

THEORIE GENERALE SUR LA GESTION COMPTABLE

Le système Comptable

Approche théorique

La comptabilité peut être variable selon son utilit é et ses caractéristiques. Il y a trois sortes de comptabilité
– La comptabilité générale
– La comptabilité analytique
– La comptabilité nationale
Dans notre étude, on va faire une analyse plus détaillée sur la comptabilité générale.

Définition

La comptabilité générale est le recensement et la mesure des flux des faits matériels, juridiques et économiques d’une Entreprise.
C’est une technique d’organisation de l’information financière permettant de saisir, classer et enregistrer les données de base chiffrées ainsi que de fournir, après traitement approprié, un ensemble d’informations conformes aux besoins des différents utilisateurs.
C’est un outil d’analyse :
normalisée car elle permet : d’évaluer, de contrôler l’Entreprise et de comparer ses performances à celles d’Entreprises similaires.
chronologique car elle fournit un enregistrement des opérations qui ont modifié le patrimoine d’une Entreprise entre deux périodes. Elle permet l’observation comparative (état des dettes, créances, trésorerie, volume d’affaires réalisées, résultats dégagés, dividendesversés).
obligatoire :
L’établissement du bénéfice fiscal servant de baseau calcul de l’impôt sur les bénéfices ou sur le revenu.
Aux tiers (dirigeants, propriétaires, prêteurs actu els ou potentiels de l’Entreprise) de mesurer sa solvabilité (capacité à payer ses dettes sa rentabilité, capacité à dégager du bénéfice, et servir de base à une évaluation de sa valeur)
En outre, elle permet :
la consultation et l’édition des détails du soldedes comptes de tiers
la surveillance fiable et rentable du respect des conditions de règlements des tiers.

Différents types de systèmes

système classique

C’est un système servant à exécuter les tâches comptables à partir des pièces nécessaires à l’enregistrement. L’Entrepriseest tenue de faire la mise à jour de ses opérations courantes durant la journée.
Le système classique est un système de base d’organisation de la comptabilité permettant à l’Entreprise de disposer de nombreuses informations durant la réalisation de l’activité. Ces informations sont reflétées dans la balance et le grand livre. Chaque opération est enregistrée dans un compte ouvert suivant les normes du Plan Comptable Général 2005.

Documents comptables utilisés

Les documents courants

le journal enregistre les écritures de façon chronologique. Chacune d’elles comporte les sommes débitées et créditées, le numéro du compte utilisé, la date et un court libellé explicatif.
le plan comptable recense la liste des comptes
le grand livre présente les écritures regroupées par compte ; il permet de justifier leurs soldes.
La liste des écritures est portée sur un bordereau de saisie appelé aussi Journal des écritures (ce journal est listé spécifiquement par type d’écritures contrairement au simple bordereau). A noter cependant que la plupart des comptabilités sont maintenant tenues grâce à des logiciels qui ont dém atérialisé un journal (il n’est plus systématiquement tenu sous format papier)

Les documents de synthèse

A la clôture de l’exercice comptable qu’il soit mensuel ou annuel, la comptabilité produit les documents de synthèse suivants :
la balance générale qui présente la situation pour chaque compte. Elle ne fournit pas les détails des écritures passées.
le bilan
les balances annexes des tiers (fournisseurs, clients, personnel,…)
le compte de résultat, qui est la synthèse des comptes de charges et de produits de l’exercice,
Le solde entre les charges et les produits représente le bénéfice ou la perte.
les annexes au bilan pour commenter et compléter l’information comptable.
un reporting plus ou moins élaboré en fonction des besoins de
l’Entreprise qui synthétise les données de la comptabilité analytique.

Méthodes pratiques actuelles

Normes IAS/IFRS

Au 1er janvier 2005, la commission européenne impose aux sociétés cotées européennes, soit cinq millions d’Entreprises, d’adopter les normes comptables IFRS afin d’unifier le langage comptable à l’aide des règles applicables au sein de l’Union.
Lourd, complexe et coûteux, ce passage aux normes I AS (International Accounting Standards) ou IFRS (International Financial Reporting Standards) représente un chantier important dont seules 55% des Entreprises cotées en moyenne y sont préparées. Ce résultat indique que el processus général de préparation est plus lent et tardif que le délai prévu par les experts.

Mais le changement de normes est aussi un formidable levier pour l’émergence d’un marché financier européen qui a pour objectifs de mieux traduire « comptablement » la réalité économique des Entreprises, optimiser l’efficacité du marché intérieur européen, redonner confiance aux investisseurs, et à long terme, améliorer la compétitivité et la croissance des Entreprises européennes.
Le changement de référentiel est donc un sujet stratégique et ce sont les Entreprises qui, grâce à leur communication financi ère, se montreront les plus transparentes et accompagneront le mieux leurs publics dans la compréhension de l’impact de ce changement qui s’en sortiront gagnantes.
Pourtant, les PME (Petites et Moyennes Entreprises) et PMI (Petites et Moyennes industries) ne sont pas en mesure de se mettre aux nouvelles normes de façon aussi rapide et exhaustive, et ne peuvent présenter leurs documents de synthèse selon ces normes. Elles devront cependant appliquer les modifications du plan comptable général induites par le processus de normalisation

Principe

Afin de rendre l’information économique, commerciale ou financière vérifiable et sûre, la comptabilité générale utilise la notion de flux lors des enregistrements comptables
Le principe de base de la comptabilité générale consiste à enregistrer tous les événements économiques (appelés flux) sur deux colonnes : l’opération et sa contrepartie .Les deux colonnes s’appellent respectivement « débit » et « crédit ». La notion de flux répond à un principe ; tout emploi suppose une ressource, et il n’y a de ressource qui ne correspond pas à son emploi (partie double).
Lors d’un enregistrement comptable, le total débit est donc toujours égal au total crédit.

Principes de décision d’endettement

Le financement externe de l’Entreprise

Pour sa survie, l’Entreprise doit être financée par des capitaux étrangers, à savoir les crédits bancaires, et aussi les crédits fournisseurs car toutes les charges ne peuvent être couvertes sans délai de paiement.
La théorie sur le financement a démontré des ources d’acquisition des capitaux étrangers, mais il faut qu’on choisisse le mode de financement approprié à la Société.

Sources de financement

L’approche institutionnelle des systèmes financiers oppose traditionnellement deux types d’économies :
– Les économies anglo-saxonnes basées sur le marchéfinancier
– Les économies d’Europe continentale dominées parle système bancaire 2-1-1-1 Le financement sur le marché financier
Dans certains cas, la Société S.T.B envisage de chercher un financement sur le marché financier. Etant donné que les acheteurs et vendeurs sont anonymes, l’échange des titres est standardisé. Par conséquent, nous conseillons le Gérant d’avoir la crédibilité sur leur décision financièresinon l’endettement emmènera à la faillite, voire même à la dissolution de l’Entrepri se au lieu de lui procurer une nouvelle croissance.

Le financement dominé par la banque

La Société S.T.B dispose de comptes ouverts dans trois banques à savoir, la B.M.O.I (Banque Malgache de l’Océan Indien), la B.F.V – SG (Société Générale) et la M.C.B (Mauritius Commercial Banks)
C’est auprès de cette dernière que la Société contracte des prêts pour ses besoins d’investissement, la B.M.O.I et la B.F.V sont destinées uniquement aux dépôts à vue.

Choix de financement

Les Entreprises ont des priorités dans le choix de financement :
En premier lieu, l’autofinancement car celle-ci ne nécessite pas des demandes de fonds auprès des tiers exposant l’Entreprise à un engagement de remboursement.
Les dirigeants devront ainsi adopter une politique de distribution de dividendes en fonction de leurs projets d’investissement.
Selon les années, les résultats et les opportunités étant variables, les Entreprises devront utiliser leur trésorerie.

Si cela ne suffit pas et qu’il faut faire appel à un financement externe, elles choisiront de contracter des dettes moins coûteuse s et faciles à négocier.
Si l’Entreprise ne peut pas faire appel à l’endettement classique, elle émettra des titres en partant du moins risqué vers le plus risqué (titres représentatifs de l’endettement tels que les obligations, le bon de trésor,…et les titres représentatifs de capitaux propres à savoir les actions).

Les outils de gestion

Pour optimiser la gestion de l’Entreprise, il serait nécessaire d‘utiliser les outils de gestion. En principe voici les outils de gestion qu’il faudra considérer si on veut conduire l’Entreprise à une situation profitable.

Les comptes prévisionnels

Définition

Les prévisions se présentent sous formes de documents comptables qui sont établis à l’avance, pour les exercices à venir ou pour l’exercice qui va débuter. Ils comprennent à la fois un bilan et un compte de résultats prévisionnels et un tableau prévisionnel de trésorerie.

Utilité

L’utilisation de cet outil de gestion présente des intérêts pour l’Entreprise : il permet de fixer des objectifs, en termes de chiffre d’affaires, de marge et de charges notamment. Ainsi, on peut comparer en permanence les réalisations avec les prévisions, pendant l’année, à l’aide du ableaut de bord mensuel, et en fin d’exercice lors de l’arrêté des comptes définitifs.
il permet de chiffrer plusieurs hypothèses de travail. On peut alors, en toute connaissance de cause, prendre les décisions de développement des affaires qui s’imposent, au regard des objectifs à atteindre à des moyens que nécessite leur réalisation.

Démarche prévisionnelle

On peut découper la démarche permettant d’élaborerdes prévisions en cinq étapes principales :
La définition des orientations pour l’année : objectif de croissance annuelle, lancement d’une gamme de produits nouveaux, etc.
La définition des moyens nécessaires pour atteindre l’objectif et assurer leur financement : investissements, embauches, etc.
La valorisation du chiffre d’affaires prévisible en fonction des orientations qui sont définies et des objectifs à atteindre. Mais cette évaluation doit être réaliste et en cohérence avec la capacité de l’Entreprise. Pour cela, elle doit s’appuyer sur les performances passées.
L’estimation des charges prévisionnelles par le listage de l’ensemble des charges de l’Entreprise, en les analysant une à une, en portant une attention toute particulière aux plus sensibles.
Le chiffrage de la trésorerie prévisionnelle, afin d’anticiper les besoins, pour négocier par avance avec les partenaires financiers si nécessaire.

Le tableau de bord

Définition

C’est un document mensuel d’information financière établi en fonction de besoins de l’Entreprise. Ce tableau devrait dégager une situation nette et claire de la société (état des fournisseurs à payer, situation de trésorerie existante,…)
Il permet de suivre régulièrement, tout au long de l’exercice, l’évolution de l’activité ; et de disposer, dans des délais brefs, chaque mois, d’une estimation du « score » réalisé par l’entité.

Utilité

Le tableau de bord permet de suivre au plus près le fonctionnement des affaires et de connaître, dans les meilleurs délais, tous les éléments nécessaires à une prise de décision efficace.
Il repose sur une procédure de remontée systématique et périodique de l’information, qui permet de mieux connaître les résultats et l’évolution de l’Entreprise. Mais la mise en place d’un tableau de bord nécessite de repérer au préalable les indicateurs les plus pertinents pour qu’il soit efficace pour juger l’évolution de l’activité.

Les indicateurs à retenir sont ceux qui, à la fois, offrent une information essentielle et sur lesquels on peut mener une action correctrice efficace (nombre de demandes de devis, montant des carnets de commandes, …). Il est ainsi, par exemple, inutile de suivre mensuellement les charges d’impôt ou d’assurance.
En pratique : les éléments qu’il convient de contrôler diffèrent selon la nature de l’activité, ou selon la fonction exercée par le destinataire du document. La présentation de ce tableau peut être synthétisée ou résumée à un suivi d’activité permettant d’obtenir chaque fin de mois une approche suffisante du résultat mensuel.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PARTIE 1 – CADRE D’ETUDE ET METHODOLOGIE
CHAPITRE 1 – PRESENTATION DE LA SOCIETE
Section 1 – Généralités sur la Société
1-1 Identification juridique
1-2 Historique de la Société
1-3 Situation actuelle
Section 2 – Organisation générale
2-1 Organisation interne
2-2 Structure
2-2-1 Structure hiérarchique
2-2-2 Structure fonctionnelle
2-3 Description des tâches
2-4 Activités et Objectifs
2-4-1 Activités
2-4-1-1 Etude
2-4-1-2 Travaux
2-4-2 Objectifs
2-4-2-1 Quantitatifs
2-4-2-2 Qualitatifs
CHAPITRE 2 – THEORIE GENERALE SUR LA GESTION COMPTABLE
Section1 – Le système comptable
1-1 Approche théorique
1-1-1 Définition
1-1-2 Différents types de systèmes
1-1-2-1 système classique
1-1-2-2 système informatique
1-1-2-3 système centralisateur
1-2 Documents comptables utilisés
1-2-1 Les documents courants
1-2-2 Les documents de synthèse
1-3 Méthodes pratiques actuels
1-3-1 Normes IAS/ IFRS
1-3-2 Principes
Section 2 – Principes de décision d’endettement
2-1 Le financement externe de l’Entreprise
2-1-1 Sources de financement
2-1-1-1 Le financement sur le marché financier
2-1-1-2 Le financement dominé par la banque
2-1-2 Choix de financement
2-2 Les outils de gestion
2-2-1 Les comptes prévisionnels
2-2-1-1 Définition
2-2-1-2 Utilité
2-2-1-3 Démarche prévisionnelle
2-2-2 Le tableau de bord
2-2-2-1 Définition
2-2-2-2 Utilité
2-2-2-3 Démarche
2-2-3 Les Etats financiers
2-2-4 Logiciel Ciel Compta
2-2-4-1 Présentation
2-2-4-2 Démarrage et fonctionnement
PARTIE 2 – ANALYSE DE LA SITUATION EXISTANTE
CHAPITRE 1 – ANALYSE DES FORCES ET FAIBLESSES
Section 1 – Points forts, avantages et opportunités
1-1 Au sein de la société
1-1-1 La Comptabilité
1-1-2 Au niveau du magasin
1-1-3 Les moyens matériels
1-1-4 Les moyens humains
1-1-4-1 Organisation
1-1-4-2 Sécurité
1-2 Au niveau externe
1-2-1 Les clients douteux
1-2-2 Coopération avec les partenaires
1-2-2-1 les fournisseurs
1-2-2-2 la banque
1-2-2-3 les clients
1-2-3 Capacité concurrentielle
1-2-4 Existence d’une relation de complémentarité
1-3 Les opportunités
Section 2 – Faiblesses et menaces
2-1 Problèmes internes de la Société
2-1-1 Inexistence d’une Comptabilité Analytique d’Exploitation
2-1-2 Problèmes de communication et de circulation des documents
2-1-3 Inexistence de budget
2-1-4 Inexistence du département informatique
2-1-5 Provisions pour risques inexistantes
2-1-6 Problème sur l’évaluation des stocks
2-2 Menaces et problèmes externes
2-2-1 Négligence de l’analyse concurrentielle
2-2-2 Dépendance de l’activité à un gros fournisseur
2-2-3 Dépendance de l’activité sur la politique
2-2-4 Les menaces économiques
CHAPITRE 2 : DIAGNOSTIC STRATEGIQUE POUVANT MENER L’ENTREPRISE A UNE SITUATION PROFITABLE
Section 1 – Analyse des financements de la Société
1-1 Importance du crédit pour le fonctionnement de la Société
1-1-1 cycle d’exploitation à court terme
1-1-2 cycle d’investissement à long terme
1-2 Prévision de trésorerie
Section 2 – Analyse bilancielle et significations des ratios
2-1 Analyse bilancielle
2-1-1 Le bilan
2-1-2 Le fonds de roulement
2-1-3 Capacité d’Autofinancement
2-2 Significations des ratios
2-2-1 Ratios de structure financière
2-2-1-1 Ratio d’Indépendance Financière
2-2-1-2 Ratio d’Autonomie Financière
2-2-1-3 Ratio de Remboursement des Dettes à long terme
2-2-2 Ratios de rentabilité
2-2-2-1 Ratio de Rentabilité par Rapport à l’Activité
2-2-2-2 Ratio de Rentabilité par Rapport aux Capitaux Investis
2-2-3 Ratios de trésorerie
2-2-3-1 délais de règlement fournisseurs
2-2-3-2 délais de règlement clients
PARTIE 3 : PROPOSITIONS DE SOLUTIONS ET RECOMMANDATIONS GENERALES
CHAPITRE 1 : PROPOSITIONS DE SOLUTIONS
Section 1 : Solutions internes
1-1 Mise en place de la Comptabilité Analytique d’Exploitation
1-2 Gestion des risques
1-3 Circuit des documents
1-4 Création du département informatique
1-5 Gestion budgétaire
1-6 Mise en place d’une gestion de stock
Section 2 : Sur le plan externe
2-1 Stratégie d’analyse concurrentielle
2-2 Prévision des menaces conjoncturelles
CHAPITRE 2 : RECOMMANDATIONS GENERALES
Section 1 : Analyse des impacts de décision
1-1 Au niveau de la Société
1-2 Au niveau de l’économie nationale
1-3 Sur le plan social
Section 2 : Les moyens mobilisés par la Société
2-1 Moyens matériels
2-2 Moyens humains
2-2-1 Projet de réaménagement des tâches
2-2-2 Recrutement
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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