PFE & RAPPORT CONTRIBUTION A L’ETUDE DE LA RESERVE UTILE EN EAU DES SOLS DE CEDRAIES DANS LES AURES : INFLUENCE DES FACTEURS EDAPHIQUES PDF
INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE I : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
LE CEDRE DE L’ATLAS , LA SECHERESSE, LA RESERVE UTILE EN EAU, ET LE BILAN HYDRIQUE
I. Le CEDRE DE L’ATLAS
II LE CEDRE ET LA SECHERESSE
III LE SOL EN TANT QUE RESERVOIR D’EAU
IV. LE BILAN HYDRIQUE
CHAPITRE II : ETUDE DU MILIEU ET METHODOLOGIE
I. LOCALISATION ET CARACTERISATION PHYSIQUE ET BIOLOGIQUE DE LA REGION D’ETUDE
II. METHODOLOGIE
CHAPITRE III : RESULTATS ET INTERPRETATION
Sols de cédraies des Aurès et bilan hydrique
I. SOLS DE CEDRAIES DES AURES
II BILAN HYDRIQUE
CHAPITRE IV : DISCUSSION
I. CARACTERISTIQUES DES SOLS ET PEDOGENESE DANS LES CEDRAIES DES AURES
II. RESERVE EN EAU DU SOL ET FACTEURS EDAPHIQUES
III. LA SECHERESSE EDAPHIQUE ET LE BILAN HYDRIQUE
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
Rapport PFE, mémoire et thèse avec la catégorie CONTRIBUTION A L’ETUDE DE LA RESERVE |
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Le cèdre de l’Atlas (Cedrus atlantica M.) est une essence caractéristique des montagnes du MAGHREB (Algérie et Maroc). Mais si les peuplements du Rif marocain et des chaînes littorales d’Algérie bénéficient d’un climat humide (1400 mm de pluie annuelle) et clément (minima thermique des mois de janvier –2 °C, 0 °C), dans le Haut Atlas et surtout dans les Aurès, le milieu actuel, menacé par la désertification, est trop hostile pour que les arbres âgés de 300 à 400 ans se régénèrent normalement par suite d’une aridification du milieu (précipitations inférieures à 400 mm) (QUEZEL, 1957 ; PRADAL, 1979).
En effet, dans les Aurès, les cédraies constituent avec les pinèdes le dernier rempart contre l’avancée du Sahara. Elles jouent de ce fait un rôle environnemental essentiel. Ces forêts sont une ressource de base pour les populations limitrophes (bois de chauffage, bois pour la menuiserie, pâturage) et interviennent dans la protection des sols contre l’érosion, l’envasement des barrages et contre l’abaissement du niveau des nappes superficielles.
Malheureusement, le cèdre est sujet dans ces massifs à un dépérissement et à des difficultés de régénération. L’absence de semis, la présence de vides et de clairières (EZZAHRI et BELGHAZI, 2000), et tout récemment un taux de dépérissement jamais égalé, sont les indicateurs de cette régression. En effet, ce sont des dizaines, voire des centaines d’hectares de forêts de cèdre qui sont touchées par le dépérissement. La mortalité, stade ultime du phénomène, concerne à la fois les individus et les peuplements (massifs forestiers).
Les observations effectuées au Maroc font ressortir que les zones les plus touchées par le dépérissement sont caractérisées par un déséquilibre entre un abondant matériel végétal et une faible disponibilité en ressources hydriques (Anonyme, 2005). Ce dépérissement concerne d’autres régions du monde et d’autres espèces. C’est ainsi que les recherches ont montré que la vraie raison du dépérissement des forêts vosgiennes en France dans les années 1980, d’abord attribué à la pollution due aux pluies acides, était la sécheresse (GUEHL, 2004).
Ainsi, parmi les causes probables de cet état, le déficit hydrique dans ces régions sèches est à prendre en considération dans la lutte contre la régression continue des forêts de cèdre. La cause en est donc la sécheresse, qui peut être définie comme une réduction de la réserve en eau des sols suffisamment sévère pour que le fonctionnement des arbres ne soit pas optimal (LANDMANN et al., 2003).
