PFE & RAPPORT TAUX DE CHANGE EFFECTIF RÉEL COMME INDICATEUR DE LA COMPÉTITIVITÉ DE L’ÉCONOMIE (CAS DE MADAGASCAR) PDF
Introduction générale
PREMIÈRE PARTIE : APPROCHES ET CONCEPTS THÉORIQUES SUR LE TAUX DE CHANGE EFFECTIF RÉEL ET LA COMPÉTITIVITÉ
CHAPITRE I : LE CADRE THÉORIQUE DU TAUX DE CHANGE EFFECTIF RÉEL ET LA COMPÉTITIVITÉ
Section I : Approches et concepts du taux de change effectif réel
Section II : Choix du régime des changes et la contrainte extérieure
Section III : Le lien entre Compétitivité et le Taux de change Effectif réel
CHAPITRE II : POLITIQUE DE CHANGE À MADAGASCAR
Section I : La politique monétaire
Section II : Historique de la politique de change à Madagascar
Section III : Les Effets de la politique de Change à Madagascar
DEUXIÈME PARTIE : L’ANALYSE DE LA COMPÉTITIVITÉ DE MADAGASCAR
CHAPITRE I : LE COMMERCE EXTÉRIEUR DE MADAGASCAR
Section I : Politique Commerciale de Madagascar
Section II : Tendance du Commerce extérieur de Madagascar avant le Flottement
Section III : Tendances du commerce extérieur de Madagascar Après le flottement
CHAPITRE II : ÉTUDE EMPIRIQUE
Section I : Le modèle économétrique d’estimation du TCER
Section II : Étude Empirique du TCER
Section III : propositions de stratégies d’actions pour renforcer la compétitivité extérieure de l’économie Malgache
Conclusion générale
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Le taux de change exerce un rôle prépondérant dans le processus de développement d’une économie, en déterminant l’équilibre des comptes extérieurs et la compétitivité de l’économie, et en influençant la capacité à exporter, à importer, et attirer les capitaux étrangers dans un pays.
De ce qui relève des avantages, il est courant de lire que la libéralisation des marchés de changes, et en particulier la convertibilité monétaire, permet d’accroitre l’investissement, d’accélérer la croissance, et donc l’amélioration du bien-être.
Cette affirmation repose essentiellement sur un constat théorique affirmant que le libre-échange permet d’atteindre, d’une manière quasi automatique, une situation de bien-être Pareto optimale. De ce fait, en suivant le programme de stabilisation préconisé par le Fond Monétaire International (FMI), Madagascar avait dévalué plusieurs fois sa monnaie nationale, avant de basculer vers un régime de change flottant en 1994.
A partir de cette année, Madagascar a entrepris une réforme en profondeur de son système de change. Cette réforme, à savoir l’instauration d’un système de flottement libre du cours de la monnaie nationale, a fait partie intégrante de celles entreprises dans le cadre de la libéralisation des changes. Le régime de taux de change appliqué a été celui du taux de change fixe, jusqu’en 1982, qui a été ajusté de manière discrétionnaire par la Banque Centrale de Madagascar (BCM), jusqu’en mai 1994. Ainsi, la mise en place du Marché Interbancaire de Devises (MID) le 09 mai 1994 s’inscrit dans le processus de la réforme .
En effet, on a souvent considéré que la surévaluation de monnaies des pays en développement, comme Madagascar, se traduirait par un déclin de l’activité économique, une perte notoire de la compétitivité des exportations, au profit des autres concurrents, alors la dépréciation réelle de la monnaie devrait restaurer cette compétitivité. La dévaluation de la monnaie, qui a le plus souvent accompagné les programmes de stabilisation et de libéralisation menés dans les pays en développement, depuis le milieu des années 80, avec l’assistance du Fonds Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale, répondait à la nécessité de rétablir l’équilibre de la Balance des paiements. Le taux de change joue, dans ce cas, un rôle dual dans ces petites économies en développement .
