PFE & RAPPORT L’ATHEISME SARTRIEN PDF
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE :LA CONCEPTION SARTRIENNE DE L’EXISTENCE
Chapitre 1 : ORIGINE DE LA PENSEE SARTRIENNE
11- environnement socioculturel
12- influences de la phénoménologie de Husserl et de l’ontologie fondamentale de Heidegger
121- la phénoménologie de Husserl
122- l’ontologie fondamentale de Heidegger
Chapitre 2 : L’ EXISTENTIALISME SARTRIEN
21- Généralités sur l’existentialisme
211 Primat de la subjectivité
212 L’angoisse
22- Spécificités de l’existentialisme sartrien
221- L’existence sartrienne
2211- L’ennui, révélation existentielle
2212- Deux modes d’être : l’en-soi et le pour-soi
22121 L’en-soi
22122 Le pour-soi
222- La notion de liberté
2221 Liberté et facticité
2222 Liberté et situation
2223 Liberté : transcendance, projet, possibilité
DEUXIEME PARTIE FONDEMENTS DE L’ATHEISME SARTRIEN
Chapitre 1 : GENERALITES SUR L’ATHEISME
11- Définitions de l’athéisme
12- Causes et formes de l’athéisme, en tant que négation de Dieu
121- Négation de Dieu au nom de la science
122- Négation de Dieu au nom de l’autonomie humaine
Chapitre 2 : LIBERTE EXISTENTIELLE, BASE DE L’ATHEISME SARTRIEN
21- Genèse de l’athéisme sartrien
22- Les conséquences logiques de la liberté
221- L’homme, accomplissement de son essence
222- Incompatibilité de Dieu et liberté
223- Dieu, idée contradictoire
TROISIEME PARTIE :L’ATHEISME HUMANISTE DE SARTRE
Chapitre 1 : LA REALITE HUMAINE : PURE LIBERTE
11- La mauvaise foi : dissimulation de la liberté
12- Situation : limite illusoire de la liberté
121- Mes entours
122 – Mon prochain
123- La mort
13- Le désir d’être
Chapitre 2 : L’ATHEISME HUMANISTE : LIBERATION ET REALISATION DE L’HOMME
21- La responsabilité
22- L’humanisme sartrien
221- Création et invention
222- Valeurs morales
223- L’homme sartrien et développement
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES
Rapport PFE, mémoire et thèse avec la catégorie L’ATHEISME SARTRIEN |
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Sartre Jean-Paul naquit le 21 juin 1905 à Paris. La mort très jeune de son père obligeait sa mère à l’élever sous le toit du grand-père maternel. C’était une famille cultivée et chrétienne. Son éducation était sous la triple surveillance de sa mère, de sa grand-mère et de son grand-père qui, finalement, l’emportait.
En 1924, il intégra l’École normale supérieure et passa l’agrégation de philosophie en 1929. La même année, il fut nommé professeur au lycée du Havre et plus tard, il abandonnait son métier d’enseignant pour se consacrer à l’écriture.
Sa vie était sillonnée par plusieurs expériences : ses rencontres avec des philosophes comme Raymond Aron, Maurice Merleau-Ponty, Albert Camus, Simone de Beauvoir ; il fut mobilisé en 1939, prisonnier en 1940 et libéré l’année suivante ; il participait à la vie politique et à de nombreuses activités littéraires.
Ainsi, les influences des gens qu’il côtoyait, ses expériences et ses lectures personnelles étaient les fondements de sa philosophie.
Ce qui le diffère des autres philosophes, Sartre ne fait non seulement la philosophie de sa vie mais il vit sa philosophie. L’adage populaire disant : « Fais ce que je dis mais ne fais pas ce que je fais », est loin de lui, car il fait ce qu’il dit.
Son refus public du prix Nobel de la littérature en 1964 est l’un des exemples témoignant de sa participation à sa philosophie. C’est la logique de sa définition paradoxale de l’homme qui justifie ce refus car, pour lui, l’homme (le pour-soi) se définit : « Comme étant ce qu’il n’est pas et n’étant pas ce qu’il est ».
