Historique de la pratique artisanale de transformation du sucre

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Description de la zone d’implantation et délimitation de la superficie

Mandritsara est l’un des districts du Nord-est de la province de Majunga et fait partie de la région SOFIA. Situé à l’extrême limite du faritany de Tamatave à l’Est, c’est la capitale de l’Androna ; sa superficie est de 9.604 km 2 environ, avec 28 communes, c’est donc le plus peuplé de la région, avec 284 914 habitants.
La canne à sucre est un des produits cultivés dans la Région. Entre 2000 et 2008, la production annuelle est de 187 050 tonnes de canne, pour une superficie de 7 065 ha. Ce qui fait un rendement de 30T/ha. Ce qui est loin du rendement de la plantation de Namakia, une zone de l’ouest, ayant le même climat et pédologieque SOFIA, dans la Région de Boeny. Namakia ayant reçu des appuis et de l’assistance de s techniciens de la SIRAMA, produit autour de 70T/ha. Les surfaces de spéculation de SOFIA, même si elles sont plus importantes en valeur (7 065 ha), sont très éparpillées, comparées à celles de Namakia (1 867 ha). Ces dernières années, faute de débouchés prometteurs etde perspectives d’avenir, conjugué à l’absence d’appui technique de la part du service d e l’agriculture, l’exploitation est restée stable, avec une légère évolution. De ce fait, lespaysans n’ont plus le courage pour développer la filière.
Organisation de la filière :
Malgré les besoins du marché national, la présencedes sucreries et des distilleries de Namakia et ceux d’Ambilobe, la production de canne à sucre est restée stable.
Un des débouchés de ces produits est la fabricationde « toaka gasy » ou rhum local produit à partir des distilleries artisanales. Du f ait de l’enclavement, les produits ne peuvent pas sortir de la Région, alors que dans d’autres Régions, le besoin est fortement exprimé (à Namakia et à Ambilobe). Aucune initiative n’a été mise en place pour organiser ou développer la filière.
Opportunités :
Avec la flambée du cours du Pétrole, qui atteint plus de 60US$ actuellement, avec la dynamique continue de l’économie mondiale, qui augmente rapidement les besoins énergétiques, le développement de l’énergie alternative et les perspectives prometteuses que présentent la nouvelle filière « Ethanol » sont irréversibles. La Région regorge encore de terrains suffisants et adaptés pour développer cett filière.
L’élargissement de la surface et l’amélioration durendement de la plantation de canne à sucre, matière première de cette technologie nouvelle, sera une opportunité que la Région ne devra pas rater. Dans ce sens, un souhait de partenariat de la part des Mauriciens est déjà en vue. La première phase permettra déjà de valoriser une superficie cultivable de 70 000 ha, pour une plantation industrielle de canne à sucre. Une volonté politique de la part de la Région et de sa population ne fera que concrétisercette opportunité pour toute la Nation.
Figure n° 1: Localisation de la ville
Source : PDR Sofia, année 2006.

La situation administrative

La région SOFIA se trouve sur la côte Nord-Ouest de Madagascar. Elle fait partie de la Province Autonome de Mahajanga. Elle s’étend entre 14° et 17° la latitude Sud et 47° et 49° longitude Est ; elle constitue un vaste territo ire avec une superficie de 52.504 Km2, soit à peu près 8,5% de la Grande Ile et 33,4% de la province.
Le Chef-lieu de la Région, Antsohihy, se situe à 440 km environ de Mahajanga, sur la RN6 qui rejoint Antsiranana.
Elle est délimitée par les régions de SAVA et DIANAau Nord, par ANALANJIROFO et ALAOTRA MANGORO à l’Est, par BETSIBOKA au Sud, p ar BOENY au Sud-ouest et par le canal de Mozambique à l’Ouest.
La région SOFIA fait partie des 4 Régions qui composent la province Autonome de Majunga. Elle est géographiquement la plus grande et la plus peuplée dans cette province, avec une superficie de 52.504 Km2, elle abrite en 2005, selon notre projet, plus d’un million d’habitants, réparti dans 7 districts qui sont :
Mandritsara, Befandriana et Bealanana à l’Est ;
Antsohihy est au centre comme chef-lieu de la région ;
Analalava à l’Ouest ;
Port-Bergé et Mampikony au sud.
Ces districts sont subdivisés en 108 communes.
Le District de Mandritsara, avec ses 28 communes, est le plus grand de la Région; le plus petit est celui de Mampikony, avec seulement 10 Communes.
La Sofia est un regroupement de deux zones de la Province de Majunga:
La partie Est : Befandriana, composée de Bealanana,Befandriana et Mandritsara ;
Et la partie Ouest : Antsohihy, composée d’Analalava, Antsohihy, Port-Bergé et Mampikony. Historiquement, Sofia coïncide avec la délimitation de l’ancienne Préfecture d’Antsohihy, composée de ses 7 sous préfectures. Durant les débuts de la première République, cette partie de l’Ile jouait une place importante dans l’économie de la Nation. La Baie de Narinda était utilisée comme un port commercial de Madagascar : des minerais y étaient exportés. Du fait de ses qualités et potentialités, Narinda aurait du devenir l’une des plus grandes et plus belles baies du monde.
Dans la Région SOFIA, quelques services déconcentrés, hérités de la précédente préfecture, existent déjà, que ce soit dans le Chef-lieu, ou dans les autres Districts. Mais leur répartition est déséquilibrée.
En résumé, durant la seconde et la troisième République, comparée aux autres Régions de Madagascar, SOFIA fut une Région délaissée, sousadministrée et écartée. Même la route pour y accéder, reliant la partie Nord de l’île, fut laissée dans un état de délabrement avancé.

La situation géographique

Le climat

Pour la climatologie analytique (ou séparative), le climat est l’état moyen de l’atmosphère en un lieu donné, défini par un ensemble de moyennes caractéristiques, températures, précipitations, vent, insolation, nébulosité (proportion du ciel couvert de nuage).
Le climat de la zone d’Androna est dominé par deux saisons. Pendant l’été austral, la région reçoit de très fortes précipitations, dont ertainesc sont dues à des passages de cyclones. Une saison chaude et humide dure d’octobre à mars, avec de fortes températures. Au mois d’octobre à décembre, il y a de fortes pluies, et de janvier à février, le temps revient à la normale.
La saison dite sèche s’étend de mai à octobre. C’est une période relativement fraîche caractérisée par des précipitations moins abondantes, avec 50 mm de hauteur d’eau par mois. Nous constatons que la culture de canne à sucre occ upe une grande place dans le district de Mandritsara. La faisabilité de ce projet est confirmée par l’abondance de la matière première dans ce district.

La température

Les températures de la Région sont assez favorablesà l’agriculture. La température varie suivant le climat et l’altitude. Elle est nettement élevée sur les zones côtières, où la température annuelle moyenne atteint 26°C. En saison sèche, elle descend jusqu’à 13 à 7°C à Bealanana, qui se trouve à 1.125 m d’altitude. Elle est de 12 à 7°C à Angindrano, au pied du massif Tsaratanana. Dans le District de Bealanana, on observe une partie où la température peut descendre en dessous de 20° C (à Mangindrano : 12,7°C).
La canne à sucre a besoin de la chaleur. En ce qui concerne la germination, la température moyenne tourne autour de 30°- 32°C. Elle est réalisée dans cette condition en 3 à 4 jours. Les températures de 12 à 35°C apparaissent comme des extrêmes, en deçà et au-delà desquels la germination est inhibée.

La pluviométrie

La pluviométrie est caractérisée par une forte irrégularité. La saison humide commence en général au mois de décembre. Les pluiesse concentrent sur 4 mois de l’année (décembre à avril). On peut assister à des précipitations violentes de quelques heures pendant la journée. Dans l’ensemble, la variation des pluies est moins nette, et la pluviométrie annuelle se situe entre 1.100 à 1.900 mm. Malgré le nombre élevé de mois secs, la pluviosité est favorable à la riziculture et aux cultures sur tanety.
La Région est soumise aux vents humides et réguliers de l’alizé « varatraza », qui souffle en permanence dans la direction Sud-est à E st, et de la mousson « talio », vent de direction Ouest-Est. L’alizé trop précoce peut diminuer la production du riz, en perturbant sa floraison. La saison sèche d’avril en octobre est nettement propice aux vents qui soufflent à plus de 10Km/h sur la terre, leur vitesse peut dépasser 20 Km/h en mer, avec un maximum en novembre. En cas de passage de cyclone, le vent peut souffler jusqu’à 250 Km/h.
La canne à sucre est une graminée de grande taille, comprise entre 2 à 3 mètres de hauteur. Elle est cultivée dans de nombreux pays tropicaux. C’est une plante tropicale, à écorce lisse et dure, de laquelle on extrait le sucre de canne.

Les sols

Le sol est une formation superficielle d’épaisseur variable, résultant d’abord de l’altération des roches. Dans le district de Mandritsara, les sols sont composés de tanety, de colline (lemaka), et des baiboho. Ces types de sols sont très fertiles et riches en matière organique et minérale.
On observe différents types de sols dans la RégionSofia :
Un complexe de sols ferrugineux, qui forme les plateaux de Bealanana et Befandriana, un complexe de lithosols et sols calcimorphes dans la presqu’île d’Ampasindava, un complexe de lithosols, sols calcimorphes et sols hydro morphes, dans les Districts d’Antsohihy et Port-Bergé, un complexe de lithosols et sols peu évolués à Mandritsara et à Befandriana,
• une association sols ferralitiques jaune/rouge + rouge à Analalava, Bealanana ;
• une association sols ferralitiques rouge + jaune/ rouge dans les Districts de Bealanana, Befandriana, et dans une moindre proportion à Analalava et à Mandritsara ;
• des sols peu évolués dans le District de Port-Bergé, en bordure de la Sofia ;
• des sols salés et de mangrove aux embouchures des fleuves ;
• des sols ferrugineux tropicaux dominant les Districts de Mampikony, Port-Bergé, Antsohihy et Analalava ;
• des sols ferralitiques jaune/rouge formant les ha uts plateaux de Mandritsara ;
• des sols hydro morphes formant les plaines de Bealanana, Befandriana et un peu à Mandritsara ;
• des sols calcimorphes dans le District d’Antsohih y ;
• des sols sableux sur les côtes d’Analalava ;
• des sols ferralitiques rouges dans le District de Befandriana.

La géologie

La Région est formée essentiellement par deux typesde terrains : les terrains sédimentaires et les terrains cristallins .
Les terrains cristallins qui constituent l’essentiel des paysages à l’intérieur de la Région dont :
– un système du Vohibory, dans les Districts de Port-Bergé et de Mampikony, un système de graphite, dans les Districts de Bealanana, Befandriana Nord, Mandritsara et pour une partie à Antsohihy ;
– le granite, qui forme des collines rocheuses et se trouve surtout à Befandriana et Mandritsara, et sur une partie de Bealanana ;
– l’Infra-graphite, dans la partie Est de Bealanana, Befandriana Nord et Mandritsara.
Les terrains sédimentaires qui couvrent la zone côtière et s’avancent même à l’intérieur pour former des plateaux à faible altitude (plateau x de Manasamody).
Parmi ces terrains sédimentaires, on peut citer :
– le néogène lacustre, qui se trouve sur la partie est de Befandriana ;
– le volcanisme néogène, dans le District de Bealanana qui forme la cuvette de l’Ankaizina ;
– le volcanisme crétacé, qui forme les plateaux: plateau de Manasamody du District d’Analalava, prolongé par le plateau de Bongolava à Port-Bergé et à Mampikony ;
– le jurassique, qui existe dans les Districts d’Analalava et d’Antsohihy ;
– l’Isalo, qui traverse la Région d’Analalava jusqu’à Mampikony ;
– le Nummulitique, qui forme la presque île d’ Ampasindava dans le District d’Analalava.

Activités socio-économiques

L’agriculture

Comme la plupart des milieux ruraux de Madagascar, l’économie de la région est dominée par l’agriculture.
• En matière d’irrigation, les moyens sont nombreux :il existe des sites, avec un régime hydrique excédentaire, pour la construction de barrage hydraulique ;
• Avec une population nombreuse, 1.000.000 d’habitants, majoritairement agriculteurs, la Région dispose d’une main d’œuvre rurale jeune, pour la mise en valeur de sa vaste superficie agricole ;
• La nature est généreuse, la Région a un atout important en ressources naturelles ;
• Un climat et un sol fertile adaptés aux différentescultures ;
• Un sol favorable à la polyculture : production dest inée à la consommation, à la transformation des cultures maraîchères ;
• De grandes superficies cultivables, formées surtoutde plaines : possibilité d’extension des superficies cultivables.
De part son climat et la diversité de ses sols, on trouve dans la région de Mandritsara
une grande diversité de culture :
Des cultures légumières : haricot vert, carotte, tomate ;…
Des cultures vivrières : riz, maïs, manioc, patate etc. ;
Des plantes à épices et aromatiques : girofle, vanille, poivrier,…
Des plantes à parfum : ylang-ylang ;
Des plantes oléagineuses : arachide, cocotier ;…
Des plantes stimulantes : cafetier, théier, cacaoyer ;…
Des plantes textiles : raphia ;…
Des plantes tropicales : canne à sucre,… .
*La polyculture est dominante. La première préoccupation des paysans est la riziculture. L’objet du paysan est, dans un premier temps, de produire d’abord pour subvenir à ses besoins (autoconsommation), et de dégager des urplus, par la suite, en vue de satisfaire ses besoins courants. Mais en réalité, les surplussont faibles et les paysans ont tendance à vendre une partie de leur récolte nécessaire à leurautoconsommation.
Nous constatons que la culture canne à sucre occupe une grande place dans le district de Mandritsara. La faisabilité de ce projet est confirmée par l’abondance de la matière première dans ce district.

L’élevage

Concernant l’élevage, la Région dispose de nombreuxavantages :
•les marchés de zébus sont vastes et existent par District ;
• les éleveurs sont nombreux ;
• la disponibilité d’immenses pâturages naturels ;
• le climat et le sol fertile sont adaptés aux différents élevages ;
• la possibilité d’élever plusieurs espèces d’animaux : porcine,caprine, apicole, avicole ;
• l’abondance des aliments pour les animaux ;
• la main d’œuvre est disponible.
En général, les gens pratiquent deux (2) types d’élevage :
L’élevage extensif, qui consiste à faire paître les animaux domestiques pendant la journée et à les garder pendant la nuit.
L’élevage semi-extensif, qui consiste à apporter aux animaux un supplément sous forme de manioc.
Parmi les animaux domestiques, les habitants attachent une valeur particulière aux bœufs et aux porcs. L’élevage bovin est un des moye ns pour assurer la survie de la famille, de marquer une certaine dignité de la classe sociale, les assurent les travaux agricoles : traction de la charrue, la herse et la charrette.
L’élevage porcin se développe beaucoup du fait de al présence des « Betsileo » et des « Merina ».

ÉTUDE ORGANISATIONNELLE DU PROJET

Identification des besoins en personnel

Comme toute organisation, qu’elle soit à but lucrat if ou non, l’entreprise a besoin du personnel pour qu’elle fonctionne ; celui-ci concerne l’effectif, il diffère selon la taille de l’entreprise.
Selon le nombre de personnel, on classe les entreprises par le nombre des salariés, d’où la notion de très petite entreprise, petite entreprise, moyenne entreprise, et enfin grande entreprise. Les petites et moyennes entreprises sont caractérisées par leur légère structure organisationnelle, leur effectif en nombre réduit.
Pour la mise en marche de notre entreprise, nous avons besoin de personnels stables pour le fonctionnement de l’usine, un chef de production, un chef de commercialisation, un secrétaire comptable, un magasinier, un coursier livreur ou un chauffeur et un gardien. Cependant la stabilité du personnel est limitée dans le temps. Pour obtenir un bon rendement, l’entreprise doit avoir un personnel stable, car l’ initiation au travail demande beaucoup de temps.
L’effectif du personnel représente le nombre total d’employés qui travaillent dans une même unité ou entreprise. Le principe de recrutemendu personnel dans notre société est basé sur la qualification et les expériences de l’individu concerné. Le nombre du personnel dépend par la suite de la pluralité des tâches dans l’entreprise.

Organisation

L’existence d’une organisation au niveau de chaque poste est absolument nécessaire, si elle est bien définie. C’est ainsi que nous porterons notre étude sur l’organisation des ressources, dont la répartition des tâches et la structure des ressources humaines au sein de chaque poste d’activités.

Définition

L’organisation est l’ensemble des techniques, des m éthodes appliquées dans une entreprise, permettant de réaliser, dans les meilleurs délais, les objectifs qu’ils se sont fixés à atteindre.
Dans ce projet, l’entreprise est une organisation de moyen et de compétence, proposant sur le marché une multitude de biens et ervices. Alors, pour produire, l’entreprise combine des facteurs de productions :
-Les facteurs naturels : matières premières
-Les facteurs financiers : capital
-Les facteurs culturels : informations, spécialités, compétences, expériences
-Les facteurs humains : personnels (travail).
La mise en œuvre de ce dernier nécessite la détermination des besoins en personnels, tant à la création de l’entreprise qu’ultérieurement, lors de sa croissance ou en cas de difficultés.

Organigramme simplifié

Le bon fonctionnement de l’entreprise dépend en grande partie de la ressource humaine. L’existence d’une bonne organisation est d onc primordiale pour toute entreprise qui souhaite atteindre son objectif avec efficience. C’est-à-dire comme toute entreprise, notre projet aura besoin d’une organisation solidement fondée pour que chaque postulant sache ce qu’il entreprend. L’organigramme se présente comme suit : Figure n° 3 : Organigramme du personnel

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIÉRE PARTIE: ÉTUDE CONCEPTUELLE DU PROJET
CHAPITRE I : PRÉSENTATION DU PROJET
SECTION I : DESCRIPTION DU PROJET
I.1. Historique de la pratique artisanale de transformation du sucre
I.2. Caractéristique du projet
I.2.1. Objet du projet
I.2.2 Forme et aspect juridique
I.2.3. Mission du projet
I.3. Description de la zone d’implantation et délimitation de la superficie
I.3.1.La situation administrative
I.3.2.La situation géographique
I.3.2.1.Le climat
I.3.2.2. La température
I.3.2.3. La pluviométrie
I.3.2.4. Les sols
I.3.2.5. La géologie
I.3.3. Activités socio-économiques
I.3.3.1. L’agriculture
I.3.3.2. L’élevage
SECTION II : ÉTUDE ORGANISATIONNELLE DU PROJET
II.1. Identification des besoins en personnel
II.2. Organisation
II.2.1. Définition
II.2.2. Organigramme simplifié
II.2.2.1. Définition
II.2.2.2. Attributions du personnel
II.3. Le chronogramme de réalisation du projet
II.3.1. Préparation de la mise en oeuvre effective
II.3.2. Période de mise en oeuvre effective
II.3.3. Le calendrier de réalisation
II.3.4.Gestion du temps de travail
SECTION III : OBJECTIFS ET STRATÉGIES
III.1. Les objectifs
III.2. Les stratégies
CHAPITRE II : ÉTUDE TECHNIQUE DE PRODUCTION ET COMMERCIALISATION
SECTION I : ORGANISATION DE LA PRODUCTION
I.1. Description de la canne à sucre
I.1.1. Définition de la canne à sucre
I.1.2. Caractéristique de base
I.1.3. La canne à sucre et son environnement (nature et humain)
I.2. Conditions de culture de la canne à sucre
I.2.1. Métiers d’autrefois
I.2.2. La plantation
I.2.2.1. La plante et ses cycles
I.2.2.2. Méthodes d’exploitation
I.2.2.3. Le rendement
I.2.2.3.1. Les maladies
I.2.2.3.2. La section de la canne
I.2.2.4. La récolte
I.2.2.5. Sa croissance
I.2.2.6. Le stockage
SECTION II : SYSTÈME DE TRANSFORMATION
II.1. Méthode de transformation
II.1.1.Méthode traditionnelle (artisanale)
II.1.2. Méthode industrielle
II.2. Son traitement
II.3. Les caractéristiques
II.3.1.La fabrication du sucre de canne
II.3.2. Le processus de la fabrication
II.3.2.1. Les principaux produits
II.3.2.2. Les étapes de transformation spécifique au sucre de canne
II.3.2.2.1. Cristaux du sucre
II.3.2.2.2. Caractéristique du sucre
II.3.2.2.3. Sucre alimentaire
II.3.2.2.4. La production du sucre
II.3.2.2.5. Le sucre de canne
II.3.2.2.6. Le produit dérivé
II.3.2.3. Critères de qualité du sucre
II.3.2.4. Critères de qualité des produits sucrés
II.4. Les utilisations des sous-produits du sucre
II.4.1. Les différents sous produits
II.4.2. Les étapes de transformation communes aux deux produits
II.4.2.1. Sucre de deuxième et troisième jets
II.4.2.2. Processus de fabrication de l’éthanol à partir du sucre
II.5. Analyse de production
II.5.1. Conditionnement
II.5.2. Stockage
II.6. La vente
II.6.1. Calendrier de production
II.6.2. Planning de production
II.6.3. Planning de vente
II.7. Plan de consommation des matières premières
SECTION III. SYSTÈME DE COMMERCIALISATION
III.1. Présentation conceptuelle du commerce
III.1.1.Définition
III.1.2. La distribution
III.1.2.1. La fonction de distribution
III.1.2.2. La politique économique de commercialisation
III.2. L’infrastructure
III.2.1. Le déroulement de la commercialisation
III.2.2. Le mode paiement
III.3. La consommation
III.3.1. Les consommateurs
III.4. Analyse de la situation du projet face aux concurrents
III.4.1. Étude de la structure du marché
III.4.1.1. Marché oligopole
III.4.1.2. Présentation du marché monopolistique
III.4.1.2.1. Caractéristiques du monopole
III.4.1.3. Théorie du monopole
III.4.2.Le concept de la recette
III.4.2.1.La recette moyenne
III.4.2.2. La recette totale (RT)
CHAPITRE III : ÉTUDE DU MARCHÉ
SECTION I : ÉVALUATION DU MARCHÉ
I.1. Le marché
I.1.1. Définition
I.2. Étude de l’offre
I.2.1. Offre sur le marché
I.2.2. Les produits à offrir
I.3. Analyse de la demande
I.3.1. Les besoins des consommateurs
I.3.2. Clients cibles
I.3.3. Consommation locale
SECTION II : ANALYSE CONCURRENTIELLE
II.1. Avantage de la concurrence
II.2. Identification des principaux concurrents
II.2.1. La part du marché visée
II.2.2. Étude de la consommation
II.3. Analyse de la part du marché
II.3.1. Marché réel
II.3.2. Le marché potentiel
II.3.3. Analyse environnementale
SECTION III: STRATÉGIE MARKETING : POLITIQUES ET STRATÉGIES ADOPTÉES À LA COMMERCIALISATION
III.1. Marketing mix
III.1.1. Produit
III.1.2. Prix
III.1.2.1 Méthode de fixation du prix
III.1.2.1.1. En fonction des objectifs
III.1.2.1.2. En fonction des concurrents
III.1.2.1.3. En fonction des coûts
III.1.3. La place
III.1.4. Promotion
III.1.4.1. La publicité permanente
III.1.4.2. L’enseigne
III.1.4.3. La publicité sur les véhicules
III.1.4.4. Promotion des ventes
III.2. En termes de clientèle
III.2.1. La stratégie pull
III.2.2. La stratégie push
DEUXIÈME PARTIE: ÉTUDE FINANCIÈRE DU PROJET
CHAPITRE I : ÉVALUATION D’INVESTISSEMENT DU PROJET
SECTION I : LES DÉPENSES D’INVESTISSEMENT EN IMMOBILISATION
I.1. Définition
I.2. La nature des investissements et ses coûts
I.2.1. Les éléments constitutifs de l’investissement
I.2.1.1. Frais de développement
I.2.1.2. Terrain
I.2.1.3. Construction
I.2.1.4. Aménagement, Agencement et Installations (AAI)
I.2.1.5. Matériels industriels
I.2.1.6. Matériels de bureau et informatique
I.2.1.7. Matériels de transport
I.3. Amortissement
I.3.1. Définition
I.3.2. Modalité de calcul
I.3.2.1. Amortissement de frais de développement
I.3.2.2. Amortissement de construction
I.3.2.3. Amortissement d’installation
I.3.2.4. Amortissement de matériel et outillage industriel
I.3.2.5. Amortissement de matériel de bureau et informatique
I.3.2.6. Amortissement de matériel de transport
SECTION II : LES CHARGES D’EXPLOITATION ET LES PRODUITS D’EXPLOITATION
II.1. Charges d’exploitation
II.1.1. Définition
II.1.1.1. Matière première
II.1.1.2. Emballage
II.1.1.3. Eau et électricité
II.1.1.4. Fourniture d’entretien et petit équipement
II.1.1.4.1. Fourniture d’atelier
II.1.1.4.2. Hygiène et sécurité de travail
II.1.1.5. Entretien et réparation
II.1.1.6. Carburant gaz lubrifiant
II.1.1.7. Frais d’analyse
II.1.1.8. Les frais postaux et de télécommunication
II.1.1.9. La publicité
II.1.1.10. Impôts, taxes et versements assimilés
II.1.1.11. Les charges du personnel (compte 64)
II.1.1.11.1. Le personnel
II.1.1.11.2. Les charges sociales liées au salaire
II.2. Les produits d’exploitations
II.2.1. Les produits finis
II.2.2. Les sous produits (tourteau)
CHAPITRE II : ÉVALUATION FINANCIÈRE
SECTION I : FINANCEMENT PRÉVISIONNEL
I.1. Mode de financement
I.2. Organisme de financement
I.3. Caractéristiques de l’emprunt (crédit)
I.3.1. Caractéristique de l’emprunt
I.3.2. Plan de remboursement
SECTION II : OUTILS D’ANALYSE FINANCIÈRE
II.1. Compte de résultat prévisionnel
II.1.1. Définition
II.1.2. L’intérêt du compte de résultat
II.2. Bilans prévisionnels
II.2.1. Les éléments constitutifs du bilan
II.2.2. Présentation des bilans prévisionnels
SECTION III : PLAN DE TRÉSORERIE
III.1. Définition
III.2. Les composantes du plan
CHAPITRE III : ANALYSE FINANCIÈRE DE L’ACTIVITÉ ET ÉVALUATION DE LA RENTABILITÉ DE L’INVESTISSEMENT
SECTION I : ANALYSE DE L’ACTIVITÉ
I.1. Analyse à partir de la CAF
I.1.1. Notion de capacité d’autofinancement
I.1.2. Modalité de calcul
I.2. Analyse à partir du ratio
I.2.1. Sur la valeur ajoutée
I.2.2. Solvabilité de l’entreprise
I.2.3. Marge commerciale
I.3. Étude de la rentabilité
I.3.1. Rentabilité financière (Rfn) ou rentabilité des capitaux propres
I.3.2. La rentabilité économique (Re)
I.3.3. La rentabilité des ressources durables
I.4. Seuil de rentabilité
I.4.1. Coûts variables
I.4.2. Coûts fixes
I.4.3. Modalité de calcul
SECTION II: ÉVALUATION DE LA RENTABILITÉ DE L’INVESTISSEMENT
II.1. Élément nécessaire à l’évaluation
II.2. Estimation des flux nets dégagés par le projet (cash-flows)
II.2.1. Capital investi
II.2.1.1. Montant du capital investi
II.2.1.2. Durée de vie
II.2.1.3. Valeur résiduelle
II.2.1.4. La variation du Besoin en Fonds de Roulement (BFR)
II.2.2. Évaluation des cash-flows
II.3. Critères d’évaluation
II.3.1. Valeur actuelle nette (VAN)
II.3.1.1. Définition et calcul
II.3.1.2. Interprétation
II.3.2. L’indice de profitabilité (IP)
II.3.2.1. Définition et calcul
II.3.2.2. Interprétation
II.3.3. Le taux de rentabilité interne (TRI)
II.3.3.1. Définition et calcul
II.3.3.2. Interprétation
II.3.4. Le délai de récupération du capital investi (DRCI)
II.3.4.1. Définition et calcul
II.3.4.2. Interprétation
II.4. Selon les critères d’évaluation
II.4.1. Pertinence
II.4.2. Efficacité
II.4.3. Efficience
II.4.4. Pérennité
SECTION III : ÉVALUATION SOCIO-ÉCONOMIQUE ET PERSPECTIVE DE SUGGESTIONS POUR LA FILIÈRE
III.1. Impact environnemental de l’exploitation
III.2. Impact de l’exploitation sur le revenu national
III.3. Environnement santé
III.4.Impact du projet sur les zones d’exploitation
III.5. Croissance économique
III.6. Perspectives et suggestion à la filière
III.6.1. Dans le cadre du financement
III.6.1.1. En ce qui concerne la production de canne à sucre
III.6.1.2. Création de l’association paysanne ou de planteurs de la canne à sucre
III.6.1.3. Importance de l’association
III.6.1.4. Au niveau de la transformation
III.6.1.5. Sur le plan commercial
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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