DIVERSITE DES POLITIQUES LINGUISTIQUES DES RADIOS ET DES TELEVISIONS

Les conditions climatiques

                    La situation géographique du Betsileo sur les hauts-plateaux détermine naturellement les conditions climatiques. Généralement le climat est doux et humide. La température, très douce, ne dépasse guère, au cours des mois les plus chauds 29 ou 30 degrés centigrades ; au cours des mois les plus frais, elle s’abaisse surtout dans les parties les plus élevés à 60. L’année est divisée en deux saisons bien distinctes ; l’une dite, saison sèche ou saison d’hiver, qui va de mai à septembre inclusivement, saison sans pluie comme l’indique le premier nom, saison d’arrêt forcé de la végétation. L’autre, saison des pluies ou saison d’été, que traversent des séries plus ou moins intermittentes d’orages violents. Elle commence ordinairement à la fin d’octobre ou au commencement de novembre pour finir en avril. C’est l’époque de la belle verdure, des fleurs et des fruits. Le régime des pluies est caractérisé par de violents orages pendant l’été. Les accidents ne sont pas rares. Une seule décharge produit parfois des effets monstrueux. Quelquefois des gardiens de bœufs sont morts foudroyés avec quelques-unes de leurs bêtes, des maisons incendiées, des arbres abattus. Si impressionnants toutefois que soient les éclats de la foudre, si réels que soient les accidents, les conséquences des pluies torrentielles elles-mêmes sont plus sensibles : éboulements de terrains, chutes de maisons, chemins démolis, ponts emportés, récoltes compromises ou ravagées, rien n’échappe à ces déluges destructrices qui submergent tout, rongent tout, bousculent tout. Mais l’été touche à sa fin. Après janvier aux pluies diluviennes et aux grandes chaleurs, vient l’automne à la température décroissante et aux ondées plus rares. Puis voici que le dernier effort de la pluie : huit jours d’averses ininterrompues. Les vallées sont inondées, les rizières submergées, les plants de riz parfois se couchent lamentablement dans la vase d’où ils auront peine à se relever. En mai, les orages se sont tus et le froid commence. Pays, plantes, bêtes et gens prennent aussitôt un air frileux. La grande herbe des couteaux se dessèche et roussit ; quelques arbres se dépouillent complètement et de l’Est souffle de plus en plus le vent chargé de bruine. Ce vent de l’Est ou de l’Alizé est de tous les jours et de toutes les saisons. Les autres directions sont presque inconnues. Toujours, venant du Grand Océan Indien, passant sur la forêt, souffle un courant continu d’air froid fatigant. En été, il peut être supportable et même rafraîchissant, en hiver, il devient un véritable fléau. Le vent nous amène aux cyclones. Le pays Betsileo les connaît, bien que ce ne soit pas leur terre de prédilection, située un peu plus au nord dans la région de Toamasina et d’ Antsiranana. Plusieurs ont passé et ont provoqué d’importants dégâts ; des toits arrachés, des murs renversés, des arbres abattus, des ruines de toutes sortes. En dernier ressort on peut dire qu’au pays betsileo on peut goutter la douceur de vivre.

L’approche psychosociologique

                 Cette approche veut mettre l’accent sur l’importance du contexte socio-culturel dans lequel s’inscrit la communication et l’influence de l’identité des acteurs impliqués et le type de relation qu’ils entretiennent entre eux. Elle envisage saisir les mécanismes psychologiques des acteurs se trouvant dans un contexte précis qui en est la moule. Dans ce courant de recherche, Les acteurs ne sont plus séparés comme dans l’approche mécaniciste, au contraire, ils se sont rassemblés dans un même processus.
Les acteurs : Il est évident que les acteurs impliqués dans une communication ont chacun leurs identités caractérisées surtout par leurs différents statuts (âge, sexe, niveau d’étude, profession…..) leur personnalité, leur histoire personnelle, leur système de valeurs. Ces facteurs identitaires confèrent aux individus une certaine place dans la société et influent beaucoup sur la communication. En effet de telle place détermine alors les types de communication permis ou interdits. A titre d’exemple, on peut avancer que l’on ne communique pas de la même façon avec un collègue qu’avec un supérieur, avec son beaufrère qu’avec sa femme. On a pu constater alors que la communication ne se réduit pas à la seule relation linéaire et mécanique entre l’émetteur et le récepteur, elle est aussi d’ordre psychosocial où tous les facteurs cités ci-dessus entre en jeu.
Les attitudes et relations affectives : Cette tendance met aussi en relation les attitudes et les relations affectives. On considère ici une relation d’< équilibrée > quand les attitudes ont une même orientation ( ils apprécient tous les deux la lecture de la bible ). Dans le cas contraire la relation tend vers le déséquilibre ou même aller jusqu’à la rupture. De telle théorie, T. Newcomb a pu élaborer son modèle à trois éléments fondamentaux: deux individus (A et B) et un objet (X). Pour mieux expliciter, allons emprunter l’auteur : < La relation entre A et B est déterminée en termes d’attitude et d’union positives ou négatives et la relation de chacun d’eux envers l’objet extérieur X en terme d’attraction ou de répulsion……… Il y a équilibre si toutes les relations sont positives (Jean et Marie s’aiment et sont tous deux fous de cinéma) ou si deux d’entre elles sont négatives et la troisième positive (Jean et Marie qui s’aiment ont la même aversion pour les week-ends à la campagne ; ou bien Jean, militant d’extrême droite convaincu, méprise Jacques qui combat la droite). La situation contraire provoque le déséquilibre. En considérant qu’un trait plein marque une relation positive (attirance) et un trait hachuré une relation négative (rejet) notre premier exemple serait figuré par une liaison de trois traits pleins et considéré comme une relation d’équilibre, alors qu ‘une relation de déséquilibre pourrait être figurée par le second schéma (Marie, amie des bêtes, aime Jean, passionné de chasse) >.5 Equilibre Déséquilibre : On peut résumer ce modèle par le proverbe français : < qui se ressemble s’assemble >. Cependant comme l’auteur a toujours dit, ce modèle a aussi ses limites dans le fait qu’il ne tient pas compte des phénomènes d’ambivalence ou de doute et des fluctuations d’opinion. La notion de discussion et de négociation semble s’envoler à travers ce modèle.
Les facteurs contextuels : Par ailleurs qu’est ce que l’on entend par contexte. Beaucoup y ont déjà apporté leurs contributions dans la définition si bien qu’actuellement le concept renferme une mosaïque d’éléments. Il peut être structuré par la culture. Il porte aussi sur soi des codes sociaux, des normes, des règles qui lui permettent d’avoir une main mise sur la communication. Pour les linguistes, il s’agit du < co-texte > ou cet environnement d’une unité déterminée. On peut le voir aussi sous l’angle du cadre spatio-temporel. On entend par cadre ici ces aspects physiques, topologiques et temporels de l’échange. On ne communique pas de la même façon dans sa maison ou dans son bureau. Et même l’heure, influe beaucoup aussi sur le rythme des échanges. Le contexte est tellement marqué par la culture. Prenons par exemple la conversation entre père et fils ; pour les français, ces deux acteurs peuvent se tutoyer alors qu’une telle habitude est taboue pour les malgaches. D’ailleurs dans la société malgache d’antan, le cadet ne devait jamais parler avant l’aîné. A travers ces quelques exemples, on peut constater alors la force ou la mainmise de la culture sur la communication. Si on ne s’adapte pas par conséquent à une culture du milieu on risque de ne jamais s’entendre avec quelqu’un de cette culture. Combien de fois alors, les normes, les règles, les codes sociaux d’une culture, ne cessent d’imposer leurs contraintes dans la communication sociale. Ensuite, le concept peut être aussi saisi par la notion de < participants >. Combien la communication se modifie –t- elle en la présence d’une tierce personne. Ceux-ci, même ne participant directement pas à l’échange, en influent beaucoup le déroulement par leur simple présence. Goffman appelle même de < participant ratifié >, celui qui, même silencieux, est intégré dans le cercle des échanges, comme le parent qui vous accompagne au moment où l’on rencontre un ami dans la rue si nous prenons même l’exemple de l’auteur ici. Et de < participant non ratifié > l’auditeur involontaire, comme le voisin de siège dans le bus. Le premier a le devoir de se montrer intéressé par l’échange tandis que le second semble ne pas voir ni entendre ce qui se passe à ses côtés.
L’échange de signification Enfin, cette approche a beaucoup insisté aussi sur l’échange de signification. Pour ce faire, la communication n’est pas seulement l’échange des informations mais elle est en plus un partage de sens à l’aide des signaux diversifiés, verbaux ou non verbaux. Ici, les échanges non verbaux (gestes, mimiques, postures,…) semblent être privilégiés car on a pu remarquer que bon nombre d’informations transitent par cette voie. En effet, certaines significations ne peuvent-être pas appréhender qu’à travers le comportement qui est beaucoup plus manifeste par l’échange non verbal que verbal. On peut illustrer cela par le passage ci-après : < une phrase rituelle d’accueil prononcée d’un ton uniforme, sans sourire et avec raideur n’émet pas un message de bienvenue > d’où l’origine de la notion de < multicanalité > de la communication. L’Ecole de Palo Alto a été le précurseur de cette approche. Selon elle, la communication ne renvoie pas à une théorie de l’information mais à une théorie des < comportements >. La signification devrait être saisie alors à travers la psychologie comportementale de l’acteur pour ne pas se tromper facilement par la prétendue signification patente d’un message. L’approche psychosociologique a ainsi complexifié les éléments qui composent le processus de communication. Delà, la communication est considérée comme un composé dont on explique la structure en isolant ses éléments. Cependant il existe aussi une autre façon d’envisager la communication comme un ensemble dynamique dans lequel les relations entre les éléments viennent en premier plan. C’est là que vient alors une approche que l’on a qualifiée d’interactionniste.

La dynamique interactionnelle

                Etant un acte social, la communication est aussi porteuse d’enjeux qui peuvent être opératoires (obtenir une information, persuader,…) et aussi d’ordre symbolique tel que donner une bonne image de soi, rechercher la reconnaissance d’autrui… La communication est conçue ici comme une action visant la recherche d’une satisfaction ou d’un profit. Pour cela, le processus de communication est assimilable à un ensemble de démarches stratégiques. Enjeux et stratégies constituent alors à cet effet les ressorts de ce que l’on entend par dynamique interactionnelle.
Les enjeux Les enjeux sont souvent d’ordre symbolique. Goffman l’a bien explicité car selon lui les interactions sociales impliquent souvent une représentation de soi où chacun cherche à imposer et défendre son image, sa < face > qu’il considère comme son identité sociale. On peut illustrer cela en prenant le cas d’un mécanicien automobile se faisant le plaisir de tatouer sa peau à l’image d’une clé. Pour les enjeux opératoires, chaque interlocuteur cherchera donc à s’assurer la maîtrise des éléments qui commandent ces enjeux en composant avec son partenaire. Par exemple, pour s’intégrer effectivement dans une relation d’amitié avec un ami, vous lui demander de vous prêter un livre, une cassette, de l’inviter à une pose café……tout ce qui peut mener à une relation effective. Et pendant ces temps, vous devez aussi bien prendre le soin de ne pas l’irriter ou le blesser.
Les stratégies : Quant à la stratégie, celle-ci se rattache plutôt à la démarche orientée vers la recherche d’une satisfaction, d’un gain ou d’un profit (réel ou symbolique) Dans ce cadre, il existe deux grands types de stratégies ; celles qui tendent à < maximiser les profits > (arriver à sa fin / apparaître comme le meilleur dans sa partie…..) et celles qui consistent à < minimiser les pertes > (ne pas faire l’objet d’un honte,….) Par ailleurs cette recherche de la satisfaction peut aussi se spécifier selon des modes relationnels divers. A travers la théorie des jeux7 par exemple, la satisfaction a trait sur deux types de rapports : D’un coté, il y a le rapport des jeux à somme nulle où l’un gagne et l’autre perd. On peut illustrer cela par exemple le débat médiatique entre deux candidats à une élection où l’un ne peut s’imposer qu’au dépens de l’autre. De l’autre, il y a le rapport des jeux à somme non nulle où les joueurs peuvent ou gagner ou perdre en même temps. On peut saisir cela facilement dans le jeu coopératif où chacun trouve un bénéfice. Une équipe de volley-ball unie fournit un exemple ; la victoire de l’équipe équivaut aussi victoire de chaque joueur. Sur le plan communicationnel, on peut prendre l’exemple d’une conversation animée où chaque interlocuteur sert de stimulants aux autres et il y a une émulation entre participants. La conversation est tellement animée car les participants ont tous bien pu livrer leurs propres points de vue et les défendre. Cependant, malgré le cadre adéquat que peut nous fournir la notion de jeu, elle ne nous a pas suffisamment spécifiés les stratégies résultant de tous ces types de relation. D’où le recourt aux jeux psychologiques.
Les jeux psychologiques : Berne a été explicite sur ce point. D’après lui : < le jeu est un scénario répétitif, selon lequel chaque individu tend à structurer certaines de ses relations à autrui ; il est fait d’une série de transactions cachées par lesquelles le joueur cherche à s’assurer un gain, un avantage sur son partenaire. > Il peut nous faire aussi procurer un éclaircissement sur la signification psychologique et interactionnelle de la dynamique qui sous-tend nombre de communication. On peut illustrer cela par le jeu du < oui….mais > que Dominique Picard a pu bien décrire dans cette conversation entre deux personnes où l’une pose un problème et sollicite des solutions (Mlle Leblanc) et l’autre s’efforce d’y répondre :
– Mlle Leblanc : < Je n’arrive pas à réviser mon partiel >.
– Un conseiller : < Ca serait peut- être plus facile si tu étais dans le calme. Tu devrais arrêter ta musique.
– Non, sans musique je déprime. Le problème c’est que je ne retiens pas ce que j’apprends.
– Veux-tu que je te fasse réciter ?
– Surtout pas, j’aurais l’air d’une idiote et ça me bloquerait encore plus.
– Alors abandonne le par cœur et essaye de comprendre en t’aidant des schémas.
– Les schémas, c’est encore plus compliqué, il y a des flèches dans tous les sens >….8
Ici le gain psychologique est de se présenter comme démunie mais finalement de l’emporter sur ce qui pensait pouvoir le conseiller. Quand l’autre s’est cassé la tête sans pouvoir trouver une solution acceptable, Mlle Leblanc a, plus ou moins consciemment, le sentiment d’avoir gagné. Dans sa stratégie, elle a pu modifier alors sa position dans l’interaction en passant d’une position << basse >> de << demandeur >> à la position << haute >> de celui qui avait raison. De tout ce que nous venons de dire, nous avons tellement privilégié la communication interpersonnelle. Allons passer alors à la notion de communication de masse. Il s’agit toujours d’une communication mais cette fois-ci à large éventail. C’est à dire au lieu d’un interlocuteur on aura affaire avec une masse de l’audience, des auditeurs ou des récepteurs.

La radio MAMPITA

                  La radio MAMPITA est une radio associative rurale et captée sur FM 94 & 102 MHZ . Elle a été crée depuis 1997 et a démarré ses premières émissions le 08 juin 1998. C’est une radio privée non-confessionnelle. Son siège social se trouve à Ampasambazaha. Elle est née avec la coopération suisse et se dévoue entièrement aux paysans. Elle a une portée de 60 km environ et couvre au centre la sous-préfecture d’Isavola, à la périphérie 33 communes de Fianarantsoa II, au nord une partie d’Ambohimahasoa et au sud une partie d’Ambalavao. Sa mission principale consiste alors à appuyer les paysans dans le domaine de l’agriculture, de l’environnement, de la culture et de les aider dans l’acquisition de nouveaux comportements, par la production d’émission radiophonique favorisant l’avènement de la communication horizontale dans laquelle priment les échanges entre les paysans, entre techniciens. On voulait faire des paysans des responsables capables de faire des interpellations et de défendre leurs acquis afin qu’ils puissent contribuer avec efficacité au développement de leur région et par conséquent au développement de l’économie nationale. Ses objectifs consistent à ;
– présenter une programmation radiophonique adaptée au développement des ressources humaines de la région haute Matsiatra.
– de permettre l’expression de l’ensemble des composantes de la population.
– d’appuyer et d’accompagner les initiatives et activités de développement socioéconomique au niveau des communautés régionales, en mettant l’outil de communication ( Radio ) à la disposition de toutes les organisations oeuvrant en faveur du développement.
– de valoriser le savoir traditionnel et le patrimoine culturel des communautés concernées.
– donner une voix à ceux qui n’en ont pas dans les mass-médias.
– d’informer, d’éduquer et de divertir par la réalisation des programmes adaptés.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

Introduction
Première partie : Cadre général de la recherche 
I – Description administrative et géographique 
II – Les conditions climatiques 
III – Situation démographique 
IV – Approche théorique de la notion de communication 
IV.1 Généralités
IV.1.1 Histoire des théories et des modèles de communication
IV.1.1.1 La communication
IV.1.1.2 L’ échange langagier
IV.1.1.3 L’approche psychosociologique
IV.1.1.3.1 Les acteurs
IV.1.1.3.2 Les attitudes et relations affectives
IV.1.1.3.3 Les facteurs contextuels
IV.1.1.3.4 L’échange de signification
IV.1.1.4 L’approche interactionniste
IV. 1.1.4.1 Les interlocuteurs en relation
IV.1.1.4.1.1 Les rapports de place
IV.1.1.4.1.2 La construction du sens
IV.1.1.4.1.3 La construction du sujet
IV.1.1.4.2 Le système de régulation
IV.1.1.4.2.1 Les règles conversationnelles
IV.1.1.4.2.2 Les règles rituelles
IV.1.1.4.3 La dynamique interactionnelle
IV.1.1.4.3.1 Les enjeux
IV.1.1.4.3.2 Les stratégies
IV.1.1.4.3.3 Les jeux psychologiques
IV.1.2 – La communication
IV.1.3 – Les mass médias
IV.1.3.1 – La radio
IV.1.3.2 La télévision
IV.1.4 – Le cadre légal de la communication audio-visuelle
IV.1.4.1 – Présentation partielle de l’ordonnance
IV.1.5 – Les radios et les télévisions de la ville de Fianarantsoa
IV.1.5.1 La radio MAMPITA
IV.1.5.2 La radio MBS
IV.1.5.3 La radio Jiro sy Fanasina (REJF)
IV.1.5.4 La radio KATOLIKA
IV.1.5.5 La radio Sakaizan’ny Vahoaka (SAVA)
IV .1.5.6 La radio et la télévision SOFIA
IV.1.5.7.La télévision canal F +
IV.2 Les politiques linguistiques
IV.3 Problématique et hypothèses
IV.3 Appareillage méthodologique
Deuxième partie : Analyse des données recueillies
I – Analyse des données 
I.1 – Structure démographique
I.2 – Le niveau d’études
I.3 – Les catégories socio-professionnelles
I.4 – Appartenance religieuse
Troisième partie : croisement des résultats 
I – Etude démolinguistique 
I.1 – Synopsis des données
II – Analyse des politiques linguistiques 
II.1 Quelques modèles de politiques linguistiques des médias africains
II.2 Les langues et les dialectes utilisés
II.3 L’adoption des politiques linguistiques
II.4 L’application des politiques linguistiques
II.5 Les enjeux des politiques linguistiques
II.6 Quelques fonctions patentes de la langue
Conclusion
Annexes
Bibliographie

Télécharger le rapport complet

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *