PFE & RAPPORT PROJET DE CREATION D’UNE ENTREPRISE DENOMMEE ″ ″ HAPPY WASH ″ ″ SISE A BEHORIRIKA PDF
Introduction générale
I ère PARTIE : APERCU GLOBAL DU PROJET
Chapitre I :Présentation générale du projet
Section 1 : Historique
1.1. : Dans le monde
1.2. : A Madagascar
Section 2 : Identification du projet
2.1. : Analyse de l’environnement
2.2. : Analyse du secteur
Section 3 : Présentation du projet
3.1. : Choix du lieu d’implantation
3.2. : Présentation juridique
Section 4 : Les caractéristiques du projet
4.1. : Les objectifs du projet
4.2. : Les activités du projet
4.3. : Les ressources requises par les activités de l’entreprise
4.4. : Les stratégies
4.5. : Les formalités administratives de constitution
Chapitre II : Etude de marché
Section 1 : Description du marché
Section 2 : Analyse de l’offre
2.1. : Les caractéristiques de l’offre
2.2. : La formation des prix
Section 3 : Analyse de la demande
3.1. : Théorie sur les besoins et motivations
3.2. : Les cibles
Section 4 : La politique commerciale
4.1. : Le Marketing
4.2. : Le Mix-Marketing
Section 5 : Analyse de la concurrence
5.1. : Description des concurrents
5.5. : Les potentialités et faiblesses des concurrents
5.3. : Stratégies pour la concurrence
IIème PARTIE : CONDUITE DU PROJET
Chapitre I : L’exploitation
Section 1 : Les étapes de la production
1.1. : La réception des articles
1.2. : L’identification des fibres
1.3. : Le codage des articles
1.4. : Le triage et le pesage des linges
1.5. : L’identification des taches
1.6. : Le prédétachage
1.7. : Le nettoyage à sec
1.8. : Le repassage
1.9. : Le conditionnement et la livraison
Chapitre II : La capacité de production
Section 1 : Capacité d’accueil de l’atelier
Section 2 : Capacité des machines
Section 3 : Productions prévisionnelles
3.1. : Production prévisionnelle en moyenne par semaine pour l’année 1
3.2. : Production prévisionnelle en moyenne par semaine pour l’année 2
3.3. : Production prévisionnelle pou l’année 3
Chapitre III : Etude organisationnelle
Section 1 : Organigramme
1.1. : Notion théorique
1.2. : Organigramme de la société
1.3. : Description détaillée des activités
Section 2 : Organisation du travail
2.1. : Procédures d’accomplissement des taches
2.2. : L’organisation des ressources humaines
2.3. : Le système d’information et de décision
IIIème PARTIE : ETUDE FINANCIERE DU PROJET Notion théorique
Chapitre I : Coût des investissements
Section 1 : Les ressources de la société
1.1. : Les capitaux propres
1.2. : Les capitaux empruntés
Section 2 : Les emplois
2.1. : Les immobilisations
2.2. : Les actifs circulants
Section 3 : Bilan initial prévisionnel
Section 4 : Plan de financement
Section 5 :Tableau d’amortissement des actifs
5.1. : Notion théorique
5.2. : Le principe de calcul
5.3. : Tableaux récapitulatif des amortissements
Section 6 : Tableau de remboursement dettes
Section 7 : Les comptes de gestion
7.1. : Les charges d’exploitation
7.2. : Les produits d’exploitation
Chapitre II : Analyse de la rentabilité et de la faisabilité
Section 1 : Les comptes de résultat prévisionnels
Section 2 : Le plan de trésorerie
2.1. : Situation de l’encaissement et du décaissement
2.2. : Situation de trésorerie
Section 3 : Bilans prévisionnels
3.1. : Bilan prévisionnel de l’année 1
3.2. : Bilan prévisionnel de l’année 2
3.3. : Bilan prévisionnel de l’année 3
Section 4 : Tableaux des grandeurs caractéristiques de gestion
4.1. : T.G.C.G. de l’année 1
4.2. : T.G.C.G. de l’année 2
4.3. : T.G.C.G. de l’année 3
IVème PARTIE : EVALUATION DU PROJET
Chapitre I :Evaluation financière du projet
Section 1: Les M.B.A. prévisionnels
Section 2 : Les ratios
2.1. : Notion théorique
2.2. : Les ratios de rentabilité
2.3. : La ratio de rotation
2.4. : Les critères d’évaluation du projet
Chapitre II : Evaluation sociale
Section 1 : Impact sur le chômage
Section 2 : Développement de l’emploi féminin
Section 3 : Evolution du quartier
Chapitre III : Evaluation économique
Section 1 : Développement du local
Section 2 : développement du secteur
Conclusion générale
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Présentation générale du Projet
Historique
Dans le Monde
Maintes fois quand on parle de lavage, de nettoyage, on parle de savon en général. Très tôt, le blanchissage a fait partie des préoccupations des civilisations.
Sous l’antiquité ; il se limite au simple lavage des tissus à l’eau claire. Du frottage à la main, les hommes sont passés à une action mécanique, en foulant le tissus avec leurs pieds afin d’épurer au mieux les vêtements en laine de mouton. Ce sont les Gaulois qui, les premiers, inventent le savon à l’aide d’une préparation obtenue en faisant bouillir du suif de chèvre avec des cendres de hêtres. Au IV ème siècle, il devient un produit pour faire sa toilette corporelle.
Au XIX ème siècle, le savon entre par la grande porte dans les maisons et les industries ainsi que les hôpitaux pour le lavage des linges et matériels. A voir l’âpreté des taches du lavage certaines femmes vont vouloir les confier à des « professionnels ». C’est ainsi que se développe un nouveau métier féminin « la blanchisseuse ». C’est terme englobe les métiers de laveuse et de repasseuse.
Par la suite de la révolution industrielle se manifestant par de multiples inventions techniques et conduisant aux progrès technologiques, on a constaté une évolution foudroyante de la mécanisation et de l’automatisation, ce qui faisant naître après quelques modifications les machines à laver à l’eau tout d’abord. Elle a été utilisée comme matériel électroménager, facilitant les tâches ménagères des femmes et accélérait la durée de nettoyage et de rinçage. Il y avait aussi les machines à sécher offrant des linges secs et propres.
Tout cela montre une véritable économie de temps et de commodité car au lieu de frotter les linges manuellement mobilisant toute une énergie humaine, il suffisait d’appuyer sur les boutons de commande et la machine exécuterait tout en un peu de temps. Mais comme les tâches ménagères sont nombreuses et que les femmes commençaient déjà à travailler, suite à l’adoption des lois sur l’égalité des droits des sexes opposés, elles devaient confier le lavage à des professionnels du nettoyage à l’eau. Le libre-service a ensuite fait son apparition. Les clients apportaient eux- mêmes les linges au nettoyeur et manipulaient eux mêmes les machines.
De nombreuses recherches dans les domaines scientifique et chimique ont conduit au nettoyage à sec et à la machine correspondante. Les chercheurs ont pu découvrir que l’on peut laver le linge par du solvant liquide sans employer aucunement d’eau, vu que, certains types de linges ne supportent pas les lavage à l’eau. Jusqu’à nos jours, la meilleure technique de lavage demeure le nettoyage à sec exécuté par une machine spécifique, le solvant utilisé, les prestations de service et même les clients sont tout aussi bien « spéciaux ».
Ainsi, l’historique du nettoyage à sec nous montre que de grandes étapes ont été franchies grâce aux progrès technologiques qui nous offrent de nouvelles manières de rendre notre ménage plus propre et cela au service du confort et du bien être. Des linges propres procurent la santé dont nous avons besoin pour l’accomplissement de nos occupations quotidiennes.
A Madagascar
Le nettoyage à sec y est introduit avant l’indépendance par des résidents étrangers notamment des français. La plupart des clients étaient des étrangers résidant dans le territoire avec seulement quelques poignées d’autochtones « privilégiés ». Le service était considéré comme un luxe et par conséquent le service était coûteux. Actuellement, 4 concurrents directs se trouvent sur le marché ; ils ont chacun leurs parts de marché et leurs propres clients. Nous allons voir plus ultérieurement en ce qui concerne : Net à sec, Palace, Teinturerie Parisienne, Arc en Ciel. Mais à côté, il existe des petits artisans en quête de croissance et de notoriété.
