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nature des prestations du cabinet
commissariat au compte :
Explication de l’organigramme
-normes de comportement : les normes professionnelles posent clairement un ensemble de règles professionnelles propres à garantir le bon exercice des missions.
-normes de travail : les normes professionnelles ont trait au cadre ou à l’esprit dans lequel doit travailler le vérificateur.
-normes de rapport : elles ont pour le membre de l’Ordre un caractère obligatoire.
• normes ISA 200 à 800
Une mission d’audit doit être effectuée selon les normes internationales de l’audit ISA et de l’IFAC ou fédération internationale de comptable. En effet, les normes utilisées à Madagascar sont inspirées par la combinaison des normes ISA et IFAC. Le cabinet utilise les normes ISA 200 à 800 comme un outil important pour exécuter le travail d’audit au sein d’une société ou d’un organisme. A titre de résumé, ce norme stipule les conditions à respecter par les auditeurs pendant l’audit afin d’atteindre l’objectif. Le 12 résumé de la Norme ISA 200 à 800 se trouve en annexe I.
• normes ISRS 4400
L’origine de la norme ISRS 4400 est les normes ISA 920. Elles sont applicables et spécifiques pour l’audit des projets. La norme ISRS 4400 concernant les «Missions d’exécution de procédures convenues en relation avec les informations financières» qui couvre les missions relatives aux informations financières peut également fournir des orientations utiles pour les missions concernant des informations non financières, étant entendu que l’auditeur maîtrise adéquatement la connaissance du sujet considéré et qu’il existe des critères raisonnables sur lesquels il puisse fonder ses observations.
La dite ONG est dirigée par un représentant français. Elle est une association professionnelle française de solidarité internationale, qui agît depuis plus de trente (30) ans dans une quarantaine de pays. Elle intègre systématiquement le souci de l’après-projet, c’est-à-dire l’objectif de pérennité économique, sociale, environnementale et institutionnelle des dispositifs.
Tout projet doit sujette à un audit parce que le bailleur de fonds l’exige pour éviter la mauvaise pratique de gestion dans certains cas.
La plupart des organismes ont montré très peu de capacité à assurer une bonne 18 gestion financière or ils dépendent largement de financement externe pour mener à bien leur mission et élargir leurs activités. C’est la raison pour laquelle que tout projet à financement externe ne peut pas s’échapper de l’audit.
un projet doit passer également à un audit pour éviter les risques fiscal, juridique et social dans le pays bénéficiaire.
Il est impossible de recueillir les avis de tous les personnels, alors l’échantillon est limité à quelque auditeur et expert-comptable du cabinet. Le questionnaire est rédigé selon les éléments recueillis pendant la pré-enquête. Le dépouillement des réponses est établi manuellement. Les questions sont classées suivant le degré de liberté de réponse et la plupart est des questions ouvertes pour que l’échantillon puisse exprimer des réponses libres.
La vérification des pièces justificatives ou le pointage, l’inventaire des immobilisations, le contenu d’une convention, le recoupement par des valeurs significatives sont quelques connaissances que nous avons retenues.
Cette analyse est renforcée par le diagramme d’ISHIKAWA dont le tableau récapitulatif de l’analyse se trouve dans le tableau III en annexe IV.
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Table des matières
INTRODUCTION
Partie I : : MATERIELS ET METHODES
Chapitre 1 : MATERIELS
Section I : zone de l’étude
1.1- identification du cabinet NPNM AUDIT
1.1.1-historique
1.1.2- ressources du cabinet
1.1.2.1- ressources matérielles
1.1.2.2- ressources humaines
1.1.3-nature des prestations du cabinet
1.1.3.1- audit
1.1.3.2- commissariat au compte
1.2- organisation du cabinet NPNM AUDIT
1.2.1- organigramme du cabinet
1.2.2-explication de l’organigramme
Section II : autres matériels utilisés
2.1- référentiels utilisés
2.1.1- normes d’audit : ISA-ISRS
2.1.2- normes comptables
2.1.3- autres référentiels
2.2- projet objet de l’étude
2.2.1- caractéristiques du projet
2.2.2- bailleur du projet : UNION EUROPEENNE
2.2.3- bénéficiaire : ONG
Chapitre II : METHODES
Section I : cadre théorique
1.1- diagramme d’ISHIKAWA
1.2- supports documentaires et de recherche
1.2.1-causes de l’audit
1.2.2-effets de l’audit
Section II : cadre pratique
2.1- collectes des données et des informations
2.1.1-visite d’entreprise
2.1.2-recherche documentaire
2.1.3-recours au site web
2.2-compte rendu du stage
2.2.1-enquête auprès de personnel
2.2.2-observation directe
2.2.3-terrain
2.3- traitement des données conduisant aux résultats
analyse d’ISHIKAWA
2.4-limite de d’étude
2.5- chronogramme
PARTIE II : RESULTATS
Chapitre I: CONNAISSANCES DE FONCTIONNEMENT DE GESTION DE PROJET
Section I – méthodes de décaissement
1.1- conditions d’éligibilité des dépenses
1.2- différentes méthodes de décaissement
1.2.1-méthode d’avancement de fonds
1.2.2-méthode de remboursement des dépenses
1.2.3-méthode de paiement direct
1.2.4-méthode de paiement par lettre de crédit
Section II – bonne gouvernance du projet
2.1- gestion financière saine
2.1.1-utilisation économique efficiente et efficace du fonds
2.1.2-gestion sincère par rapport à la convention
2.1.3-fiabilité du système comptable
2.2- quelques conditions nécessaires pour la gestion
2.2.1-coopération
2.2.2-participation
2.2.3-gestion participative
Section III – mise en évidence des tendances lourdes
3.1- contrat de gestion de projet
3.2- exigences de partenaire
3.3- causes racines par l’analyse SWOT
Chapitre II : CONNAISSANCE DE L’AUDIT DES PROJETS
Section I – approche des auditeurs
1.1-raison d’être de l’audit
1.1.1- définitions
1.1.2- nature de l’audit comptable et financier
1.2- approche méthodologique du cabinet
1.2.1- stratégie d’audit
1.2.2- planification d’audit
1.2.3- étapes d’intervention et d’obtention des éléments probants
Section II : documents de projet nécessaires à l’audit
2.1- documents écrits
2.1.1- accord avec les partenaires
2.1.2- comptes financiers
2.2- cycles de projet analysés
2.2.1- cycle financement ou caisse
2.2.2- cycle décaissement
2.2.3- cycle immobilisation
2.2.4- cycle paie
2.2.5- gestion des marchés et/ou conventions
Section III : difficultés rencontrées par l’auditeur
3.1- problèmes liés au projet
3.2- problèmes liés au cabinet
3.3-limites de l’audit
PARTIE III : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
Chapitre I : DISCUSSIONS
Section I – effets des problèmes susmentionnés
1.1- conséquences des tendances lourdes en gestion
1.1.1- risque de suspension de financement
1.1.2-risque de restitution de fonds
1.2- effets des problèmes d’audit
1.2.1- effets liés au projet
1.2.2- effets liés au cabinet
Section II – impacts de l’audit sur le projet
2.1- fiabilité des informations financières
2.1.1- fiabilité
2.1.2- utilité du rapport d’audit
2.1.3- influence du rapport d’audit
2.2- impacts au niveau des erreurs et des fraudes
2.2.1- diminution de risque d’erreurs au niveau EF
2.2.2- diminution des fraudes potentielles
2.3- les impacts sur le contrôle interne et les procédures
2.3.1-amélioration de contrôle interne
2.3.2-détection des failles au niveau des procédures
2.4- financement externe et audit
2.4.1- concepts primordiaux d’une gestion efficace
2.4.2- intervention de l’audit dans un projet
Chapitre II : RECOMMANDATIONS
Section I- solutions possibles
1.1-au niveau du cabinet
1.1.1- personnel
1.1.1.1- personnel en général
1.1.1.2- formation des équipes d’audit
1.1.1.3- organisation des équipes
1.1.2-organisation
1.1.2.1-organisation interne
1.1.2.2- gestion du personnel
1.2- pour le projet et son contrôle interne
1.2.1- amélioration de l’achat
1.2.2- amélioration de la paie
1.2.3- amélioration de la trésorerie
1.2.4- amélioration du projet
Section II- choix de solution prioritaire
2.1- critères d’évaluation
2.2- évaluation des solutions
2.3- impacts des propositions
2.3.1- avantages
2.3.2- inconvénients
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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