PFE & RAPPORT Les inondations dans la ville de BISKRA Causes et Impacts PDF
Chapitre I Les écoulements annuels et leurs variations spatiotemporelles
I-1) Equipement hydrométrique du bassin
I-2) Critique des données et homogénéisation
I-3) Ecoulement moyen annuel et ses nuances
I-3.1) Evaluation de l’écoulement avec les formules empiriques
I-3.2 Evaluation de l’écoulement avec les données de mesure
I-4) Le bilan hydrologique et le déficit d’écoulement
I-5) L’hydraulicité et la variabilité interannuelle de l’écoulement
I-6) Analyse statistique des apports liquides
I-7) Régime d’écoulement : les variations mensuelles des débits
I-8) L’approche classique du régime : méthode des CMD
Conclusion
Chapitre I : Les formes extrêmes de l’écoulement : crues
II.1 Les maximums annuels : les crues
II-1.1) La genèse des crues et leur extension dans le temps et l’espace
1- Les crues de la saison froide
a. Leur genèse
b. Leur répartition temporelle
c. Leur répartition dans l’espace
d. L’exemple de la crue de la saison froide du mois de décembre 1981
2- Les crues de la saison chaude
2-a. Exemple de la crue de la saison chaude du mois d’octobre 1982
II-1.2) Les crues de l’oued Biskra et ses affluents
a. la crue de septembre 1989
b. les crues d’Août 1984
c. les crues de Juin 1981
II-1.3) Les apports de crues
II-2 Différentes méthodes d’estimation des débits des crues
II-2.1) Formule empirique régionale
II-2.2) Etude des crues maximales annuelles par analyse statistique
Ajustement à la loi de Gumbel
II.2.3) Méthode faisant intervenir la connaissance des pluies
A. Méthode du Gradex
B. Application de la méthode du Gradex au bassin versant de l’oued Biskra et ses petits sous bassins
II.2.4) Méthode du transfert pluie-débit
A- Méthode de renouvellement
B- Choix du seuil
C- Comparaison entre les méthodes
II-3 La puissance des crues
Conclusion
Chapitre III : Etude des transports solides dans le bassin versant de l’oued Biskra
Introduction
III.2 Définition et type de transports solides
a. Le transport solide en suspension
b. Le transport solide par charriage
c. Le transport solide en dissolution
III.3 Problème de données
III.4 Evaluation du transport solide
III.4.1 Evaluation du transport solide par les formules empiriques
A) Formule de Tixeront (1960)
B) Formule de Sogreah (1969)
III-4.2) Avec les données de mesures
III-4-2.1) Recherche de relations entre débits solides en suspension et débits liquides
III-4.3) Les valeurs annuelles moyennes et leur variation spatiale
III4.4) Les variations interannuelles de l’apport solide en suspension
III-4.5) Les variations saisonnières et mensuelles du T.S. en suspension
III-4.6) Les variations journalières de la turbidité et ses liens avec l’écoulement des crues
Conclusion
Conclusion de la deuxième partie
Troisième partie
Impact des crues sur la ville de Biskra.
CHAPITRE I : Evolution de la population et de l’urbanisation de la ville de Biskra
I-1 Présentation de la ville de Biskra
A. Situation et caractéristiques de la ville
I-2 La population et son évolution
I.3 Les principes étapes du l’urbanisation de Biskra
I-3-1 Le réseau urbain durant la période des turcs
I-3-2 Le réseau urbain durant la période coloniale
I-3-3 Le réseau urbain après l’indépendance
Conclusion
CHAPITRE II : Le réseau d’assainissement et son impact dans la genèse des crues dans la ville de Biskra
II-1 Présentation du réseau d’assainissement de l’agglomération de Biskra
II.1.1 L’état ancien du réseau d’assainissement
II.1.2. Etat actuel du réseau d’assainissement
II.1.2.1Collecteur n° 01(Sidi Ghezel)
II.1.2.2 Collection n°02(centre ville)
II.1.2.3Collection n°03(centre ville)
II.1.2.4 Collecteur n°04(centre ville)
II.1.2.5 Collecteur n°05(zone Sud Ouest)
II.1.2.6 Collecteur n°06
II.2 Evaluation des eaux à évacuer
II.2.1 Les eaux usées (domestiques et industrielles)
A- Méthodologie
B- Volume à évacuer
II.2.2 Les eaux usées pluviales et la difficulté de leur évaluation
A- Méthodologie
B- Volume à évacuer
II.3 Adaptation/inadaptation du réseau d’assainissement aux volumes des eaux usées
Conclusion
Chapitre III : Exposition de la ville de Biskra au risque d’inondation
III-1 les plan d’exposition au risque d’inondation (PARI)
III-2 Esquisse d’un PERI de la ville de Biskra
III-2-1) Méthodologie
III-2-2) La crue du mois d’avril 1949 : choix, caractéristiques et impacts de cette crue
III-2-3) Le zonage : Réalisation de la carte des risques des inondations
Commentaire de la carte (PERI) de Biskra
A) Au niveau de la ville de Biskra
B) Au niveau du bassin versant de l’ oued Biskra
C) L’impact de ces actions
Conclusion
Conclusion de la Troisième partie
Conclusion Générale
Annexes
Liste des figures
Liste des cartes
Liste des tableaux
Listes d’annexes
Bibliographie
Carte et plans de bases
Rapport PFE, mémoire et thèse avec la catégorie Les inondations |
Étudiant en université, dans une école supérieur ou d’ingénieur, et que vous cherchez des ressources pédagogiques entièrement gratuites, il est jamais trop tard pour commencer à apprendre vous trouverez ici des centaines de rapports pfe spécialement conçu pour vous aider à rédiger votre rapport de stage, vous prouvez les télécharger librement en divers formats (DOC, RAR, PDF).. Tout ce que vous devez faire est de télécharger le pfe de Bestpfe.com et ouvrir le fichier pfe PDF ou pfe DOC. Ce programme spécifique est classé dans la catégorie pfe la ville de BISKRA Causes et Impacts sciences où vous pouvez trouver quelques autres mémoires informatique similaires.
Actuellement, de plus en plus de gens sont prêts à partager leurs travaux pfe, mémoire, thèse.. avec les autres et ils ne veulent pas de compensation pour cela. Le rapport Les inondations dans la ville de BISKRA Causes et Impacts est un rapport complet pour aider les autres étudiants dans leurs propres travaux. |
Accaparant totalement les préoccupations des hommes lorsqu’elles surviennent ; les catastrophes naturelles ne sont plus avec le temps et pour la plus part qu’un sujet mineur de la mémoire ou de l’imagination.
Aussi loin que l’on remonte dans l’histoire on s’aperçoit que l’homme est à l’origine de nombreux risques permanents et ponctuels, dont l’impact peut être comparable à celui des risques naturelles les plus sérieux, certains risques peuvent être accrus par l’activité humaine : c’est le cas par exemple des inondations provoquées par la déforestation.
L’inondation est une submersion (rapide ou lente) susceptible d’affecter de vastes surfaces naturelles et urbaines, elle correspond au débordement des eaux lors d’une crue. Par définition, une crue est une augmentation rapide et temporaire du débit d’un cours d’eau. Elle est décrite par trois paramètres : la hauteur, le débit et la vitesse du courant.
Les crues se produisent lorsque le sol et la végétation ne peuvent pas assimiler toute l’eau de ruissellement et provoquent une élévation du lit du cours d’eau. Le plus souvent, celui-ci ne déborde pas, mais l’eau ruisselle parfois dans des quantités qui ne peuvent être transportées dans les lits des cours d’eau, ni retenues dans les bassins naturels ou artificiels. Le cours d’eau déborde et il se produit alors une inondation.
Les inondations subites, qui peuvent survenir en automne dans les régions méditerranéennes sont généralement dues à des précipitations intenses sur une zone relativement réduite, les pratiques agricoles intensives diminuent la capacité du terrain à retenir l’eau et augmente le ruissellement.
L’homme a aggravé les inondations en dégradant le milieu naturel au tour de certains cours d’eau (l’imperméabilisation du bassin versant). Il est bien connu que l’imperméabilisation du sol par les bâtiments et les infrastructures a pour effet d’accroître les coefficients de ruissellement et donc d’accélérer les écoulements des eaux et d’aggraver les débits reçus à l’aval ; à ces conditions, l’incapacité des réseaux d’assainissement est considérée comme l’un des causes de ce phénomène.
L’impact de ces inondations reste relativement local, et le nombre de victimes est généralement limité, mais très variable en raison de la densité des habitations, de sa localisation et de type de construction adopté.
Événement récurrent partout dans le monde, ce phénomène a touché la plus part des pays, ces pays présentent à la fois les conditions climatiques, les sites géologiques à risque et des infrastructures insuffisantes en terme de protection de l’homme et de l’environnement ; à l’océan Indien à Bangladesh ce phénomène entraîne parfois, comme en 1970 la mort de plusieurs personnes .
La montée précoce des eaux du fleuve Sénégal fait peser au mois d’août 2000 de graves inondations , en France 3 à 4% de la population concernée et 7600 communes (3), chaque année les inondations font quelques dizaines de victimes et engendrent plusieurs milliards de francs de réparation.
En 1935 à Toulouse, des inondations catastrophiques ont provoqué la mort de 200 personnes. En 1988 à Nîme, des crues torrentielles et inondations pluviales ont provoqué la mort de 11 personnes et des dommages de 3.3 milliards de francs.
