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Essais de définitions
La chronologie a beaucoup plus que des atouts pour cimenter ou pour mieux expliquer les connaissances historiques. Elle est la garantie d’une réussite d’étude historique. De ce fait, il est évident d’apporter quelques définitions à la chronologie suivie de sa grande portée dans l’enseignement d’histoire ainsi que la notion d’une frise chronologique.
Le concept « chronologie »
Etymologiquement, le mot « chronologie » vient du mot latin « kronologia », « khronos » qui veut dire « temps » et « logos » qui signifie « discours ». Ainsi, on appelle chronologie un discours sur le temps ou l’étude des dates. Donc la chronologie est une science des dates, science de la fixation des dates des événements historiques selon Le Petit Robert version 2006.
– « La chronologie est la mise en ordre du temps selon la succession des faits, chaque fait étant système de repérage, d’une échelle du temps. Il s’agît là de pouvoir bien distinguer un fait d’un autre selon sa situation dans le temps : Avant ou Après »2.
– La chronologie est toujours liée à une geste d’unification ou de séparation entre le passé et le présent. Ce mouvement est considéré comme une ascension du flux temporel. Ce flux peut être cyclique et rythmé par le retour ou l’évolution des événements. Pour illustrer voyons cette affirmation : « La chronologie, au sens littéral, est un discours sur le temps. Elle est construite, fabriquée »3. A cette fabrication préside donc une certaine conception du temps qui en est le support.
– La chronologie est aussi une expression d’un besoin de dater le temps pour servir un témoignage de ce qu’il a été. Par ailleurs, « la chronologie a longtemps revêtu des formes multiples selon les lieux et les conditions de sa production. Soit la chronologie éponyme des magistrats d’une cité, des chronologies de rois, chronologie en indiction, chronologie depuis la création du monde, etc. … Noyée sous le nombre, la chronologie n’existait pas. On se souciait peu au quotidien de ces multiples découpages du temps, ceux du pouvoir »4
– la chronologie de « l’ère chrétienne » a réussi l’unification des temps en un seul universel. Mais son origine, son point « zéro » ne fut pas découvert en un jour : Passion ou Incarnation du Christ ? Il a fallu du temps pour découper cet arbitraire du temps pour en devenir l’usage commun au-delà de l’histoire.
– « Une chronologie est une « chronographe » qui scelle le temps dans la pierre, sur un papyrus ou un parchemin sur le papier. Le monde de l’oralité étant sans chronologie n’était pas grand à franchir pour dire qu’il ignorait le temps, qu’il était sans histoire »5. Ainsi, on admet depuis que le nul n’est sans discours à son propos.
Alors simple question, première : L’histoire, comment faire ? Tant on admet que la chronologie est le premier geste du travail historiographique en considérant le temps comme le « principal acteur de l’histoire ». D’où, « il faut faire en sorte
d’appréhender le temps à travers la multiplicité de ses formes et de ses conceptions, de le ramener au dénominateur commun d’une chronologie que nous voudrions »6 Autrement dit, l’importance de la chronologie dans tous ses états.
Ce court essai propose quelques réflexions sur les conceptions de la chronologie et les périodisations adoptées d’habitude dans la discipline d’histoire que nous devons exploiter et utiliser comme il faut. En fait, ces approches sur la chronologie nous ont bien montré qu’elle est une des auxiliaires pédagogiques que nous pouvons utiliser dans l’enseignement de l’histoire afin de bien situer les événements sur une ligne de temps précise.
Caractéristique et spécificité de la chronologie
D’abord, remarquons que si la chronologie est une série de repères, elle ne peut être un but en soi, coupée de ce qu’elle doit permettre de repérer. De plus, les historiens sont devenus très prudents sur la notion même de fait historique qui n’est rien sans leurs interrogations en donnant un sens. Sur ce, nous allons traiter la caractéristique et la spécificité de la chronologie et afin d’y arriver, nous abordons en premier temps la complexité de la temporalité et dans un second temps, nous évoquons que la chronologie ou ma temporalité encadre un événement.
Complexité de la chronologie ou de la temporalité
Si les apprentis ont des grosses difficultés de repérage, c’est aussi parce que les professeurs leur laissent rarement la possibilité de mettre de l’ordre dans une suite d’événement pour en faire l’objet de travail lorsqu’il s’agit de structure. De plus, la situation temporelle est loin d’être facile car le temps repensé par les adeptes n’est pas uniforme. Les échelles changent d’un moment à l’autre. D’où il est nécessaire de savoir voire apprendre à manier en permanence ces différentes valeurs du temps dans la discipline d’histoire.
Le concept « temps » pour l’historien
– L’histoire mesure le temps. Le Temps des durées pratiques, relativement coutres, celui de la montre et du calendrier, un temps cyclique. C’est le temps linéaire et fléché des durées longues que nous comptons en années, siècles, millénaires. Dans ce temps, l’historien voit du sens et pensant globalement le passé, le présent et l’avenir, il pense en termes d’évolution, rupture, permanence, …
En utilisant la datation, il consiste un système de rangement : « la chronologie ». En fait, c’est la chronologie qui donne un effet de continuité de part et d’autre de la lecture linéaire qu’elle induit.
– Cependant d’après BRAUDEL « Le temps historique ne se déroule pas de façon linéaire et uniforme. Il est constitué de trois compositions essentielles.»10
– Le « temps long » qui est le temps de permanences et des évolutions lentes. Un temps qui correspond à l’histoire des civilisations et des mentalités. La périodicité en est le siècle voire le millénaire.
– Le « temps moyens » mesuré en décennies, est celui des cycles démographique ou économiques. Il correspond à l’histoire lentement rythmée. C’est le temps de mutation, des seuils, des ruptures.
– Le « temps court » qui s’écoule au rythme de l’année, du jour, ou de l’heure. C’est le temps de la vie quotidienne, le temps n’est pas une entité prédéterminée et indépendante» 11
– Pour d’autres historiens tels que AUDIGIER12, le temps n’est pas une entité prédéterminée et indépendantes.
En fait, il affirme que « le temps n’est pas une donnée « objective à priori ». Il est donc au contraire la création de l’homme dans son souci de mettre de l’ordre dans l’univers. D’où il ne peut pas être inné chez l’individu qui doit apprendre à se l’approprier.
. Temps long et temps court n’existent en fait que relativement l’un à l’autre donc dans une manière simultané. Prenons l’exemple de la révolution industrielle pour illustrer notre affirmation. En effet, cette dernière avait mis à jour plusieurs ruptures d’échelles de temps différentes.
– La révolution industrielle et/ou sociale? (la machine cause et/ou conséquence et/ou corrélative de cet événement ?)
– Est-ce que c’était la naissance des classes sociales ou le passage d’un mode de vie rural à un mode de vie urbain accompagné d’un fort exode rural?
Dans ce dernier cas, cette transition n’est pas achevée même en France et encore en Afrique ou en Asie; on lit l’événement comme rupture sur un temps long et sur le plan du mode de vie.
Dans le cas de la transformation économique, on est sur un temps plus court considérer qu’en Europe de l’Ouest, dès le XIXe siècle, le capitalisme est triomphant.
Ainsi, on peut alors imaginer de travailler avec plusieurs élèves qui sont regroupés.
D’où, ils essaieront d’étudier sur des ruptures de portées temporelles Or, on ne voit trop souvent des élèves qui ont passé à étudier la Préhistoire ou le Moyen Age quittent cette classe antérieure sans avoir la moindre idée du temps historique.
Mais comment alors aborder la chronologie en classe? Il ne s’agit pas bien sûr de faire des leçons de chronologie, mais de conjuguer les faits étudiés avec des temporalités.
En somme, 3 concepts différents partagent déjà ces conceptions, l’un qui présente la linéarité ou la continuation d’une temporalité, le second qui évoque la différence entre chaque durée temporelle où il n’y a pas de continuation et le dernier qui soutient que la chronologie ne doit pas être un outil préfabriqué mais qui demande une analyse » approfondie.
Mais est-ce que ces 3 visions sont à la portée des élèves ? Certainement pas car même ces historiens trouvent un désaccord à propos de la temporalité.
Spécificité de la temporalité
La temporalité et l’événement semblent être deux concepts inséparables l’une de l’autre.
A vrai dire la temporalité est une manière d’appréhender l’histoire par les événements selon le mode de pensée, le plus souvent religieux en particulier en ce qui concerne l’établissement de son point zéro.
En outre, « la temporalité ou la chronologie est la science de localisation des événements historiques dans le temps » 14
Or un événement n’est en effet reconnu comme important digne d’intérêt que s’il marque une transformation dans l’histoire des hommes. D’ailleurs, le Petit Robert nous rappelle qu’un événement est « un fait auquel vient aboutir une situation, un résultat, ce qui arrive et qui a quelques importances pour l’homme, un événement historique, un fait qui fait date » 15Autrement dit, c’est le passage du fait sur une ligne du temps et qui a changé subitement les habitudes, le train quotidien de l’homme. Ainsi, c’est le temps ou la dotation de ces événements qui est vraiment plus importante à nos yeux. Illustrons comme exemple, si nous voulons rappeler la 1ère Guerre Mondiale, nous répondons les années de 1914 à 1918 où il y avait in tournant socio-politique. Prenons par exemple « l’affaire 2002 à Madagascar », nous nous rappelons de l’année 2002 car ce n’était pas in e année comme les autres, il y avait un événement spécial qui s »est déroulait en donnant un changement dans tous ces états. Cela nous ramène à dire que c’est la temporalité mise en surface qui dégage les événements qui en découle.
Quoi qu’il en soit, il est primordial de ne plus apprendre des dates sans se demander quels sens elles- ont ? D’où l’ambition de l’histoire se conjugue en fonction de ses besoins chronologiques car ces derniers classent et regroupent les faits passées. En effet, d’après DALONGEVILLE A : « l’ambition de l’histoire se résume par l’organisation du passé en fonction du présent »16.
En outre, il faut être conscient du fait que la connaissance pour les élèves sera partielle et incomplète car il est vraiment lion de connaître tous les infimes détails d’un tel ou tel événement c’est-à-dire apporter beaucoup plus d’explication ou de précision à chaque cas. Sur ce, il faut donc veiller à ne pas s’attarder aux détails qui risqueraient de compliquer la compréhension et de garder les idées générales, à rappeler les mentalités des époques étudiées. A vrai dire : « la connaissance événementielle est dite comme la maîtrise des faits historiques qui se déroulent dans une période donnée »17 disait AUDIGIER.
Cependant, cette connaissance événementielle ne vaut rien alors sans l’appui d’une durée ou d’une date bien déterminée. En ce qui concerne alors cette temporalité, il est intéressant de constituer une sorte de répertoire des faits pour l’étude plus particulière autrement dit établir une liste des dates qui pourrait être plus importantes à retenir pour chaque ordre (politique, économique, sociale).
Bref, il faut lier la chronologie avec l’événement, ensuite les étudier simultanément pour les comprendre et savoir les manipuler.
Place de la chronologie dans l’histoire
Prenons conscience que chacun n’a pas été sensible aux mêmes perceptions de lachronologie et qu’il faut un travail de confrontation pour arriver au but. Un but qui est vraiment primordial pour l’enseignement d’histoire. Il s’agit ici de la mise en relation des différents approches et celui de la synthèse des événements abordés qui sont les éléments fondamentaux pour la compréhension d’une évolution historique conjugués avec des séquences chronologiques c’est-à-dire les transformations et la succession des événements sur une ligne de temps qui sont d’ailleurs le sens de l’épaisseur temporel que nous essayons d’expliquer pour mieux situer nous même dans cette suite infinie.
L’objet de la chronologie
A priori, il faut affirmer qu’il n’y a pas de bons cours d’histoire qui ne fassent place à la présentation et à l’étude de quelques branches chronologiques. En effet, « ces ingrédients » à la temporalité sont toujours véhiculés à l’intérieur des cartes, des textes historiques, des tableaux. Que se soit une simple datation ou une chronologie entière, l’intérêt porté à ces études est souvent perçu comme le signe d’un enseignement bien structuré, moderne, rénové.
Secundo, cet enseignement essaye toujours de concilier une adaptation constante pour les élèves avec les impératifs du programme.
Effectivement, l’usage de la chronologie dans l’histoire est obligatoire. Pour ne pas se tromper, la datation d’un événement ou la chronologie des événements demande un champ temporel d’investigation bien précis. Le passé comme le présent ne peut s’appréhender qu’à travers des milliers de passé individuel et collectif dont la somme ne fait pas autant le passé. Le travail qu’on pourrait parler du passé et qu’il suffirait d’accumuler des documents ou d’avoir la bonne méthode pour révéler le passé authentique est une idée non seulement vouée à l’échec mais aussi vide de sens. Cela veut dire » que sans la combinaison entre la temporalité bien structurée avec les faits déroulants, l’existence même de ce dernier ne vaut qu’un récit comme tous les autres de façon plus détaillé. Alors, si l’étude d’un simple événement privée de la chronologie renferme un handicap, il va falloir réajuster notre vision vers la découverte d’une étude historique énumérer avec les questions temporelles c’est à dire la succession des événements sur une ligne de temps ou sur une frise chronologique.
Cette reconstitution du passé est fondée sur une étude de document avec ses vertus chronologiques. D’où l’histoire peut parler des règnes, des découvertes, de l’ organisation des hommes. De plus, l’histoire étudie le passé qui est une suite d’événement en formant une chaîne causale comme nous avons déjà marqué ultérieurement. D’où, le passé explique le présent. Pour appuyer notre affirmation, referons-nous à l’opinion de DALONGEVILLE : « Le travail de l’historien s’apparente à celui du photographe qui révèle grâce à ses produits chimiques, l’image exacte du passé. Elle est un jalon entre nos origines et aujourd’hui » 18
En somme, l’histoire se centre donc sur cette relation présent-passé. Ce va et vient est indiscutable, ne plus l’ignorer c’est se donner les moyens d’une histoire étudiée à travers une chronologie dont l’objet est la connaissance des concepts
Les rôles de la chronologie dans l’enseignement d’histoire
En cours d’histoire, l’enseignant doit mobiliser fréquemment la chronologie ou les dates.
Dans ce cas, il est préférable de s’orienter vers une étude historique avec une démarche chronologique plutôt qu’un dressage d’une histoire thématique dite « éveil ». Ce récit magistral oublie qu’il n’ya de savoir que construit, évoquons également que sa pratique s’est limitée probablement sur la nécessaire structuration de ce que les élèves devaient connaître. Mais l’ornière est aussi profonde dans les pratiques ou l’on veut structurer avec dates et repères car c’est un récit déjà structuré par le maître qui est donné aux élèves en faisant l’impasse sur une activité authentique de structuration de leurs parts.
De même, le récit chronologique serait la seule façon d’écrire l’histoire car l’étude du passé surgit logiquement le présent et l’avenir. Pour illustrer notre affirmation, referons-nous à l’idée de FEBRE: « L’histoire permettait de connaître le passé, elle donnerait du sens au présent peut être à l’avenir, de même le récit chronologique serait la seule façon d’écrire l’histoire car l’étude du passé surgit logiquement le présent et l’avenir » 19 Mais comment alors aborder la chronologie en classe? Il ne s’agit pas bien sûr de faire des leçons de chronologie, mais de se référer sans cesse à une frise chronologique non seulement comme une sorte de récapitulation de la leçon mais aussi à titre d’indication, d’orientation pour ne plus se perdre pendant la leçon. Ainsi, l’étude des faits historiques ne doit jamais être privée de datation « des dates qui sont bien étalées sur le file de temps ».
L’intérêt de la chronologie dans l’étude historique
En histoire, l’importance accordée aux méthodes de travail ou la maitrise du savoirfaire n’empêche pas l’acquisition de quelques connaissances et la mise en place de certains repères chronologiques. Sur ce, la référence à de nombreux événements datés est restée longtemps un des composants de l’enseignement historique qui propose d’apprendre quelques dates et de mettre en relief « les grandes dates » sans préciser le nombre à chaque cursus scolaire. Mais pouvons nous bénéficier de cet apport chronologique lorsqu’il s’agit de comprendre un événement?
La chronologie facilite la compréhension de l’histoire
La chronologie apporte une étude historique bien structurée. Le temps est pluriel, prénoms conscience alors que manier les différentes valeurs du temps est une activité propre à l’homme et nom spécifiquement historique. Déjà le petit enfant se confronte à ce problème : le temps de ses parents n’est pas le sien et il sent le décalage. L’histoire de la famille, les intérêts d’étudier le temps des hommes préhistoriques par exemple posent déjà des problèmes de temps à une échelle très large. C’est pourquoi l’idée de partir d’abord de la famille, puis des évènements contemporains puis plus anciens, sous estime les capacités des enfants ou de l’élève de se repérer dans le temps proche, c’est la linéarité dans la progression de cette conception qui nous semble alors pauvre. Il faut utiliser aussi les témoignages concrets du passé ou les manuels à leur dispositions, cela permet d’accéder à une perception abstraite du temps long. Il semble aussi largement admis que les faits historiques étant des trames de l’histoire, c’est dans l’ordre temporel qui est le leur qu’il convient de présenter aux élèves.
La pratique courante qui était de commencer le programme institutionnel d’histoire par l’origine de l’homme et de progresser chronologiquement pour arriver à l’époque contemporaine ne répond pas de façon efficace à la maîtrise de la temporalité pour l’élève car l’élève risque de délaisser ce qui est déjà étudié précédemment. Illustrons comme exemple : un élève de classe de première risque d’oublier ou ne s’en fiche pas de penser sur le programme en seconde (surtout pur les datations) car il croit que c’est pas nécessaire d’y revenir.
C’est là que la chronologie intervient et va apporter une durée historique précise afin de fixer des repères et de renouveler le processus pour approfondir les connaissances et aborder également des éléments fondamentaux pour la compréhension d’évolution, de transformation et de succession afin de comprendre le déroulement des faits historique.
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Table des matières
PARTIE I: ETUDE THEORIQUE DE L’ENSEIGNEMENT DE LA CHRONOLOGIE
Chapitre I : DEFINITIONS DE LA CHRONOLOGIE DANS L’ENSEIGNEMENT D’HISTOIRE
Chapitre I:ETUDE CRITIQUE DU PROGRAMME D’HISTOIRE
I-1 L’élaboration du Programme actuel
I-1-1 Le contenu du Programme
I-1-2 Les avantages du programme
I-1-2-1 Les points forts du programme
I-2 Les faiblesses du programme
Chapitre II: CONDITIONS GENERALES DU CADRE D’ETUDE
II-1 Les établissements contactés
II-1-1 Le lycée Jean Joseph Rabearivelo
II-1-2 Le lycée Privé Ramamonjy
II-2 Le public cible
II-2-1 Les professeurs d’histoire géographie
II-2-2 Les élèves
III-1-2 Légère approche pour apprendre la chronologie
III-2 Comment les élèves exploitent et/ou utilisent la temporalité ?
III-2-1 Incapacité de maîtriser les relations temporelles
III-2-2 Inefficacité des méthodes d’apprentissage
Conclusion
PARTIE III : REORIENTETION PEDAGOGIQUE
Chapitre I : LA NECESSITE DE LA FRISE CHRONOLOGIQUE
I-1 L’instauration de la pensée chronologique
I-1-1 Réhabilitation de la chronologie
I-1-2 L’ébauche d’une pensée chronologique
I-2 La frise chronologique
I-2-2Insertion de la frise chronologique dans les programmes
I-2-3 Le graphe chronologique
II-1 Les atouts d’une frise chronologique
II-1-1 Vulgarisation de la frise chronologique
II-1-2 Les activités autour de la chronologie
II-2 Mise en pratique dans une classe expérimentale
II-2-1 Présentation de l’expérimentation
II-2-2 Etude des grandes périodes de l’humanité
II-2-3 Comment les élèves vont arriver à retenir les dates ?
Quel traitement pour les dates dans les préparations et les mises en oeuvre des leçons d’histoire ?
Quelles activités proposer afin de sensibiliser l’élève au temps historiques ?
Pourquoi les dates ne prennent-elles pas sens auprès des élèves ?
Un exemple d’activité
Voici alors 2 exemples d’activités proposés
II-3 Comment pourrait-on mémoriser les dates ?
II- 3-1 Retour à la classe expérimentale
Conclusion
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