LES TRAVEAUX D’AMENAGEMENTS ET LES ETUDES DE PROTECTION CONTRE LES INONDATIONS

LES TRAVEAUX D’AMENAGEMENTS ET LES ETUDES DE PROTECTION CONTRE LES INONDATIONS

INTRODUCTION GENERALE.

  L’eau est à la base de la vie en général : présente dans notre sang, dans les liquides que nous buvons, dans les aliments que nous prenons, elle nous permet de survivre et de rester en bonne santé. Elle est également une voie de communication et elle est indispensable au développement économique. Sa valeur est reconnue partout dans le monde.D’ailleurs, elle constitue un symbole puissant dans toutes les cultures et dans toutes les croyances.Mais elle est également un des éléments les plus destructeurs de notre planète. Car l’eau, quand il y en a trop, provoque des inondations, et des catastrophes.Le problème des inondations n’est pas une nouveauté, depuis l’existence de l’homme sur terre, celui-ci a préféré s’installer dans des régions à relief plat et aux environs des points d’eau et dans des zones occasionnellement inondables, qui lui permet de réaliser ces activités habituelles(agriculture, industrie,….) Donc, des cités entières se sont développées à proximité des cours d’eau occasionnant des dégâts considérables à l’homme et à ces biens. Devant cette menace, l’homme a tenté d’aménager ces cours d’eau pour réduire le risque d’inondation qui représente le risque naturel le plus couteux , le plus répandu , faisant le plus de victimes et de dégâts dans le monde.En Algérie, la wilaya de SIDI BEL ABBES est l’une des zones qui sont touchées par ce phénomène des inondations. Les plus récentes ont réveillé les mémoires et ravivé les inquiétudes. Se situant dans l’ouest algérien, cette wilaya s’élève sur les rives de l’oued MEKERRA qui déverse ses eaux dans deux barrages importants dans la région nord-ouest algérien (SARNO et CHEURFAS). Les inondations sont devenues un aspect très important à cause de leur impact destructeur sur les plans humain et matériel. Par conséquent, l’État est contraint de traiter ce problème car il devient une contrainte quant au développement des zones touchées. Toutefois, on ne peut intervenir efficacement que si l’on cerne avec précision ce risque en utilisant les moyens modernes qui sont à notre disposition. Comment peut-on cerner ce problème sur le plan spatial et est-ce que les interventions effectuées pour freiner ce phénomène ont été efficaces ?

Le risque d’inondation :

Définition :
Comme définition générale le risque est la possibilité de survenance d’un dommage résultant d’une exposition à un danger, c’est la composante de la probabilité d’occurrence d’un événement redouté (incident ou accident) Et la gravité de ses conséquences.Le risque d’inondation est la conséquence de deux composantes : que sont la vulnérabilité et l’aléa.Il y a risque lorsque nous sommes sur une parcelle avec une occupation du sol incompatible avec l’aléa .Le risque étant déterminé par le croisement entre l’aléa et la vulnérabilité, il faut être capable de les comparer .Ceci est possible avec les modèles hydrologique en débit, durée et fréquence qui permettent de traduire dans la même unité les deux facteurs.Si la vulnérabilité est plus faible que l’alea, nous considérons la parcelle comme ne présentant pas le risque .Elle est correctement protégée, voire surprotégée .dans le cas contraire, nous aurons une parcelle à risque qu’il faudra protéger ou évacuer.
La vulnérabilité :
Le fait qu’une rivière cause des dégâts résulte de la sensibilité du lieu ou se produit le phénomène : c’est la composante vulnérabilité La présence de l’homme , qui s’installe dans l’espace alluvial , pour y implanter toute sortes de constructions ,d’équipement ou d’activités , cette occupation humaine joue un double rôle :d’une part elle constitue le risque en exposant des personnes et des biens aux inondations , d’autre part , elle aggrave l’alea et le risque ,en amont comme en aval , en modifiant les conditions d’écoulement de l’eau .
L’aléa :
Une rivière qui déborde traduit un phénomène naturel présentant un caractère aléatoire : c’est le composant aléa du risque Les principaux paramètres nécessaires pour évaluer l’aléa sont :
La période de retour des crues.
La hauteur et la durée de submersion.
La vitesse d’écoulement.
La torrentialité du cours d’eau.
La possibilité d’apparition d’une crue dépend de nombreux paramètres autres que la quantité de pluie tombée : répartition spatiale et temporelle des pluies par rapport au bassin versant ,évaporation et consommation d’eau par les plantes , absorption d’eau par le sol , infiltration dans le sous-sol ou ruissellement ……et pour une même quantité précipitée , la crue apparaitra ou non .
La Crue :
Une crue correspond à une augmentation rapide et temporaire du débit d’un cours d’eau au-delà d’un certain seuil auquel toute analyse doit faire référence .elle est décrite à partir de trois paramètres : le débit, la hauteur d’eau et la vitesse du courant, en fonction de l’importance des débits, une crue peut être contenue dans le lit mineur du cours d’eau, ou déborder dans son lit moyen ou majeur

Les types d’inondations :
Les inondations classiques dites « de plaine » ou fluviales :
Le cours d’eau sort de son lit mineur lentement et peut inonder la plaine pendant une longue période. La rivière occupe alors son lit moyen voire son lit majeur (photo N° 01). Lorsque le sol est saturé d’eau, il arrive que la nappe phréatique affleure et qu’une inondation spontanée se produise. On parle alors d’inondation par remontée de nappe phréatique (photo N°02).
Les crues torrentielles ou éclair :
Elles sont les conséquences d’un transit rapide d’eau de pluie, dû à la forte pente des cours d’eau et à l’intensité pluviométrique.
Le ruissellement en milieu urbain :
Il vient d’une imperméabilité du sol qui limite l’infiltration des pluies et accentue le ruissellement, ce qui provoque souvent la saturation et le refoulement des réseaux d’assainissement ou des eaux pluviales, entraînant un écoulement plus ou moins rapide dans les rues.

Causes et types des crues catastrophiques en Algérie :

  Les précipitations caractérisées, en Algérie, par une très forte irrégularité tant interannuelle que saisonnière entrainent des étiages extrêmement sévères des cours d’eau et inversement des fortes crues et des inondations engendrant des dégâts humains et matériels considérable.La genèse des fortes crues et leurs impacts sur l’environnement et les activités différentes d’une région à un autre en fonction des conditions géographiques, climatiqueset d’occupation des sols qui les caractérisent. La cause fondamentale de la plupart des inondations est la chute de pluie importante, mais les inondations des terres basses ou les destructions causées par les crues ne sont pas cependant toutes dues à des phénomènes hydrométéorologiques.D’autres facteurs agissent, soit pour aggraver les effets d’autre crue, soit pour créer eux même des phénomènes hydrauliques dans les surfaces de l’eau , tels que la présence des détritus et des troncs d’arbres qui réduisent la capacité du lit de l’oued.

Présentation du bassin versant de l’oued MEKERRA :

  L’OUED MEKERRA fait partie du bassin de la Macta (bassin versant ANRH N11). Il prend son origine dans les hautes vallées de la steppe vers RAS EL MA à une cote avoisinant les 1450 m NGA. La cote moyenne de sidi bel abbé est d’environ 480 m NGA. La superficie de son bassin versant au niveau de la ville de SIDI BEL ABBES est d’environ 3200 Km2, la longueur de l’oued est d’environ 125 Km. Le bassin versant, a une forme allongée du sud au nord. La superficie du bassin est à 50% située à une cote dépassant les 1000 m. La pente moyenne de l’oued jusqu’à SIDI ALI BEN YOUB est d’environ 1à 1,5%. Elle n’est plus que de 3 à 8 pour mille entre BOUKHANEFIS et SIDI BEL ABBES.Le réseau hydrographique du bassin est très développé, mais représenté fréquemment par des cours d’eau temporaires. Les oueds sont alimentés par des précipitations et par des cours sources dont la plus importante est d’AIN-SKHOUNA (débit d’environ 1001/s).La couverture végétale dans le bassin de la MEKERRA est développée de manière irrégulière.A l’aval de ras EL Ma apparaissent des terrains couverts d’alfa, qui vers le Nord fort place à des terrains couverts de broussailles. Dans la région d’EL HACAIBA s’étend la sapinière qui atteint à peu prés la région de sidi ALI BEB YOUB, superficie du bassin est couverte de foret.Au niveau des équipements hydrométriques et pluviométriques, le bassin de l’oued MEKERRA dispose de 4 postes hydrométriques (EL HACAIBA, SIDI ALI BEN YOUB, SIDI BEL ABBES, LAMTAR) et une quinzaine de postes pluviométriques. La quantité moyenne interannuelle de précipitation pour le versant de la MEKERRA est de 400 mm. Durant les années pluvieuses, la somme des précipitations peut atteindre 800 mm et durant les années sèches 100 mm (mesures au poste se SIDI ALI BEN YOUB).

Hydrographie :

  La wilaya de SIDI BEL ABBES se trouve dans le bassin « Oranie-Chott Chergui » mais l’objet de notre travail nous amène à s’intéresser seulement au: bassin versant de Oued MEKERRA et le sous bassin de Oued Mellah.Le réseau hydrographique est très développé, mais représenté fréquemment par des cours d’eau temporaires. Les oueds sont alimentés par des précipitations et par des sources dont la plus importante est d’Ain-Skhouna (débit 100 l/s).Le bassin versant de Oued MEKERRA est compris entre la latitude 34° ,31 – 35°,21 et la longitude 1°,16 – 0°,58 Ouest, sur une surface d’environ 3114 Km2 et un périmètre de 249 Km orienté du Sud (en Amont 1600 m –RAS EL MA) au Nord (en aval 500m dans la ville de SIDI BEL ABBES) ce qui nous donne une pente importante justifiant les inondations de cette ville.Ce bassin est le résultat de drainage de plusieurs oueds et de « chaabet » : EL KHETOUA, SEKHANA, EL LELELAH, RAS EL OUIDEN, TADJMOUT, OUED ET TOUIFZA, MZI, FARAT ZIET, LAMTAR BOUKHENNAM Tous ces oueds et autres viennent se jeter au oued MEKERRA le plus important Oued de la wilaya d’environ 113 Km qui prend ses sources avant RAS EL MA et traversant la ville de SIDI BEL ABBES en aval ou il conflue avec l’oued SARNO et devient L’OUED MEBTOUH (barrage des Cheurfas- wilaya de MASCARA), puis devient l’oued SIG en aval du barrage de SIG avant d’aboutir dans les marais de La Macta prés de la Méditerranée.L’Oued Mellah draine les eaux de la plaine de TILMOUNI située à l’Est de la ville de SIDI BEL ABBES et constitue l’un des sous bassins de la MEKERRA (Superficie du bassin versant de l’oued Mellah : 150 Km2 à la confluence avec l’oued MEKERRA). Sur le plan hydrographique, la plaine de TILMOUNI se caractérise par une série de confluents de régime saisonnier sec en été susceptibles de générer des apports exceptionnels.

Les causes des inondations et leurs conséquences :

  Les inondations enregistrées à travers la wilaya découlent principalement :
Débordement de l’Oued MEKERRA résultant des ruissellements des eaux des versant dominant l’agglomération et surviennent le plus souvent en période d’automne qui se singularise par des orages particulièrement intenses.
Cassure naturelle d’Oued MEKERRA au niveau du pont en amont de SIDI KHALED provoque des débordements (pour SIDI KHALED – entrée SUD de SIDI BEL ABBES).
Débordement des eaux au niveau du pont à l’intérieur de SIDI LAHCEN aggravés par les eaux d’épandage arrivant de SIDI KHALED.
Épandage des eaux de crues à l’entrée sud de la ville de SIDI BEL ABBES (route BOUKHANEFIS) inondant la zone (cuvette) situe entre MKAM CHAHID ET BAB DHAYA.
Débordement de l’Oued MELLAH pour TILMOUNI et HASSI DAHOU.
Les conséquences associées aux inondations sont principalement:
Conséquences sur la santé humaine peuvent se subdiviser en effets directs et indirects :
– Effets directs sur la santé humaine se manifestent durant l’inondation et sont causés par les eaux en crue .Ils incluent notamment la mortalité due à la noyade et aux blessures.
– Effets indirects sur la santé peuvent être la conséquence de dommage causés aux grandes infrastructures et aux bâtiments .Ils incluent notamment : les maladies infectieuses, la contamination, l’état de stress post-traumatique.
Conséquences sur les infrastructures et les bâtiments (dégâts matériels) :
– Sur le secteur l’agriculture y compris les bâtiments agricoles (hangars, bergerie,…), les matériels hydrauliques, les champs agricoles, les stocks et l’arboriculture ravagée.
– Sur les secteurs de l’habitat (maisons détruites), des travaux publiques (les routes, les ponts), de l’hydraulique(les barrages, et les équipements hydrauliques menacés ), de transports (Voitures, bus ,trains,..), des infrastructures de bases( coupure d’électricité, de gaz, de téléphone …..)

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE 1 : LE RISQUE INONDATION EN ALGERIE : APPROCHE CONCEPTUELLE ET HISTORIQUE
INTRODUCTION
I. Le risque d’inondation
I.1. Définition
I.2. Les types inondations
I.2.1. Les inondations classiques dites « de plaine » ou fluviale
I.2.2. Les crues torrentielles ou éclair
I.2.3. Le ruissellement en milieu urbain
II. Causes et types des crues catastrophiques en Algérie
II.1. Les causes des inondations
II.1.1. Les inondations liées à des situations météorologiques remarquables
II.1.2. Les inondations provoquées par des facteurs lies à l’effet de l’homme
II.1.3. Les inondations produites dans des régions présentant un environnement topographique défavorable
II.2. Types des crues
II.2.1. Les inondations engendrées par des crues torrentielles
II.2.2. Les inondations des grands bassins versants
III. Des inondations les plus catastrophiques survenues en Algérie
III.1. Inondations causées par des pluies orageuses localisées
III.2. Inondations des grands bassins versants (pluies généralisées)
III.3. Les zones inondables en Algérie
III.3.1. Inondations dans le bassin versants du CHELF
III.3.2. Inondations dans le bassin versants de la SEYBOUSSE
III.3.3. Inondations dans le bassin versants des HAUTES PLAINES CONSTANTINOISES
III.3.4. Inondations dans le bassin versants des COTIERS ORANAIS
III.3.5. Inondations dans le bassin versants du M’ZAB
CONCLUSION

CHAPITRE 2 : LA WILAYA DE SIDI BEL ABBES DANS SON CONTEXTE GEOGRAPHIQUE
INTRODUCTION
I. Situation géographique et organisation administrative 
I.1. Situation géographique
I.2. Organisation administrative
II. Un milieu physique très diversifié 
II.1.Topographie
II.1.1. La zone montagneuse
II.1.2. La zone des plaines
II.1.2.1. Les plaines de SIDI BEL ABBES
II.1.2.2 .Les hautes plaines de TELAGH
II.1.3. La zone steppique
II.1.4. Présentation du bassin versant d’oued MEKERRA
II.2. Climat humide et froid en hiver, sec et chaud en été
II.3. Hydrographie
III. Aspect humain et économique
III.1. Une population en constante augmentation
III.2. La répartition de la population selon la dispersion, par strate
III.3. Une forte densité de la population dans le nord de la wilaya
III.4. Aspect socio-économique
III.4.1. Emploi
III.4.1.1. La population active et taux de chômage
III.4.1.2. Répartition de la population occupée par secteur d’activité économique
III.4.2. Les activités économiques
III.4.2.1. Agriculture
III.4.2.2. Une Industrie non négligeables
III.4.2.3. Transport
IV. Habitat
IV. 1. Répartition des logements habités selon le type de construction
IV. 2. Répartition des logements habités selon le nombre de pièces-
IV. 3. Répartition du parc logement total et le taux d’occupation de logement 

V. Les équipements et les infrastructures 
V. 1. Les équipements Educatifs
V. 2. Enseignement supérieur
V. 2.1. Les infrastructures universitaires
V. 2.2. Les œuvres universitaires
V. 3. Formation professionnelle
V. 4. Les infrastructures religieuses
V. 5. Les infrastructures Sanitaires
V. 6. Les infrastructures Culturelles
V. 7. Les infrastructures de Jeunesse et de sport
CONCLUSION
CHAPITRE 3 : LES INONDATIONS ET LEURS IMPACTS
INTRODUCTION
I. Historique des inondations dans la wilaya de SIDI BEL ABBES
II. Les causes des inondations et leurs conséquences 
III. Impacts des inondations
III.1. Impact sur les agglomérations importantes de la wilaya
III.1.1. Le cas de SIDI BEL ABBES
III.1.2. Le cas de TELAGH
III.1.3. Le cas de SFISEF
III.1.4. Le cas de RAS EL MA
III.2. Impact sur les agglomérations moyennes de la wilaya
III.2.1. Le cas de SIDI LAHCENE
III.2.2. Le cas de SIDI KHALED
III.2.3. Le cas de BOUKHANEFIS
III.2.4. Le cas de TENIRA
III.3. Impact sur les petites agglomérations de la wilaya
III.3.1. Le cas de HASSI DAHOU
III.3.2. Le cas de MOULAY SLISSEN
III.3.3. Le cas d’EL HACAIBA
CONCLUSION

CHAPITRE 4 : LES TRAVEAUX D’AMENAGEMENTS ET LES ETUDES DE PROTECTION CONTRE LES INONDATIONS
INTRODUCTION
I. Les différents types de protections
I.1. Protection indirect
I.1.1. Les canaux périphériques
I.1.2. La réalisation des barrages ou seuils
I.1.2.1. Les retenues collinaires
I.1.2.2. Les barrages d’écrêtement
I.1.3. L’aménagement des bassins versants
I.1.3.1. Reboisement
I.1.3.2. Banquettes et rideaux
I.1.3.3. Correction torrentielle
I.1.3.4. Fixation des berges
I.2. Protection directe
I.2.1. Le curage de l’oued
I.2.2. Le recalibrage de l’oued
I.2.3. Le renforcement des ouvrages
I.2.4. La Réalisation des coureaux
I.2.5. Les murs de soutènements et l’exhaussement du sol
II. Inventaire exhaustif des principales études et réalisations réalisées
II.1. En matière d’étude–
II.1.1. Pour la protection de la ville de SIDI BEL ABBES contre les inondations
II.1.2. Elaboration d’un atlas des zones exposées aux risques d’inondation
II.2. En matière de travaux
II.2.1. Protection la ville de SIDI BEL ABBES et les localités situées dans la plaine contre les inondations

II.2.2. Pour l’ensemble de la wilaya
II.2.2. Pour l’ensemble de la wilaya
II.2.3. Pour la protection de la ville SIDI BEL ABBES de contre les inondations
II.2.4.Pour la protection de l’agglomération de MOULAY SLISSEN contre les inondations
II.2.5. Pour la protection de l’agglomération de TABIA contre les inondations

II.2.6. Pour la protection de l’agglomération de RAS EL MA contre les inondations
II.2.7. Pour la protection de l’agglomération de SFISEF contre les inondations
II.3. Les actions de soutiens sollicités
CONCLUSION
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES CARTES
LISTE DES PHOTOSLISTE DES GRAPHES
GLOSSAIRE
RESUME

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