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Assurer la fiabilité des méthodes de CND
Fabrication d’échantillons Dans la plupart des cas, les matériaux sont coûteux donc des échantillons de taille réduite sont utilisés. Le Département de la Défense américain recommande entre 40 et 120 échantillons selon le type d’étude [7]. Par ailleurs, ils doivent être localement représentatifs de la structure ciblée.
Les verrous scientifiques de la simulation opérationnelle
Choix des outils de développement
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Table des matières
Introduction
1 La simulation opérationnelle en Contrôle Non-Destructif
1.1 Assurer la fiabilité des structures grâce au Contrôle Non-Destructif (CND)
1.1.1 Les techniques du Contrôle Non-Destructif
1.1.2 Les éléments impliqués lors d’une inspection
1.1.3 Variabilité du diagnostic
1.2 Assurer la fiabilité des méthodes de CND
1.2.1 Les études de Probabilité de Détection (POD), une métrique de la fiabilité
1.2.1.1 L’approche expérimentale
1.2.1.2 L’approche par simulation
1.2.2 Fiabilité en conditions réelles : le concept de simulation opérationnelle
1.3 Les verrous scientifiques de la simulation opérationnelle
1.4 État de l’art de la simulation opérationnelle
1.4.1 Domaine aéronautique
1.4.2 Domaine médical
1.4.3 Domaine CND
1.4.4 Lignes directrices
1.5 Choix d’un cas d’étude
1.6 Choix des outils de développement
1.7 Point sur le vocabulaire du CND ultrasons
2 Stratégies de modélisation pour le CND par ultrasons
2.1 La résolution directe des équations de propagation
2.1.1 Approches analytiques ou semi-analytiques
2.1.1.1 Représentation intégrale
2.1.1.2 Approximation de l’acoustique géométrique
2.1.2 Approches numériques
2.1.2.1 Différences finies dans le domaine temporel (FDTD)
2.1.2.2 Éléments finis
2.1.2.3 Volumes finis
2.1.3 Rapidité et réalisme
2.2 Stratégies pour l’accélération des simulations
2.2.1 Méthode des bases réduites
2.2.1.1 Bases réduites appliquées à une approche en différences finies
2.2.1.2 Bases réduites appliquées à une approche en éléments finis
2.2.1.3 Bases réduites et matériaux composites
2.2.2 Les méta-modèles
2.2.2.1 Méta-modèle paramétrique
2.2.2.1.1 Régression polynômiale
2.2.2.1.2 Régularisation
2.2.2.1.3 Splines
2.2.2.2 Méta-modèle non-paramétrique
2.2.2.2.1 Modèle à noyaux
2.2.2.2.2 Krigeage
2.2.2.2.3 Fléau des dimensions
2.2.2.2.4 Réseau de neurones artificiels
2.2.2.2.5 Méta-modèle et CND
2.2.3 L’échantillonnage
2.3 La qualité d’un modèle
2.4 Recours à la donnée réelle
3 Réplication de phénomènes aléatoires
3.1 Les phénomènes aléatoires
3.1.1 Champ aléatoire sous hypothèse spécifique
3.1.1.1 Réaction-diffusion
3.1.1.2 Analogie mathématique
3.1.1.3 Pavage aléatoire
3.1.1.4 Fractales
3.1.2 Champ aléatoire par processus ponctuel
3.1.3 Champ aléatoire sous hypothèse de Gauss
3.1.3.1 Technique de base
3.1.3.2 Imbrication circulaire
3.1.3.3 Moyenne glissante
3.1.3.4 Bandes tournantes
3.1.4 Champ aléatoire sous hypothèse de Markov
3.1.4.1 Chaîne de Markov
3.1.4.2 Technique d’Efros et Leung
3.1.4.3 Optimisation globale
3.2 Application à la synthèse de textures ultrasonores
3.2.1 Cas traité
3.2.2 Synthèse de texture sous hypothèse de Gauss
3.2.3 Synthèse de texture sous hypothèse de Markov
3.2.4 Texture ultrasonore et fluctuations en temps de vol
3.3 Application à la synthèse d’impact
3.3.1 Cas traité
3.3.2 Méthode en deux temps
3.3.2.1 Forme des impacts
3.3.2.2 Contenu des impacts
3.3.3 Combinaison de forme et de contenu
4 Modélisation de phénomènes paramétrés
4.1 Un méta-modèle pour un défaut de référence
4.2 Stratégie de compression de données
4.2.1 Le besoin
4.2.2 Panorama des méthodes
4.3 Synthèse à partir de données expérimentales
4.3.1 Modèle de krigeage
4.3.2 Résultat
4.3.3 Réflexions sur la profondeur du défaut
4.3.3.1 Décomposition en valeurs singulières
4.3.3.2 Poursuite de correspondance
4.4 Introduction de physique dans le modèle
4.4.1 Données et physique, une double source d’information
4.4.2 Krigeage amélioré par modèle physique
4.4.2.1 Méthode proposée
4.4.2.2 Modèle physique utilisé
4.4.3 3 atouts pour mieux exploiter les données
4.4.3.1 Limiter la quantité de données nécessaires
4.4.3.2 Rendre le modèle plus généraliste
4.4.3.3 Extraire le bruit des données expérimentales
5 Implémentation d’un simulateur opérationnel
5.1 Instrumentation, lien entre la simulation et la réalité
5.1.1 Techniques de positionnement tri-dimensionnel
5.1.1.1 Positionnement mécanique
5.1.1.2 Positionnement acoustique
5.1.1.3 Positionnement inertiel
5.1.1.4 Positionnement par champ électrique
5.1.1.5 Positionnement par champ magnétique
5.1.1.6 Positionnement par ondes électromagnétiques
5.1.1.6.1 Positionnement par ondes radio et micro-fréquences
5.1.1.6.2 Positionnement optique
5.1.1.7 Conclusion
5.1.2 Mesure du couplage entre le traducteur et la pièce
5.1.2.1 Synchronisation en temps
5.1.2.2 Synchronisation en espace
5.2 Mise au point d’un prototype de simulateur opérationnel
5.2.1 Architecture matérielle
5.2.2 Architecture logicielle
5.2.2.1 Structure client-serveur existante
5.2.2.2 Approche par signaux augmentés pour l’exploitation des modèles de simulation
5.2.2.2.1 Trou à Fond Plat
5.2.2.2.2 Impact
5.2.2.2.3 Texture ultrasonore
5.3 Premières utilisations
5.3.1 Confrontation aux opérateurs
5.3.2 Génération de cas tests
Conclusion
Glossaire
Acronymes
Table des symboles
Table des figures
Bibliographie
Annexes
Annexe A Éléments finis pour l’élasticité linéaire
Annexe B Conséquence d’une déformation affine du maillage sur le schéma en éléments finis
B.1 Déformation affine par sous-domaine ou macro-élément
B.2 Matrice des rigidités
B.3 Matrice des masses
Annexe C Eléments de validation du calcul de variogramme en Python
Annexe D Illustration du lien entre un variogramme et le champ aléatoire décrit
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