Projet, rapport de stage, et mémoire de fin d’études CONTRIBUTION A LA CONCEPTION D°UNE CELLULE DE FLOTTATION POUR DESENCRAGE DES VIEUX PAPIERS en PDF
ETUDE TYPOLOGIQUE DES PAPIERS ET CARTONS
Les papiers bobinés
Ce sont des papiers apprêtés enroulés sur des mandrins creux, ils peuvent être directement utilisés par les clients avec leur laize d’origine. Exemple : Bobineaux de carton pour usine d’allumettes, (pour tiroirs et fourreaux). Parfois les clients préfèrent des laizes inférieures à celle de la production. En plus le diamètre nominal de production est parfois, incommode à son utilisation.
Donc on doit les refendre et les rebobiner avant de les livrer. Exemple : Bobineaux pour rouleau télex.
Les papiers à-plats
Une coupeuse est nécessaire pour transformer la bobine fille en papier livré en à-plat : rame ou ramette, emballé selon le norme ll.1.3. Les papiers transformés Ce sont les blocs, les carnets, les cahiers, les enveloppes, les sacs, les papiers spéciaux etc.
Le carton
Le carton est un papier plus ou moins grossier un peu épais, fabriqué avec des rognures de papiers. Le carton ondulé s’imposait pour emballer la plupart des produits manufacturés ou mécanisés et d’autres biens. On peut ainsi définir ses différentes utilisations.
Une fois que les matériaux d’emballage sont déterminés en fonction du produit à conditionner, on pourra envisager la forme et le mode de conditionnement. Selon le cas, il seta manuel u mécanisé. Si l’emballage se fait à la main, on tiendra surtout compte de ses dimensions, de son volume et de son poids après remplissage.
Le produit doit arriver dans un parfait état de conservation sur le lieu de vente, quelles que soient les conditions de stockage et de transport. Il faudra donc connaître toutes les contraintes auxquelles il sera soumis du lieu de production aux points de vente : mode de transport, circuits commerciaux, distribution finale. Le mode de regroupement dépend encore de la nature des produits et est lié au circuit de distribution. Cela consiste à déterminer le nombre d’unités à rassembler et à prévoir leur disposition dans l’emballage. Ce dernier pourrait être ouvert, partiellement fermé, muni d’orifice d’aération, etc.
Une fois le produit emballé, il est en général stocké avant son transport. Pour cela, se fasse dans de bonne conditions, il faut envisager les meilleures solutions en ce qui concerne :
• Le format des palettes, le poids et la hauteur des charges, le schéma de gerbage c’est-à-dire l’empilage des marchandises ou d’emballage selon un mode déterminé;
• La durée et les conditions de stockage (température et hygrométrie), l’aménagement et l’équipement des entrepôts, les contraintes de chargement ;
• Le mode d’acheminement des marchandises, la durée de stockage sur le lieu de vente, le problème de reconditionnement ou de transformation, l’étiquetage des unités regroupées, la conformité aux dimensions du mobiliers des magasins, le mode de présentation en rayon.
L’emballage vendeur ou non vendeur peut être imprimé ou servir d’outil de communication, d’identificication, de support publicitaire, et véhiculer ainsi l’image de marque.
La conception graphique de l’emballage doit permettre la mise en valeur de la qualité du produit, souligner ses caractéristiques particulières. Avant d’emballer tous les produits, il est donc indispensable d’en déterminer précisément toutes les caractéristiques :
• Natures, formes, poids et dimensions ;
• Etats (est-il déjà un emballage ?) ;
• Sensibilités aux variations de température et/ou à la lumière, au gaz, aux odeur (en fonction de la nature du matériaux, des colles, des encres, etc.), à la corrosion à la poussière et à l’humidité ;
• Réactions chimiques éventuelles avec certains composants de l’emballage ;
• Température de conditionnement et de ses conséquences (condensation, ruissellement) ;
• Législation particulière concernant l’emballage des denrées alimentaires, la réglementation sur le transport des matières dangereuses ;
• La forme sous laquelle sera vendue le produit ;
• Sa fragilité ;
• Le lieu de livraison et le lieu de vente final ;
• La destruction du produit dans la mesure où elle pose un problème particulier.
Les couvertures désignent les papiers constituant les faces planes du papier carton ondulé. Les types de papier, qui le plus souvent, constituent la face extérieure ou la face intérieure du carton sont : le kraft liner, le test liner, la couverture standard. Le kraft liner Il est composé de pâte neuve de résineux avec jusqu’à 20% de pâte recyclée de bonne qualité. La couche de surface peut être composée de feuillus pour une meilleure imprimabilité. Les grammages sont compris entre 125 et 450g/m2. son indice d’éclatement doit se situer entre 3.5 et 4.8.
Le test liner : Papier couverture à base de recyclé, il comporte parfois un faible pourcentage de pâte neuve. Il peut être fabriqué en une seule couche dont les caractéristiques sont homogènes, ou en plusieurs couches dont chacune peut avoir une composition différente. Pour augmenter la résistance ; il est couvent ajouté, des produits amylacés. En fonction de la quantité des fibres récupérés et de leur dosage, au moment de la fabrication, le test liner supporte très bien la comparaison avec le kraft liner sauf au niveau de la résistance dans le temps. Son indice d’éclatement de situe entre 2.1 et 3.5. Il se présente également en blanc.
La couverture standard
Partant du même principe de fabrication que le test liner, la couverture standard n’a ni la présentation ni la résistance. Par contre, elle est économique et pour cette raison, c’est le papier le plus utilisé sur le marché. Son indice d’éclatement varie de 1.3 à 2.3.
Les papiers cannelures recyclés
Ce sont les papiers destinés à être ondulés. Elles désignent ainsi le profil du papier qui, après ondulation, sert d’entretoise aux couverture et médiane. Les cannelures assurent à la fois « l’élasticité » nécessaire à l’adsorption des chocs et la rigidité de l’emballage.
Grâce à l’avènement de techniques nouvelles, on l’utilise massivement. Nous pouvons aujourd’hui fabriquer du carton ondulé dotés de performance au moins égale à celle des matériaux qui, quelques années auparavant, devaient comporter de la cannelure mi-chimique. Dans ce type de papier plus encore que dans les autres, les propriétés varient très largement en fonction des déchets entrant dans la composition. La pâte constituée de récupération peut être rendue plus performants par adjonction d’amidon. Le grammage varie alors en fonction du traitement.
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Table des matières
REMERCIEMENTS
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES ABREVIATIONS ET ACRONYMES
LISTE DES FIGURES INTRODUCTION
Chapitre 1 : GENERALITES
I.1. La justification de notre mémoire
I.1.1. Le bien-fondé de l’orientation « recycler »et « désencrer »
I.1.2. Les objectifs, impacts et les résultats attendus
I.2. Le recyclage [1]
I.2.1. Le recyclage de papier
I.2.2. Le FCR ou fibres cellulosiques de récupération
I.3. Considération sur la cellule de flottation
I.3.1. Définition et aperçu sur la flottation [2]
I.3.2. Processus de la flottation
I.3.3. Notion sur la cellule de flottation
Chapitre II : ETUDE TYPOLOGIQUE DES PAPIERS ET CARTONS
II.1. Les papiers
II.1.1. Les papiers bobinés [3]
II.1.2. Les papiers à-plats
ll.1.3. Les papiers transformés
ll.2 Le carton
ll.2.1 Aperçu concernant le carton
ll.2.1 Les couvertures [4]
II.2.3. Les papiers cannelures recyclés [4]
II.3. Quelques normes et désignations des papiers et cartons
Chapitre III : LES PROCEDES TECHNIQUES ET TECHNOLOGIQUES DE RECYCLAGE DE PAPIER
III.1. Les matières premières
III.1.1. Les vieux papiers et les déchets de cartons
III.1.2. Les adjuvants
III.1.3. L’eau
III.2. Description du processus de recyclage : flow-sheet
III.2.1. Schéma du processus général [13]
III.2.2. Préparation de la pâte
III.2.3. Processus au niveau des machines à papiers
III.2.4. L’apprêt- finition
Chapitre IV : LE DESENCRAGE
IV.1. La tension superficielle et la formation des écumes moussants
IV.1.1. La tension superficielle [3]
IV.1.2. La théorie de la collision [7]
IV.1.3. Le moussant [3]
IV.1.4. Schéma d’arrangement des bulles d’air-molécules de moussant et schéma d’une écume de flottation
IV.1.5. Conditions de flottabilité [3]
IV.2. Essai et expériences de détermination de la qualité optimale de moussant (savon)
IV.2.1. L’appareil utilisé
IV.2.2. Principe
IV.2.3. Résultats et interprétation
IV.3. Dimensionnement de la cellule
IV.3.1. Schéma du système de désencrage
IV.3.2. Calcul de la dimension théorique limite d’une particule d’encre ou d’un flic d’encre pour qu’elle puisse flotter
IV.3.3. Calcul de la dilution de la pâte
IV.3.4. Calcul de volume de la cuve de flottation
IV.3.5. Calcul de l’alimentation en eau
Chapitre V : IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX
V.1. Les objectifs de l’étude d’impact environnemental : EIE [9]
V.2. Les effluents et les milieux récepteurs
V.2.1. Les effluents et les milieux liquides
V.2.2. Les effluents et les milieux atmosphériques
V.2.3. Les effluents et les milieux physiques et biotiques
V.2.4. Les effluents et la santé public
V.3. Analyse des effets probables du projet sur l’environnement
V.3.1. Impacts physico-chimique et sur l’atmosphère
V.3.2. Impacts sur le milieu biotique et liquide
V.3.3. Impacts socioculturels et économiques
V.4. Mesures préventives contre les impacts négatifs sur l’environnement
V.4.1. La pollution de l’air [10]
V.4.2. Les bruits [10]
V.3.2. Les déchets solides
Chapitre VI : PROPOSITION DE TRAITEMENT DES EAUX RESIDUAIRES
VI.1. Données typiques et normes de rejets
VI.1.1. Qualités typiques de rejets d’une unité de recyclage de papier
IV.1.2. Normes de qualité du rejet [10]
IV.1.3. Calcul et bilan des pertes en fibres
VI.1.4. Système de circuit
VI.2. Les signes de pollution
VI.2.1. Les signes extérieurs de pollution [10]
VI.2.2. Les signes physiques caractéristiques de la pollution [10]
VI.2.3. Les signes chimiques caractéristiques de la pollution : pH, DBO et DCO [11]
VI.3. Le traitement proprement dite
VI.3.1. Flow-sheet de traitement des eaux
VI.3.2. Aération
VI.3.3. Décantation
VI.3.4. L’épuration biologique [11]
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES A : CODE DES USAGES
ANNEXE B : Le contrôle de qualité
REMERCIEMENTS
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