Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
Rhéologie des émulsions
Détermination de la taille des gouttes
Étude de la stabilité des émulsions
• Acide linoléique (C18 : 2 ω-6 polyinsaturé) : 48-74%
• Acide oléique(C18 :1 ω-9 mono insaturé) : 14-40%
• Acide stéarique (C18 :0 saturé) : 1-7%
• Acide palmitique (C16 :0 saturé): 4-9%
• Le trilinoléate (LLL) et l’oléodilinoléate (OLL) représente environ 1/3 destriacyl glycérols
L’huile de tournesol de marque Oléor que nous avons utilisée présente un indice d’iode de 125-144, un indice d’acide de 0,05 et de saponification 188-194. Son point de fusion est de -15°C et son point de fumée est de l’ordre de 232ºC [34].
L’huile d’amande douce que nous avons utilisée provient des laboratoires Valda.
Elle est principalement utilisée en formulation cosmétique et dermatologique.
L’industrie cosmétique utilise également une fraction contenant essentiellement des protéines de faible masse moléculaire associées à des glucides. Cet « actif » diminuerait l’irritation cutanée et la sensation de chaleur (formulation de lotion ou crème solaire, de solution après rasage,
de démaquillant). Riche en vitamine A et E, cette huile possède des propriétés adoucissantes, nourrissantes, apaisantes et tonifiant; idéale pour les cheveux secs, elle les nourrit, les renforces et les adouci. La composition en acide gras de l’huile est la suivante [38].
• Acide oléique (C18:1 w-9 mono insaturé): 62-86%
• Acide linoléique (C18:2 w-6 polyinsaturé): 20-30%
• Acide palmitique (C16:0 saturé): 4-9%
• Acide linolénique (C18 :3 ω-3 polyinsaturé)< 0,4%
• Acide stéarique (C18:0 saturé): < 3%
• Acide béhénique et arachidonique : < 0,2%
• Acide margarique : < 0,2%
• Acide érucique : < 0,1%
C’est une huile caractérisée par un indice d’iode de 132 et d’un indice d’acidité de 0,05.Elle a une densité de 0,92 à 20ºC, une viscosité comprise entre 55-61, un point de fusion à -16ºC et un point de fumée à 216ºC.
de sorbitanoléate,
de cire d’abeille,
d’huile de ricin à acides gras saturés et
d’acide stéarique.
C’est un agent tensioactif non ionique de BHL égale à 4,5. Il est d’origine végétale et son avantage est qu’il est sans conservateur [39, 40]. Cet agent a été dissout dans la phase huileuse à chaud. Nous avons également utilisé comme agents émulsionnants pour la phase aqueuse, le sorbitan monooléate ou Span® 80, et le polyéthylène glycol sorbitan monooléate ou Tween® 80.
|
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES
ILES EMULSIONS
I.1Définition
I.2 Composition
I.2.1 La phase hydrophile
I.2.2 La phase lipophile
I.2.3 Le tensioactif
I.2.3.1 Rôle
I.2.3.2 Propriétés : Notion de BHL
I.3 Les différents types d’émulsions
I.4 Rhéologie des émulsions
I.5 Caractérisation des émulsions
I.5.1 Détermination du sens de l’émulsion
I.5.2 Détermination de la taille des gouttes
I.5.3 Étude de la stabilité des émulsions
I.5.3.1Sédimentation et crémage
I.5.3.2 Floculation
I.5.3.3Coalescence
I.5.3.4 Mûrissement d’Ostwald ou diffusion moléculaire
II NOTION D’INTERFACE ET DE TENSION SUPERFICIELLE
II.1 Définitions
II.1.1 Interface
II.1.2 Tension superficielle
II.3 Propriétés des interfaces
II.4 Etude de films à l’interface des émulsions
II.5 Techniques de mesure de la tension superficielle
II.5.1 La méthode par capillarité
II.5.2 La méthode par arrachement
II.5.3 La méthode de la goutte pendante
II.6 Technique de mesure de la tension interfaciale : le tensiomètre à goutte automatisé ou tracker
DEUXIÈME PARTIE : TRAVAIL EXPERIMENTAL
I OBJECTIFS
II CADRE DE L’ETUDE
III MATERIEL ET METHODES
III. 1Matériel
III.1.1 Appareillage et verreries
III.1.2 Matières premières
III.1.2.1 La phase aqueuse
III.1.2.2 La phase huileuse
III.1.2.3 Les agents émulsionnants
III.2 Méthodes
III.2.1 Préparation de la phase hydrophile
III.2.2 Préparation des phases lipophiles
III.2.3 Mesure de la tension superficielle : méthode de la lame immergée
III.2.4 Mesure de la tension interfaciale ; méthode de la goutte immergée
IV RESULTATS
IV.1 Résultats de mesure de la tension superficielle par la méthode de la lame immergée
IV.1.2 Mesure de la tension superficielle de la phase lipophile
IV.1.2.1 Pour l’huile d’arachide
IV.1.2.2 Pour l’huile de tournesol
IV.1.2.3 Pour l’huile d’amande douce
IV.1.2.4 Comparaison de la tension superficielle des trois huiles
IV.2 Observation de l’angle de contact à l’interface eau huile
IV.3 Résultats de mesure de la tension interfaciale par la méthode de la lame immergée
IV.3.1 Pour l’huile d’arachide
IV.3.2 Pour l’huile de tournesol
IV.3.3 Pour l’huile d’amande douce
IV.4 Résultats de mesure de la tension interfaciale par la méthode de la goutte immergée
V COMMENTAIRES
CONCLUSION
REFERENCES
Télécharger le rapport complet
