PROMOTION DU DÉVELOPPEMENT RURAL PAR L’IMPLANTATION DU CENTRE DE SERVICE AGRICOLE

La terre

                  La terre est le premier facteur de production qui rapporte une rente, car elle est l’unique source de produit net. On la considère comme la première source de richesse, si elle est bien exploitée par l’homme. Globalement, l’agriculture est tributaire du régime des facteurs agro-écologiques comme l’eau, les sols et le climat. Sur la falaise, les accidents de relief et l’exiguïté des vallées aménageables limitent les surfaces en riz irrigués, si bien que la population locale a recours à la culture du riz sur brûlis. Par contre, les blocages qui limitent les initiatives de développement du secteur agricole sont d’abord les aléas climatiques, puis l’appauvrissement des sols à cause d’érosion et des cultures sur brûlis. Cela entraine la dégradation des revenus des paysans. Le mode de faire valoir direct est le mode le plus couramment utilisé dans le district, mais le mode faire valoir indirect, pour la plupart, le métayage, tend à se développer. Le premier mode semble prédominer dans la commune, surtout dans la riziculture. Les bas-fonds sont donc occupés par les paysans, ils exécutent leurs travaux manuellement, à partir d’outils rudimentaires. Par contre, le second, comme nous l’avons dit, tend à se développer, actuellement, sous prétexte que certains propriétaires terriens vont en ville ou dans d’autres localités, hors de la commune. Différentes formes de métayage ont été rencontrées : le propriétaire loue la terre sous forme de redevance en récolte, et le métayer fournit le travail, ainsi que l’intrant agricole. Au moment de la récolte, la production est divisée en deux parties : un tiers (1/3) de la récolte au propriétaire, et deux tiers (2/3) au locataire ; si en plus de la terre, le propriétaire fournit les intrants agricoles, le rapport est de moitié-moitié ; et si une personne intervient dans la fourniture de la semence, au moment de la culture, elle perçoit un tiers (1/3) de la production, à la récolte, ou l’équivalent, en produit de la somme (ou semence) empruntée, le taux d’usure compris. Le propriétaire perçoit également le tiers (1/3) de la production. Les cultures fruitières sont touchées par le métayage. Le propriétaire propose à quelqu’un d’assurer la récolte, jusqu’à la commercialisation de la production. Les arbres fruitiers étant en âge de produire, les contrats sont fixés à l’avance et ne concernent que la production. La plantation et l’entretien des arbres relèvent du propriétaire, alors que le contrat ne concerne que la production annuelle. A ce moment là, il y a deux pratiques : soit le propriétaire vend les fruits sur pied, avant qu’ils soient mûrs. Dans ce cas, il perçoit le prix de la production sur pied ; soit il donne à quelqu’un d’assurer toutes les opérations, allant de la récolte jusqu’à la commercialisation de la totalité de la production. Les résultats bruts des ventes sont partagés moitié-moitié, alors que le propriétaire ne paie ni la récolte, ni les emballages. Même le transport est à la charge du locataire.

Les richesses naturelles

                     Le district d’Ikongo est riche en ressources naturelles. Sa situation géographique constitue un atout prépondérant au développement des activités agricoles. En effet, cette région dispose de rivières, pouvant être exploitées pour la mise en place de barrages d’irrigation, pour arroser les cultures et pour servir de sources d’énergie hydroélectrique inépuisable, pour l’électrification de l’ensemble de la région. Dans ce district, la fertilité des sols couplés avec la diversité de relief, ainsi que les différentes sortes de climat, permettent plusieurs variétés de cultures et l’utilisation des techniques agricoles modernes. Les ressources minières dont dispose cette région contribuent davantage à l’augmentation de la capacité financière et au niveau de vie de la population ; ces ressources peuvent participer à l’aménagement de cette zone. Le district dispose également d’un pôle touristique : station forestière d’Andrambovato, forêt d’Andriambavy et la montagne d’Ikongo, et d’un pôle d’attraction comme la chute de Manera et de Mandriampotsy. Ces derniers, avec le développement des autres activités y afférentes (hôtelleries, transports, commerces, etc.) constituent autant d’opportunités pour l’amélioration des conditions de vie de la population environnante.

LES PHYSIOCRATES OU L’ÉLOGE DE LA TERRE

                    La physiocratie est un courant économique apparu vers la fin du XVIIIème et le début du XIXème siècle. Pour les physiocrates, le véritable enrichissement n’est pas monétaire, mais agricole .Ils s’opposent en cela aux mercantilistes. Les physiocrates réagissent contre les mercantilistes car ils pensent que l’objectif de la vie n’est pas l’enrichissement, mais le bonheur .Pour atteindre ce bonheur, ils préconisent une vie naturelle aux champs et considèrent qu’il faut augmenter la production de richesses, non les richesses monétaires, comme le pensent les mercantilistes, mais les richesses agricoles. Seule l’agriculture est en mesure de produire un surplus, au-delà des matériaux utilisés, c’est un produit net .L’activité manufacturière est stérile, car elle ne dégage aucun produit net ; elle transforme les richesses, mais n’en crée pas .L’industrie est tout de même très utile, puisqu’elle fournit à l’agriculture des biens de production que les physiocrates nomment « avances : c’est un investissement et biens intermédiaires, permettant le progrès agricole ». Ainsi, son utilisation permet d’augmenter le rendement. Avec les physiocrates, la richesse devient matérielle, et non plus, comme l’affirmaient les mercantilistes, uniquement monétaire .L’erreur est évidemment de limiter la définition de la richesse uniquement au produit agricole et de considérer que seule l’activité agricole est productive. Cette méprise se comprend à une époque où l’appareil productif est essentiellement agricole. Les physiocrates sont les premiers libéraux ; ils considèrent que l’Etat ne doit pas intervenir dans l’économie et qu’il doit respecter les lois physiques qui la guident .Les intérêts individuels, et surtout ceux des agriculteurs, sont conformes à l’intérêt général. Il faut respecter l’ordre naturel de l’économie et respecter la propriété privée. Libre-échangistes, les physiocrates s’opposèrent au protectionnisme de Colbert. Le mercantilisme avait mené une politique de bas prix agricole, pour limiter les salaires, et ainsi favoriser le développement industriel ; l’une des mesures emblématiques de la politique du colbertiste fut l’interdiction des exportations de blé qui, en créant une surproduction relative, diminuait son prix. Les physiocrates considéraient au contraire qu’il fallait favoriser l’augmentation du prix du blé, afin d’encourager les agriculteurs à accroître leur production et donc le produit net. Dans ce cas, le travail agricole, via l’exploitation terrienne, est la seule source de richesse. Le travail était glorifié depuis l’antiquité, avec Aristote, en ayant interprété le dicton de la bible : « tu ne gagneras ta vie qu’à la sueur de ton front ». Mais, pour la rapprocher de la réalité économique, cette théorie doit être liée à la théorie de la croissance endogène de la nouvelle économie classique.

L’économie rurale et la croissance économique : Rôle joué par le secteur  primaire dans la croissance économique

                 En se basant sur les cinq étapes de l’évolution économique d’une société, selon Rostow, on se penche vers le rôle important joué par les industries motrices. Or, l’évolution de ces dernières se fait par le développement ou l’allocation optimale de l’économie rurale, qui joue un grand rôle dans l’accroissement de la potentialité de production (intrants ou matières premières agricoles, ressources naturelles: minières, …) surtout pour un pays en voie de développement comme Madagascar. Selon Rostow, l’évolution économique d’une société passe par l’étape: D’une société traditionnelle, une société agricole, rurale et stationnaire, où la terre est la seule source de richesse et détermine la structure sociale. La phase des conditions préalables au décollage :
– L’existence d’une mutation de structure traditionnelle, grâce aux changements qui touchent l’agriculture (amélioration des techniques agricoles).
– L’évolution des idées ou possibilités de développer la production
– Le développement du commerce
– L’existence d’un Etat centralisé qui offre des services.
Le take-off ou décollage: c’est l’étape où les anciens blocages et les résistances au développement sont dépassés et qu’une croissance régulière apparaît.
– Les découvertes techniques se généralisent et s’appliquent dans tous les domaines de la production.
– Le taux d’investissement croît considérablement
On assiste au développement des industries motrices qui ont des effets de liaison en amont et en aval. Ces industrialisations motrices influencent le développement d’autres activités industrielles en leur offrant un environnement économique et infrastructures plus favorables. La maturité technologique où les techniques modernes se généralisent à toutes les activités économiques et où la production est beaucoup plus diversifiée. C’est ainsi que l’ère de la consommation de masse, où la consommation se généralise à toutes les couches sociales qui disposent d’un niveau de vie élevé, peut être atteinte. Les physiocrates sont parmi les premiers libéraux ; ils considèrent que l’Etat ne doit pas intervenir dans l’économie et qu’il doit respecter les lois physiques qui la guident. Les intérêts individuels, et surtout ceux des agriculteurs, sont conformes à l’intérêt général. Il faut respecter l’ordre naturel de l’économie. Mais si nous admettons l’hypothèse d’un pays envoie de développement qui sous entend la notion de pauvreté et possédant une grande partie de la population rurale, la théorie économique des physiocrates devraient se compléter avec celle de la nouvelle économie classique comme la théorie endogène de Lucas pour réaliser un développement économique qui devrait passer par la procédure d’industrialisation, selon Rostow.

Le développement économique

                     Dans la phase de construction de la pensée par les pionniers du développement, croissance économique et développement étaient synonymes. Le développement signifiait l’obtention d’une croissance économique significative sur une longue période. On peut aussi argumenter, comme GERSHENKRON que le processus de développement économique est « historique », c’est-à-dire que la forme qu’il prend dépend des conditions initiales. Ainsi, plus le démarrage économique était tardif, c’est-à-dire plus l’économie était attardée dans son état initial, plus l’industrialisation s’orientait vers les secteurs de biens de production, plus le transfert de richesse nécessaire à l’accumulation de capital était massif, et moins l’accroissement de productivité dans l’agriculture jouait un rôle dans cette accumulation. Ces différences de vues sont importantes : l’approche de Rostow suggère qu’avec une bonne compréhension des mécanismes dynamiques qui permettent le passage d’une phase a une autre phase, la politique économique dans les pays en voie de développement pourrait être guidée par une « road map », qui serait essentiellement valable partout. L’approche historique de Gershenkron, par contre, laisse à penser que la carte risque d’être assez différente, selon les conditions initiales. A part ces pensées, d’autres auteurs ont été amenés à distinguer le développement et la croissance. Pour François Perroux, « le développement est la combinaison des changements mentaux et sociaux qui rendent la nation apte à faire croître, cumulativement et durablement, son produit réel global ». Ainsi, le développement est un faisceau de transformations qui modifie les comportements, intègre les progrès des connaissances, l’amélioration des qualifications, le savoir faire industriel, modifie les anticipations dans le sens d’une accumulation. En un mot, le développement peut être considéré à la fois comme processus et comme résultat.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : PRÉSENTATION GÉNÉRALE DU DISTRICT D’IKONGO ET LES ENJEUX ECONOMIQUES DU MONDE RURAL
CHAPITRE I. PRÉSENTATION GÉNÉRALE DU DISTRICT
SECTION I : MILIEU PHYSIQUE
§1.Délimitation géographique et administrative
A. Délimitation géographique
B. Situation administrative
§2. Les communes voisines
§3. Relief
§4. Climat
SECTION II : MILIEUX HUMAIN ET SOCIAL
§1. Répartitions de la population
§2. Secteur de développement humain et socioculturel
A. Education
B. Santé et eau potable
a) Infrastructures sanitaires et personnel médical
b) Les pathologies dominantes
c) Accès à l’eau potable
C. Loisirs et sports
a) Loisirs
b) Sports
SECTION III : SITUATION ÉCONOMIQUE
§1. Les activités agricoles
A. Les facteurs de production
a) La terre
b) Le travail
c) Le capital
§2. Les caractéristiques des activités agricoles
§3. Les activités non agricoles
A. L’élevage
a) L’élevage porcin
b) L’élevage bovin
c) L’aviculture
B. La pêche
C. L’artisanat et le petit commerce
a) L’artisanat
b) Les forgerons
c) Le petit commerce
d) Commerce
§4. Infrastructures physiques
A. Voie routière
B. Voie ferrée
C. Télécommunications
§5. Les ressources naturelles
A. Les richesses naturelles
B. L’exploitation minière
§6. Actions de développement dans le District
CHAPITRE II. APPROCHE THÉORIQUE ET DÉVELOPPEMENT
SECTION I : LES PHYSIOCRATES OU L’ÉLOGE DE LA TERRE
SECTION II : LA THÉORIE DE LA CROISSANCE ENDOGÈNE
§1. Approche structurelle de la croissance
§2. L’industrialisation seule issue pour l’accès à un développement économique d’un pays sous développé à forte potentialité rurale
§3.L’économie rurale et la croissance économique : Rôle joué par le secteur primaire dans la croissance économique
SECTION III : LA THÉORIE DE DÉVELOPPEMENT
§1. Le développement économique
§2. La croissance et le développement économique
§3. Les indicateurs du développement
A. IDH
B. L’ISDH
C. L’IPF
D. L’IPH
CHAPITRE III. LES ENJEUX ÉCONOMIQUES DU MONDE RURAL 
SECTION I : LA MÉDIOCRITÉ DES MOYENS DE PRODUCTION
§1. Potentialité des sols et densité de la population
§2. La rareté du capital (K)
A. Outil rare et rudimentaire (problèmes relatifs à la mécanisation)
B. Mauvaise qualité du matériel végétal et animal
C. Insuffisance des capitaux circulants
§3. Le problème du travail (L)
A. Les conditions physiques de l’effort
B. Les conditions psychologiques et sociologiques de l’effort
C. Activités para agricoles et hors exploitation
§4. Les techniques culturales et la technicité des paysans
SECTION II : LA PAUVRETÉ ET L’ABSENCE DE SURPLUS
§1.Caractéristiques de la pauvreté à Madagascar
§2. Pauvreté des sociétés paysannes
A. Pauvreté comme absence de surplus
B. Distribution de la pauvreté
C. Pauvreté collective et pauvreté individuelle
§3. Le système de subsistance
SECTION III : ÉTUDE PARTICULIÈRE DU DISTRICT D’IKONGO
§1. Les problèmes économiques
A. Faibles niveaux d’intensification agricole
B. Faiblesse au niveau de la demande effective
C. Faible taux d’investissement privé
§2. Les problèmes sociaux
A. Insuffisance de la main- d’œuvre
a) La non optimisation de l’utilisation des facteurs de production
b) Insécurité foncière
c) Manque de cohésion sociale
d) Manque d’outils et matériels
e) Difficulté de la relation avec les acteurs du développement
§3.Les contraintes limitatives de l’agriculture
A. Contraintes d’ordre socioculturel
B. Contraintes d’ordre socio-économique et sociologique
C. Contraintes d’ordre financier
D. Contraintes d’ordre institutionnel
E. Contraintes d’ordre physique
§4.Contraintes limitatives du Système d’élevage non performant
A. Insuffisance de soins vétérinaires
B. Absence de surveillance épidémiologique
DEUXIEME PARTIE : LA MISE EN PLACE DU CSA POUR LE DÉVELOPPEMENT DU DISTRICT D’IKONGO
CHAPITRE I. PRÉSENTATION GÉNÉRALE DU CSA
SECTION I : GÉNÉRALITÉS
§1.Définition
§2.Contexte du CSA
§3.Fiche d’information sur l’action
A. Titre d’action et nom du demandeur
B. Objectifs
a) Objectif global
b) Objectif spécifique
C. Zone d’Intervention
D. Groupes cibles
E. Résultats attendus
F. Filière d’intervention
G. Activités
SECTION II : SITUATION JURIDIQUE ET ORGANISATIONNELLE DU CSA
§1.Situation juridique
A. Le statut du CSA
B. Un organe de pilotage: le «COPILO»
a) Rôle et place des paysans dans le COPILO
§2. Gestion Administrative du CSA
A. Organigramme du CSA
B. Gestion du personnel
a) Contrat de travail
b) Droit du travailleur
c) Gestion des absences
C. Outils de gestion
D. Gestion des équipements
SECTION III : LE DÉROULEMENT DE LA MISE EN PLACE
§1.Processus simplifié
§2.Principaux acteurs
A. Au niveau international
a) L’Union européenne
b) Opérateurs d’appui : AFDI/ PCSA
B. Au niveau national
C. Au niveau régional
a)La Région
b) DRDR (SR, CIRDR)
D. Au niveau local : producteurs et acteurs locaux
a) Les OP et TT
b) Le secteur privé
c)Les prestataires de services
d) Les IMF
e)Les projets / Programmes
E. Les acteurs indirects ou secondaires et leurs rôles
§3.Planning de mise place du CSA
CHAPITRE II. LA CONTRIBUTION DU CSA AU DÉVELOPPEMENT DU DISTRICT D’IKONGO
SECTION I : L’IMPORTANCE DU CSA DANS LE DISTRICT
§1.L’objectif du CSA
§2.Les principes et les valeurs
A. Les principes
B. Les valeurs
§3.La procédure de fonctionnement
A. Mode de traitement niveau I
B. Mode de traitement niveau II
§4.Stratégie du centre de service agricole
A. Le plan de travail annuel
B. Analyse et identification des filières prioritaires
C. La ressource principale
D. Ressources particulières
a) Financement du fonctionnement
b) Financement des services
SECTION II : OPÉRATIONNALISATION DU CENTRE
§1.Veiller au respect des règles et procédures de bonne gouvernance et pilotage
A. Gouvernance du CSA
B. Elaboration et validation des outils de pilotage du CSA
C. Reporting et suivi du CSA
§2.Faire connaitre les activités du Centre à tous les acteurs et institutions du développement rural
A. Communication
B. Partenariat
§3.Les missions du CSA
A. Les 5 grandes missions assignées aux CSA
a) Structure de la demande de services agricoles
b) L’appui à la recherche de financement
c) Appui à la maîtrise d’ouvrage
d) Mise en relation de la demande et de l’offre de services agricoles
e) Mise à disposition ou diffusion de l’information technico-économique
B. Stratégies de service
§4. La coopération entre CSA et les ONG du district
A. Projet PARECAM
B. Projet SOFASPAN
C. Projet SAF-FJKM
D. Le Projet CRS
E. L’ONG Ny TANINTSIKA
F. ONN SEECALINE
SECTION III: RÉSULTATS ATTENDUS
§1.Quels sont les résultats attendus du CSA auprès du secteur rural, à court, à moyen et à long terme ?
A. Résultats attendus à court terme
B. Résultats à moyen terme
C. Résultat à long terme
§2.Le CSA face au développement rural
A. Amélioration de la condition de vie
B. Economie de subsistance à l’économie de marché
C. Le foncier
D. Création d’emplois ruraux
E. La prise en charge des infrastructures d’aménagement
F. La vulgarisation agricole
G. La protection de l’environnement
H. La fiscalité
I. Financement
CHAPITRE III. LIMITES ET SUGGESTIONS
SECTION I : LES ASPECTS LIMITATIFS DU PROGRAMME
§1.Les problèmes liés à la disponibilité des financements
A. Retard de financement
B. Problèmes d’ordre financier
§2.Les problèmes liés à la difficulté de mobilisation
A. Manque d’information
B. La complication des procédures à suivre
§3.Situation nationale
SECTION II : SUGGESTIONS ET RÉCOMMANDATIONS
§1.Au niveau de la commune du district et aux bénéficiaires
A. Participation sociale au développement
B. Renforcement de la structure des organisations
C. Augmentation du taux de recouvrement
D. Mise en place de centre de surveillance
E. Facilitation des protocoles à suivre
F. Exploitation de masse
G. Prise de conscience
§2.Les orientations envisageables au niveau du CSA
A. Allègement de la procédure de financement
B. Animation rurale
§3.Les améliorations envisageables au niveau de l’Etat
A. Nécessité de l’implication des techniciens locaux
B. Collaboration avec les bailleurs de fonds
CONCLUSION
BILIOGRAPHIE
ANNEXES
LISTE DES ILLUSTRATIONS

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