PFE & RAPPORT ELABORATION D’UNE BASE DE DONNEES FONCTIONNELLE. CAS DE LA FILIERE PISCICULTURE ET AQUACULTURE PDF
Introduction générale
CHAPITRE 1- HISTORIQUE ET L’ETAT DE LIEU DE LA PISCICULTURE ET DE L’AQUACULTURE A MADAGASCAR
1.1-REVUE HISTORIQUE DE LA VULGARISATION DE LA FILIERE PISCICOLE
1.1.1- La phase coloniale
1.1.2- La phase de l’indépendance jusqu’en 1979
1.1.3- De 1979 à nos jours
1.2- REVUE HISTORIQUE DE L’AQUACULTURE MARINE ET SAUMATRE
1 .2.1 – L’élevage expérimental des Chanos chanos
1.2.2 – L’ostréiculture
1.2.3 – L’Acadja
1.2.4 – La ferme pilote d’aquaculture de crevettes côtières ou la Crevetticulture à Nosy Be
1.2.5 – Le Centre de Développement de la Culture de Crevettes à Mahajanga ou CDCC
1.2.6 – Le Schéma d’Aménagement de l’Aquaculture de Crevettes à Madagascar ou SAACM
1.2.7 – L’Algoculture
1.2.8 – L’échiniculture
1.3- LES PROJETS AQUACOLES A MADAGASCAR
1.3.1- Le projet MAG /76/002
1.3.2- Le projet MAG/82/014
1.3.3- Le projet MAG/88/005
1.3.4- Le projet MAG 92/004
1.3.5- Le projet MAG/6023
CHAPITRE 2. METHODOLOGIE
2.1 LES ETAPES DES INTERVENTIONS
2.1.1-Recherches bibliographiques
2.1.2- Recherche sur Internet
2.1.3- Recensement des institutions étatiques et privées qui ont travaillé dans le domaine
2.1.4- Demande d’autorisation d’accès aux documents
2.1.5- Dépouillement
2.1.6 – Classement
2.1.7-Analyse de la pertinence des suggestions et des propositions d’expérimentations
2.1.8 – Degré et envergure de diffusion des résultats
2.1.9- Relations avec d’autres publications
2.1.10 – Préparation d’une base de données sur Access
2.1.11 – Saisie informatique
2.1.12 – Présentation d’une proposition pour la mise en ligne des résultats obtenus
2.2- MOYENS A MOBILISER
2.2.1-Moyens humains
2.2.1.1-Personnel technique
2.2.1.2-Personnel d’appui
2.2.1.3- Organigramme du personnel
2.2.2- Moyens matériels
2.2.2.1-Local
2.2.2.2- Matériel de déplacement
2.2.2.3- Matériels informatiques
2.2.2.4- Autres
2.3- LES ESPECES CIBLEES EN AQUACULTURE
2.3.1-Aquaculture continentale
2.3.2-Aquaculture marine
2.4-FICHES DE RENSEIGNEMENTS DE CHAQUE OUVRAGE
2.4.1- Mode de remplissage des fiches
2.4.2 -Méthodologie adoptée pour la confirmation d’un ouvrage
2.4.2.1- Ouvrage est capitalisé
2.4.2.2- Ouvrage vulgarisé et diffusé
2.4.2.3- Ouvrage nécessite une mise à jour
2.4.3- Itinéraire des fiches
2.4.4- Liste des institutions à visiter
CHAPITRE 3. RESULTATS DES ENQUETES ET PRESENTATION DE L’ESQUISSE DU LOGICIEL ACCESS
3.1- RESULTATS DES ENQUETES
3.1.1-Les régions des abris des ouvrages
3.1.1.1-Mahajanga
3.1.1.2-Toamasina et Ambatondrazaka
3.1.1.3-Antananarivo et ses alentours
3.1.1.4-Toliara
3.1.1.5-Nosy Be
3.1.2- Résultat obtenu
3.1.2.1-Résultat de recherche par internet
3.1.2.2 – Résultat des enquêtes
3.1.2.3- Analyse des résultats
3.1.2.3.1-résultat par thème
3.1.2.3.2-résultat par zone
3.2- PRESENTATION DE L’ESQUISSE DU LOGICIEL ACCESS
3.2.1-Access
3.2.2- Présentation du logiciel
3.2.2.1- Les tables
3.2.2.2-Les formulaires
3.2.2.2.1-Le formulaire BDF
3.2.2.2.2-Menu général
3.2.2.2.3- Le bouton saisie
3.2.2.2.4-Triage
3.2.2.3-ETAT
3.2.2.4-Recherche par auteur
3.2.2.5-Quitter
3.3-DISCUSSIONS
Conclusion générale
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HISTORIQUE ET L’ETAT DE LIEU DE LA PISCICULTURE ET DE L’AQUACULTURE A MADAGASCAR
Madagascar est naturellement un pays à vocation aquacole et ce malgré un succès plutôt mitigé.
REVUE HISTORIQUE DE LA VULGARISATION DE LA FILIERE PISCICOLE
Avant d’entamer l’historique, on va voir d’abord la description de ce projet car tous n’est pas claire si on ne sait pas vraiment le but du projet.
Le projet se propose de :
Faire l’inventaire de toutes les informations se rapportant à l’aquaculture
– Trier, classer les documents selon les axes de recherches, les intervenants, date, lieu et périodes de publication,
– Analyser la valeur scientifique des résultats et actualiser si besoin est,
– Etablir et remplir les fiches d’identification de chaque ouvrage
– Préparer et programmer un logiciel apte à recevoir et à traiter les informations obtenues
– Saisir ces informations sur logiciel Access .
Sous le règne d’Andrianampoinimerina de 1794 à 1810, la combinaison des deux systèmes terrestre et aqueux se définit comme une première forme « d’intégration de Institut Universitaire de Gestion et de Management l’écosystème aquatique à l’agro système » (R. Billard, 1980). Le grossissement du poisson dans les rizières a été déjà pratiqué par les riziculteurs des Hautes Terres malgaches. Cette exploitation reste néanmoins une activité de cueillette qui s’apparente à une activité agricole. Mais l’aquaculture proprement dite sous la forme d’aquaculture de repeuplement a débuté par l’introduction de Gouramier, Osphromenus gouramy Lacipède, originaire d’Extrême-Orient, en 1857 par Napoléon de Lastelle de l’île Maurice, il y a plus d’un siècle déjà (ALPHONSE Collart, « Plan de développement et d’encadrement des pêches continentales et de l’aquaculture de 1980 à 2000 »,1979).
La phase coloniale
Elle est marquée par l’introduction de diverses espèces (Tilapia d’Afrique, etc…) en vue de remplacer les espèces autochtones de faible performance et de promouvoir les activités piscicoles. L’implantation des infrastructures a commencé par la mise en place de 42 stations piscicoles dans l’enceinte des stations forestières. Elles ont été conçues pour assurer la production d’alevins pour les éleveurs dans diverses régions propices à la pisciculture. En 1962, les résultats d’un recensement de dix années d’effort en matière d’élevage de poisson pour l’ensemble de l’île enregistrent une nette augmentation du nombre des étangs, passant de 1000 à 75.000 étangs (A. Kiener, 1963) avec un taux moyen d’accroissement annuel de l’ordre de 56 %.
La production de la pisciculture familiale se situe aux environs de 2000 tonnes et celle de la rizipisciculture reste encore très faible à la même année de recensement des étangs (A. Kiener, 1963). Les actions menées pour cette opération de développement aquacole en milieu rural couvrent tout le territoire national et visent comme objectif principal l’amélioration du niveau de vie et des conditions sociales de la famille. L’organisme responsable de ce projet de développement revient au service des Eaux et Forêts. Le rôle et l’influence des agents de cette instance administrative auprès des paysans producteurs qui pratiquent les cultures en friche et sur brûlis, ont contraint beaucoup d’agriculteurs à construire des étangs.
