Contribution à l’étude de la production d’un taillis de chêne vert

PFE & RAPPORT Contribution à l’étude de la prooduction d’un taillis de chêne vert dans une séquuence dégradee cas du taillis de Marccona (Batna) PDF

Introduction
Chapitre I: Revue bibliographique
I. Caractéristiques générale du chêne vert
I.1- Caractères botaniques et Taxonomie
I.2- Répartition géographique
I.3- Autoécologie du chêne vert
I.3.1- Les conditions climatiques
I.3.2- Les conditions édaphiques
I.4-Répartition altitudinale et notion d’étage de végétation
I.5- Résistance aux contraintes environnementales
I.6- La régénération
I.6.1- Les futaies
I.6.2- Les taillis
I.8- La sylviculture du chêne vert
I.9- Les ennemies du chêne vert
II- Biomasse des peuplements forestiers
II.1- Définition
II.2- Méthodes d’étude de la biomasse
II.2.1. Méthode destructive
II.2.2. Méthode semi destructive
II.2.3. Méthode non destructive
II.3. Tarif de biomasse
II.3- Tarif de cubage relatif au taillis
II.5-Modèle de croissance en biomasse
II.5.1- Choix du modèle
II.5.2- Classes de croissances
Chapitre II Matériels et méthodes
I- Présentation de la zone d’étude
I.1- Localisation géographique et relief
I.2- Géologie et Pédologie
I.3- Le Climat
I.3.1. La Pluviométrie
I.3.2. Les températures
I.3.3. Autres données climatiques
I.3.4. Le diagramme de BAGNOULS et GAUSSEN
I.3.5. Situation de la zone d’étude dans le climagramme d’Emberger
II- Matériels
III- Méthodes
III.1- Placettes d’échantillonnage et collecte des données
III.2- Collecte des données sur terrain
III.3- Mesures effectuées au laboratoire
III.4- Les calculs effectués
III.4.1- Le volume des brins
III.4.2- Le poids sec
III.4.3- Poids sec du brin
III.4.4- Calcule du poids sec des feuilles
III.4.5- La hauteur dominante et l’âge
III.4.6- Elaboration des tarifs en biomasse et en volume du brin
III.4.7- Accroissement courant
III.4.8- Coefficient de variation et écart type résiduel
Chapitre III: Résultats et discussion.
I- Résultats et interprétation
I.1- Caractéristiques des brins échantillonnés
I.2- Structure du peuplement échantillonné
I.3- Détermination du volume des brins
I.4- Estimation de la biomasse
I.4.1- Tarif biomasse du brin
I.4.2- Tarif biomasse des feuilles
I.4.3- Relation entre le volume du brin et son poids
I.5- Modélisation de la hauteur dominante
I.5.1- Détermination des classes de fertilité
I.5.2- Production en biomasse du taillis
II- Discussion
Conclusion
Références bibliographiques
Annexes

Rapport PFE, mémoire et thèse avec la catégorie Contribution à l’étude de la prooduction

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En Algérie, la forêt revêt un caractère particulièrement important car elle constitue un élément essentiel de l’équilibre écologique et socio-économique des régions rurales en particulier et du pays en général. Nulle part ailleurs, la forêt n’apparaît pas aussi nécessaire à la protection contre l’érosion, la désertification, à l’amélioration des activités agricoles et pastorales et à la protection de l’environnement.

Actuellement le couvert forestier global en Algérie est de 4,1 millions d’hectares soit un taux de boisement de 16,4% pour le Nord de l’Algérie et de 1,7 % seulement si les régions sahariennes sont également prises en considération.

Néanmoins, seuls 1.3 millions d’hectares représentent la vraie forêt naturelle (Farkzazou, 2006). A l’instar des pays du pourtour méditerranéen, l’Algérie assiste à une dégradation intense de son patrimoine forestier. Les causes sont multiples : défrichement, surpâturage, surexploitation, incendies et une mauvaise gestion. Suite à cela et au fil des années, ces forêts semblent glisser rapidement sur la voie d’une dégradation progressive, leur maigre patrimoine sylvicole disparaît peu à peu, les formations forestières se transforment et donnent naissances à de nouvelles formes et de nouvelles nomenclatures caractérisant leurs stades de dégradation à savoir matorrals, maquis, garrigue, erme et autres.

Les chênes sclérophylles participent, ou même constituent pratiquement à eux seuls, divers types de paysage hautement caractéristiques du monde méditerranéen. Il s’agit bien sûr essentiellement de la forêt sempervirente méditerranéenne qui représente lorsqu’elle n’a pas été détruite, l’unité physionomique, la plus généralement assimilée au climat et à la végétation méditerranéenne (Haichour, 2009).

Parmi ces chênes, le chêne vert qui représente l’espèce la plus répondue du bassin méditerranéen où elle occupe actuellement entre 354 000 ha et 433 000 ha (Haichour, 2009). En Algérie, il occupe une superficie de 690,000 ha (Ezzahiri et Belghazi, 2002). C’est une essence à usage multiples et constitue une ressource énergétique renouvelable. Les peuplements qui le composent sont souvent des taillis simples de faible productivité occupant l’étage dominé du pin d’Alep et du cèdre de l’Atlas.

Ces forêts dans les zones reculées subissent jusqu’à l’heure actuelle une pression anthropique très importante (surexploitation et pâturage) qui s’explique par une demande croissante de bois de feu, de bois de service, et de fourrage pour le bétail surtout pendant les périodes de disette Belghazi et al. (2001).

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