Evaluation de l’incidence socio-Economique de la grippe aviaire en cote d’ivoire au cours de l’année 2006

Importance socio-économique

En Côte d’Ivoire, la poule de race traditionnelle ou « bicyclette » est à peine mentionnée dans la classification des richesses. Cependant, elle joue un rôle socioéconomique important. Sur le plan social, la poule intervient dans diverses cérémonies rituelles et religieuses (naissances, baptêmes, circoncisions, mariages, décès…) (SAVANE, 1996). En outre, les produits avicoles sont faciles à offrir aux parents et aux amis comme présents lors des fêtes ou visites. Dans certaines sociétés africaines, la poule est entourée de mythes. En effet,la poule est considérée comme un plat exceptionnel qui n’est offert qu’aux personnes auxquelles on attache une importance particulière (les jeunes mariés, les femmes qui ont accouchées, les hôtes à honorer), ou pendant les fêtes (Tabaski, Ramadan, Noël, Pâques…).
Cependant, ce mythe est de plus en plus brisé et on consomme cette viande chaque fois que les moyens économiques le permettent. Lapoule traditionnelle est très appréciée par toute la population ivoirienne en raison de ses caractères organoleptiques et de la conformité aux principes religieux (Islam), en comparaison avec des souches commerciales importées. Sur le plan économique, l’aviculture traditionnelle contribue à l’amélioration de la situation économique des populations rurales. La pouletraditionnelle élevée en milieu villageois constitue un revenu pour les populations rurales même si ses performances demeurent relativement faibles. La vente locale des œufs et des poules permet à ces populations de satisfaire leurs besoins immédiats.

Protection sanitaire

Par opposition à l’aviculture moderne, la couverture sanitaire est, dans la majorité des cas, quasi-inexistante en aviculture traditionnelle. Il y’a une absence de prophylaxie sanitaire contre l’ensemble des maladies aussi bien infectieuses que parasitaires.
Les oiseaux jouissent très rarement de la surveillance du propriétaire (GUEYE et coll, 1999). Les quelques rares soins se résument à l’administration de préparations issues de la pharmacopée traditionnelle, notammentdes vermifuges comme des extraits de piments ou de feuilles et d’écorce d’Azadirachta indicadilués dans de l’eau de boisson (BULGEN et coll.1992). Les maladies fréquemment rencontrées sont, la pseudo peste aviaire, le choléra aviaire, la coccidiose aviaire. Il faut également signaler les maladies qui frappent la volaille importée et aussi les oiseaux locaux dont les plus meurtrières sont la maladie de GUMBORO, la maladie de NEWCASTLE et la maladie deMARECK (BOYE, 1990)

Production

L’élevage traditionnel de volailles est répandu presque partout dans le pays avec une grande prédominance dans les parties Centre et Nord du pays. La productivité est très faible, de l’ordre de deux poulets consommables par an et par poule mais les coûts de production sont quasiment nuls. L’objectif essentiel de ce type d’élevage est l’autoconsommation.

Aviculture moderne

Définition

L’aviculture moderne comprend : l’aviculture industrielle et l’aviculture moderne ou améliorée. L’aviculture industrielle se définit d’après LISSOT,cité par DIOP (1982), comme un établissement qui possède un couvoir, qui utilise des poussins d’un jour issus des multiplicateurs de souches sélectionnées, qui nourrit les volailles, avec des aliments complets ou des aliments supplémentés, produits par une industrie spécialisée et qui pratique des mesures de lutte (prophylaxie, traitements). Ce type d’aviculture utilise des équipements modernes. En Côte d’Ivoire l’aviculture industrielle est spécialisée dans la production de poulets de chair et la production des œufs de consommation. La taille des élevages de poulets de chair varie de 60.000 à 120.000 poulets de chair/bande avec en moyenne 100.000 poulets de chair/bande. La taille des élevages de poules pondeuses varie de 20.000 à 120.000poussins ponte avec en moyenne 50.000 poussins ponte. La production d’œuf varie de 700 à 2000 plateaux/jour avec une moyenne de 1200 plateaux/jour. En Côte d’Ivoire, lesprincipaux aviculteurs industriels sont :
– dans la région d’Abidjan: COCO Service (CS), Aliments de Côte d’Ivoire (ALCI), Société Ivoirienne de Production Animale (SIPRA), Fabrication Aliments de Côte d’Ivoire (FACI), à Agnibilékrou : Ferme Ouattara Ali Nanan Issa (FOANI).
Dans l’aviculture améliorée ou moderne, l’aviculteur utilise des poussins de souche améliorée d’un jour, importés ou produits sur place par les accouveurs. Il nourrit les volailles avec des aliments complets produits par une industrie spécialisée ou par les aviculteurs eux-mêmes. Il pratique également des mesures de lutte (prophylaxie, traitements). En Côte d’Ivoire on dénombre des milliers d’aviculteurs modernes repartis dans tout le pays. La taille des élevages de poulets de chair varie de 300 à 2.000 poulets de chair/bande avec en moyenne1000 poulets de chair/bande. La taille des élevages poules pondeuses varie de 100 à 1.200 poussins ponte avec en moyenne 700 poussins ponte. La production d’œuf varie de 60 à 200 plateaux/jour avec une moyenne de 90 plateaux/jour. Aujourd’hui, l’aviculture moderne connait une expansion importante. Elle est réalisée par environ 1500 exploitations individuelles et offre plus de 30 000 emplois directs et indirects (Côte d’Ivoire/MIPARH, 2005).
Cette croissance est le résultat de la politique de développement mise en place par l’Etat à partir de 1976, d’abord à travers leprojet d’Elevage de Cycle court (PE2C) et plus tard à travers le Programme d’Ajustement Structurel (PAS) (ESSOH, 2006).

Politique de développement de l’aviculture

Projet de Développement d’Elevage de Cycle court (PE2C)

Le PE2C a vu le jour en 1977. A cette époque, les intrants alimentaires et médicamenteux, les poussins d’un jour et l’encadrement technique étaient offerts gratuitement ou en partie par les deux structures étatiques à savoir la SODEPRA et la SIPRA (KOUAKOU, 2005).L’élevage ivoirien en général et en particulier l’aviculture s’est développée et s’est modernisée rapidement. Ladeuxième politique de développement de l’aviculture a vu lejour avec l’avènement du Programme d’Ajustement Structurel (PAS).

Types de spéculations

En fonction des objectifs, l’aviculture moderne connaît trois types de spéculations :
-la spéculation « chair »avec les élevages qui n’élèvent que le poulet de chair ;
-la spéculation « ponte »avec les élevages qui n’élèvent que les poules pondeuses ;
-la spéculation « mixte »qui est l’association des deux spéculations précédentes.
Dans la région d’Abidjan, plus de la moitié des unités sont spécialisées dans l’élevage des poulets de chair. A Agnibilékrou ce sont les pondeuses qui prédominent.
A ces trois spéculations, s’est ajouté l’élevage des reproducteurs bien qu’il soit encore à l’état embryonnaire.

Mise en place des poussins d’un jour

La mise en place de poussins d’un jour dans l’élevage moderne de volaille permet de prévoir les quantités probables à mettre sur lemarché en fin de cycle d’élevage. Ces mises en place sont à la foisfonction des accouveurs et de la capacité des élevages.
Elles déterminent la taille du cheptel installéchaque année. Le tableau V indique les effectifs mis en place de 2000-2005 au plan national.

Structure et acteurs de la filière

Structure et mode d’échange de la filière

La filière avicole est caractérisée par une structure très hétérogène. L’élevage est assuré par les éleveurs individuels traditionnels ou modernes. Ces éleveurs signent des contrats spécifiques de vente avec les opérateurs en aval tel la SIPRA ou avec des grossistes individuels. Le transport des produits (poules ou œufs) est assuré soit par l’éleveur ou par l’acheteur. Ce dernier fait abattre les poules et les conditionne pour lesrevendre aux supermarchés ou dans les lieux spécifiques (c’est le cas de la SIPRA àtravers la COQIVOIRE) ou revend les poulets vivants aux détaillants. Leconsommateur achète la viandede poulet « dit prêt à cuir ou à bouillir » dans lessupermarchés et autres lieux aménagés à cet effet (cabane de COQIVOIRE) ou dans les différents marchés physiques. Dans les marchés, les poulets sont achetés vivants et l’abattage se fait au domicile du consommateur ou sur place à la demande de celui-ci.
La figure 8 présente une image assez fidèle dela filière interne de vente de volaille et œufs en élevage moderne.

Grossistes-importateurs de produits vétérinaires

Avant la libéralisation de la profession vétérinaire, au sud du Sahara, les médicaments et produits vétérinaires étaient distribués par l’Etat. Ainsi, au Togo et au Bénin, ce sont respectivement la Pharmacie Nationale Vétérinaire (PHARNAVET) et la pharmacie GTZ qui assuraient la distribution au nom de l’Etat (ASSOGBA et AKODA cités par ESSOH, 2006). Depuis le désengagement des Etats de ce secteur, différentes entreprises privées ont vu le jour. En Côte d’Ivoirede nombreux grossistes importateurs se sont investis. Mais la crise politico-militaire a conduit à la fermeture de certaines entreprises. Aujourd’hui une dizaine de grossistes importateurs sont en activité parmi lesquels: Produits vétérinaires(PROVETO), Comptoirs de Distribution de médicaments Vétérinaires(CODIVET), Pharmacie Vétérinaire (PHARMAVET), Société Anonyme Produits Vétérinaires de Côte d’Ivoire (SN PROVECI), Cabinet Privé Vétérinaire (CPV), Grande Pharmacie du Commerce(GPC). Le chiffre d’affaires des importateurs en 2005 était de 1,4 milliards FCFA Il représente 25% de celui de l’UEMOA et occupe le second rang après celui du Mali (43%) (ESSOH, 2006).
Le chiffre d’affaires se repartit comme suit : 31% pour les antiparasitaires, 24% pour les antibiotiques, 24% pour les vaccins et sérum dont 21,17% pour les vaccins aviaires.
Il existe aussi un réseau de structures d’appui et/ou de diagnostic vétérinaire comprenant des services vétérinaires du Ministère de la Production Animale et de Ressources Halieutiques (MIPARH), des techniciens de l’Agence Nationale d’Appui au Développement Rural (ANADER), des vétérinaires privés et des pharmaciens. Ce réseau est toutefois insuffisamment exploité par les éleveurs car les coûts des prestations sont élevés et/ou par manque d’informations sur ces structures.

Eleveurs de poulets de chair et Producteurs d’œufs

Les éleveurs de poulets de chair et les producteurs d’œufs deconsommation sont constitués d’environ 500 producteurs d’œufs et d’un millier de producteurs de poulets de chair (IPRAVI, 2005).Les éleveurs ont des capacités variables de production. Elles oscillent entre 1 000 et 2 000 poussins par lot pour les petitsproducteurs, et atteignent 10 000 à 12 000 poussins par lot pour les grands producteurs. En aval, l’on peut identifier les opérateurs suivants : une unité moderne d’abattage de volailles (COQIVOIRE qui dépend de la SIPRA). A côtél’on a les abatteurs indépendants qui se trouvent sur les marchés de vente devolailles, deux unités modernes de conditionnement d’œufs (COQIVOIRE etCOCO SERVICE), des commerçants (grossistes et détaillants) spécialisés dans la distribution des produits avicoles, et qui demeurent traditionnels pour la grande majorité d’entre eux.

Acteurs institutionnels

L’on regroupe sous le vocable « Acteurs institutionnels»l’ensemble des organisations mises en place par les professionnels et les structures étatiques qui sont chargées d’accompagner les opérateurs de la filière.

Organisations professionnelles

Quatre organisations professionnelles existentau sein de la filière. Les aviculteurs se sont regroupés en Union des Aviculteurs de Côte d’Ivoire (UACI), et en Association Nationale des Aviculteurs deCôte d’Ivoire (ANAVICI). Les industriels se sont regroupés en Association des Industriels Distributeurs d’Intrants et de Produits avicoles (INTERAVI). Les deux groupes (aviculteurs, industriels) se sont associés pour donner l’Interprofessionnelle Avicole Ivoirienne (IPRAVI). La figure 9 donne un Schéma simplifié de l’organisation de la filière avicole.

Abandon partiel ou total de l’activité

Lors de l’apparition de la GA, l’ensemble des opérateurs a été frappé indirectement par la psychose de celle-ci. Cet indicateur permet d’apprécier la reprise ou non de l’activité (production, transformation ou commercialisation). Il est à la fois économique et social. L’abandon total correspond à la perte du revenu (R1) lié à l’activité. L’abandon partiel correspond à unmanque à gagner dont il faut tenir compte dans les estimations des effets de la GA.

Indicateurs sociaux

Emplois et valeur humaine

Les pertes d’emplois de façon définitive oupartielle correspondent à des stades de pertes de la valeur sociale (pertes de revenus), de la perte du pouvoir d’achat. Par la même occasion d’autres nouveaux emplois peuvent être crées hors de la filière avicole.

Comportement d’achat et de consommation

L’apparition de la GA pourrait entraîner chez le consommateur de nouveaux comportements qui sont entre autre l’abandon total ou partiel de consommation de produits avicoles; la baisse des quantités moyennes consommées, la méfiance vis-à-vis des produits avicoles. La conséquence serait alors la perte de valeur des produits avicoles et donc un découragement à moyen terme de la production.

Prix des produits de substitution

La perte de qualité et de quantité d’un produit implique nécessairement la consommation de biens de substitution. Pendant la période de la grippe aviaire, labaisse de la consommation de la volaille a entraîné une forte demande de biens de substitution. Cette situation a engendré forcement l’augmentation du prix de ces biens.
Dans notre cas, les biens de substitution étaient le poisson, laviande et abats de porcs, la viande de bœufs et de mouton etla viande de brousse ou du gibier.

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: GENERALITES SUR L’AVICULTURE EN CÔTE D’IVOIRE ET LA GRIPPE AVIAIRE
CHAPITRE I : ECONOMIE ET FILIERE AVICOLE
1 : Contexte macro économique de la Côte d’Ivoire
1.1 : Présentation de la Côte d’Ivoire
1.2 : Economie
1.2.1 : Evolution de l’économie ivoirienne
1.2.1.1 : Croissance économique1960-1980
1.2.1.2 : Crise économique1980-1993
1.2.1.3 : Dévaluation et de relance économique 1994-1998
1.2.1.4 : Crise politicomilitaire et ses conséquences
1.3 : Agriculture et PIB
1.4 : Elevage et PIB
2 : Filière avicole ivoirienne
2.1 : Aviculture traditionnelle
2.1.1 : Définition
2.1.2 : Effectifs du secteur villageois
2.1.3 : Importance socio-économique
2.1.4 : Protection sanitaire
2.1.5 : Production
2.2 : Aviculture moderne
2.2.1 : Définition
2.2.2 : Politique de Développement de l’Aviculture
2.2.2.1 : Projet de Développement d’Elevage de Cycle Court (PE2C)
2.2.2.2 : Programme d’Ajustement Structurel (PAS)
2.2.3 : Production
2.2.3.1 : Race et souches exploitées
2.2.3.2 : Zones de production
2.2.3.3 : Type de spéculations
2.2.3.4 : Mise en place de poussins d’un jour
2.2.3.5 : Production de volaille et d’œufs de consommation
2.2.3.6 : Production d’aliment de volailles
2.2.4 : Evolution des importations de viandes et abats de volailles
2.2.5 : Prix des différents stades de la filière
2.2.5.1 : Prix des intrants avicoles
2.2.5.2 : Prix des produits avicoles
2.2.6 : Consommation de volaille et d’œufs de consommation
3 : Structures et Acteurs dela filière avicole
3.1 : Structure et mode d’échanges de la filière
3.2 : Acteurs de la filière
3.2.1 : Acteurs directs et indirects
3.2.1.1 : Accouveurs et éleveurs de reproducteurs
3.2.1.2 : Fabricants d’aliments
3.2.1.3 : Grossiste Importateur deproduits vétérinaire
3.2.1.4 : Eleveurs de poulets de chair et Producteurs d’œufs de consommation
3.2.2 : Acteurs institutionnels
3.2.2.1 : Organisations professionnelles
3.2.2.2 : Structures organisationnelles étatiques
3.2.3 : Organismes de financement
3.2.4 : Laboratoires
4 : Contraintes de la filière avicole
4.1 : Contraintes financières
4.2 : Contraintes commerciales
4.3 : Contraintes zootechniques
4.3.1 : En élevage traditionnel
4.3.2 : En élevage moderne
4.4 : Contraintes pathologiques
4.5 : Problèmes fonciers
CHAPITRE II : GENERALITE SUR LA GRIPPE AVIAIRE
1 : Définition
2 : Synonymie
3 : Espèces affectées
4 : Importance de la grippe aviaire dans le monde
4.1 : Importance médicale
4.2 : Importance hygiénique
4.3 : Importance économique
5 : Historique des derniers foyers dans le monde et en Afrique
6 : Etudes clinique et lésionnelle
6.1 : Signes cliniques
6.2 : Lésions
7 : Epidémiologie synthétique
7.1 : Répartition géographique
7.2 : Evolution dans le temps
7.3 : Evolution dans l’espace
8 : Diagnostic
8.1 : Méthodes virologiques directes
8.2 : Méthodes virologiques indirectes
9 : Lutte
CHAPITRE III: EVALUATION DE L’IMPACT ECONOMIQUE DES MALADIES ANIMALES
1: Approche micro-économique
1.1 : Coûts directs
1.1.1 : Coûts de la maladie
1.1.2 : Coûts de la lutte
1.2 : Coûts indirects
2 : Approche macro- économique
3 : Approche commercial
DEUXIEME PARTIE: EVALUATION DE L’INCIDENCE SOCIO-ECONOMIQUE DE LA GRIPPE AVIAIRE EN COTE D’IVOIRE AU COURSDE L’ANNEE 2006
CHAPITRE I : DEMARCHE METHODOLOGIQUE
1 : Zone d’étude
2 : Support d’enquête
3 : Méthode d’étude
3.1 : Méthode d’échantillonnage
3.2 : Déroulement de l’enquête
3.2.1 : Phase de pré enquête
3.2.2 : Phase d’enquête formelle ou de récolte de données
3.3 : Méthode de traitement des données
3.4 : Indicateurs de l’impact et méthode de quantification
3.4.1 : Indicateurs épidémiologiques
3.4.1.1 : Taux de mortalité
3.4.1.2 : Taux de morbidité
3.4.2 : Indicateurs économiques d’évaluation des coûts
3.4.2.1 : Coût de la maladie sans lutte Stratégie
3.4.2.1.1 : Coût direct
3.4.2.1.2 : Coût indirect
3.4.2.2 : Stratégie B ou Pertesmalgré la lutte
3.4.2.3 : Coût de lalutte
3.4.2.4 : Etude de rentabilitéde la lutte
3.4.2.5 : Au niveau de la production
3.4.2.6 : Au niveau de la commercialisation
3.4.2.7 : Abandon partiel ou total de l’activité
3.4.3 : Indicateurs sociaux
3.5 : Méthode d’analyse des données
CHAPITRE II : RESULTATS
1 : Résultats épidémiologiques
1.1 : Origine de la maladie
1.2 : Etapes du diagnostic et confirmation de la maladie
1.3 : Indice de santé épidémiologique
2 : Résultats économiques
2.1 : Coût de la maladie sans lutte ou Stratégie A
2.1.1 : Coût direct
2.1.2 : Coût indirect
2.1.2.1 : Fabricants d’aliments
2.1.2.1.1 : Pertes liées au déficit de production
2.1.2.1.2 : Pertes liées aux invendues
2.1.2.2 : Accouveurs ou vendeurs de poussin d’un jour
2.2.2.2.1 : Déficit de production
2.1.2.3 : Abattoirs modernes de volailles
2.1.2.4 : Aviculteurs modernes
2.1.2.5 : Commerçants de volailles vivantes
2.1.2.5.1 : Grossiste de volailles
2.1.2.5.2 : Détaillants de volailles
2.1.2.6 : Commerçants d’œufs de consommation
2.12.6.1 : Grossistes d’œufs
2.1.2.6.2 : Détaillants d’œufs
2.1.2.7 : Importateurs de viande etabats de volailles congelées
2.1.2.8 : Maquis et restaurants
2.1.2.9 : Braiseurs devolaille
2.2 : Stratégie B ou Perte malgré la lutte
2.3 : Coût de lalutte
2.3.1 : Au niveau del’Etat
2.3.1.1 : Volet de la santé animale
2.3.1.1.1 : Abattages sanitaires et indemnisations
2.3.1.1.2 : Destruction des carcasses etdésinfection des marchés
2.3.1.1.3 : Vaccination
2.3.1.2 : Volet de la surveillance des oiseaux migrateurs
2.3.1.3 : Volet des ressource humaines
2.3.2 : Au niveau des Industriels
2.3.2.1 : Biosécurité
2.3.2.2 : Coûts administratifs
2.3.2.3 : Publicité
2.4 : Rentabilité de lalutte
3 : AU NIVEAU DU COMPORTEMENT DES CONSOMMATEURS
3.1 : Caractéristiques des consommateurs
3.2 : Connaissance générale de la grippe aviaire
3.3 : Consommation des protéines animales
3.4 : Analyse qualitative de la consommation
3.5 : Analyse quantitative dela consommation
4 : Impact social
4.1 : Fabricants d’alimentset accouveurs
4.2 : Aviculteurs modernes
4.3 : Commerçants de volailles et d’œufs
4.4 : Commerçants d’œuf de consommation
4.5 : Consommation
CHAPITRE III-DISCUSSIONET RECOMMANDATIONS
1 : Discussion
1.1 : Discussion de laméthodologie
1.1.1 : Choix des enquêtés
1.1.2 : Choix des zones d’études
1.1.3 : Méthodologie de l’enquête
1.2 : Discussion des résultats
1.2.1 : Résultats épidémiologiques
1.2.2 : Résultats économiques
1.2.3 : Au plan social
2 : Recommandations
2.1 : A l’endroit des autorités étatiques
2.1.1 : Au plan national
2.1.2 : Au plan sous-régional
2.2 : A l’endroit des organisations professionnelles
2.3 : A l’endroit des aviculteurs
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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