Les Etablissements de graphite, un des anciens attraits des flux des migrants

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Andasibe Village, Ampangalatsary, Morafeno, Menalamba, Andasifahatelo et Falierana.

La localisation des Etablissements du graphite.

Les Etablissements du graphite se localisent à 6 k m au Nord de la Commune d’Andasibe. Les usines des Etablissements Izouard et Louys s’étalent sur les rives gauches de la rivière Sahatany à Falierana ; celles de la société Louys se trouvent sur la levée de la berge droite de la rivière Sahatandra à Andasifahatelo.
Les exploitations de type graphitaire se trouvent à 18050’ de latitude Sud et 48 020’ de longitude Est, ayant une altitude minimale de 890m et 1250 m, au maximum.
Les mines des deux Etablissements se localisent à 2 5 km de Falierana pour l’Etablissement Izouard et à 15 km Ambatoarana, au nord de l’usine d’Andasifahatelo, pour l’Etablissement Louys.

Les conditions écologiques de la zone d’étude (Carte n°2)

Le graphite d’Andasibe dans l’histoire géologique de Madagascar

Madagascar est constitué pour les deux tiers de sa superficie par des schistes cristallins précambriens, avec diverses roches éruptives constuanti le socle cristallin et, pour le tiers restant, par une bordure de roches sédimentaires qui, sur lacôte orientale, ne forment qu’une très étroite bande.
Ce socle cristallin est constitué par trois grandssystèmes dont :
a. Le système du graphite
b. Le système Androyen
c. Le système du Vohibory, le plus récent

Le système Androyen

Il est constitué de roches hautement métamorphiques, avec un faciès granulite. Il se trouve dans la région Sud de Madagascar avec une pétrographie dominée par des leptynites. Le système Androyen est divisé en trois groupes dont le groupede Fort Dauphin, le groupe de Tranomato et celuui d’Ampandrandava.

Le système de Vohibory

Il tire son nom du mont Vohibory, point culminant de la région du Sud Ouest, proche de la Sakoa, où il a été défini de fait par l’abondance esd formations amphiboliques et la présence d’anciennes coulées basaltiqus, maintenant transformées en corthoampibolites associées, à des intrusions basiques et ultrabasiques plus ou moins métamorphisées. Le système de Vohibory est localisé dans les grandes aires synclinoriales. Ilest économiquement important, car il renferme un grand nombre de minéralisations : chrome, plomb, cuivre, nickel, titane, or. Suivant le métamorphisme, il a été subdivisé en plusieurs groupes :
Le groupe du Vohibory , avec leptynites, amphibolites, migmatites
Le groupe de Beforona (Alaotra et Andriamena), avec amphibolites, migmatites
Le groupe de Maevatanana , avec schistes verts, gneiss, migmatites
Le groupe d’Amborompotsy et série schisto-quartzo-calcaire.

Le système du graphite

Le système du graphite constitue la plus grande partie du socle cristallin. Suivant les régions, le système montre des intensités différentes de métamorphisme, allant du faciès granulite aux faciès micaschisteux de mésozone. Il a par endroits un large développement de migmatites et des zones granitisées avec charnockites, Les principales masses granitiques résultent de la granitisation, accompagnant l’orogenèse de 550 millions d’années. On a séparé divers groupes régionaux, d’après leur faciès métamorphique, maisans aucun classement stratigraphique. Ce sont :
– Le groupe d’Ambatolampy
– Le groupe d’Andriba
– Le groupe d’Ampanihy
– Le groupe du Manampotsy
Le groupe d’Ambatolampy
Ce groupe est adossé à l’Ouest de la grande dorsale méridienne, il s’allonge du Sud de Vangaindrano jusqu’à Antananarivo et prend ensuite la direction Ouest le long de la grande dorsale du Famoizankova. Il comprend un ensemble de gneiss à cordiérite, chanockites, quartzites. On y connaît de nombreuses veines interstratifiées de quartz aurifère qui ont donné naissance aux gisements alluvionnaires autrefois exploités. Ce groupe renferme de nombreux gisements de graphite qui, travaillent, mais sont maintenant délaissés au profit de ceux du groupe du Manampotsy plus proche du port d’embarquement de Toamasina.
Le groupe d’Andriba
Il s’étend au Nord de la dorsale du Famoizankova, limité à l’Est par une autre dorsale méridienne granitique constituée de gneiss à deux micas, de gneiss à amphobole, à pyroxène, à grenat, il ne renferme qu’exceptionnellement du graphite.
Le groupe d’Ampanihy
Il se localise dans le sud, entre Antanimora et Ampanihy, où il repose sur le groupe d’Ampandrandava dans le système Androyen. Il se caractérise par l’abondance des leptynites à quartz aplati, très riche en graphite, associées à des charnockites, gneiss à amphibole, amphibolites, cipolins, quartzites. Les granites sont très rares, mais il existe par contre de gros massifs d’anorthosites, roches entièrement forméesde plagioclase labrador.
Du point de vue économique, le groupe est riche engraphite, mais les roches ne sont pas latéritisées, d’où l’exploitation exigerait un abattage à l’explosif et un broyage qui ne seraient pas rentables.
Le groupe du Manampotsy, localisé sur la région orientale entre la côte etla grande falaise de l’Angavo. Il est formé d’un ensemble migmatitogneissique avec migmatites rubanées lit-par-lit ou des rubans schisteus et du gneiss. Ces roches renferment biotite, amphibole, sillimanite, grenat parfois épidote avec du graphite dispersé en bancsou en lentilles. Les gisements de graphite, actuellement exploitées, se trouvent dans ce groupe aux environs du Faritany de Toamasina, de Vatomandry et de Périnet. Ce groupe se trouve dansnotre domaine d’étude.
Les roches métamorphiques du système de graphite constituent le substrat géologique de la région. Il s’agit d’un socle ancien de précambrien. Les migmatites forment les roches prédominantes.
Et les mines d’extraction de deux Etablissements, dont l’Izouard et Louys appartiennent au groupe stratigraphique et pétroFigure de Manampotsy, caractérisé par la présence d’importantes migmatites et de gneiss à graphite, d e résistance moyenne. Les gneiss présentent une composition minéralogique caractérisée par l’existence de biotites, de sillimanités, de pyroxènes, d’amphibolites et de grenat. Ils sont souvent associés à des bancs de khordalites et de pyroxenites. Tandis que les migmatites fortement altérés donnent des latérites rouges. Ils forment des couches graphiteuses épaisses de plusieurs dizaines de mètres et de direction est-ouest,
contenant plus de 5% de graphite récupérable, paravagel de flottation.
Les couches graphiteuses présentent souvent une grande extension et des épaisseurs variables, pouvant atteindre quelques dizaines de mètres. Dans les régions Centre Est et Hautes terres centrales, se localisent des roches sur des épaisseurs de 10 à 13 m en argile rouge, dans lesquelles le graphite subsiste intact et peut être très facilement séparé, par débourbage et flottation.
Dans les régions du Sud, non affectées par la latérisation, le graphite qui se rencontre dans des roches dures, n’a pas été exploité.

Le faisceau de Moramanga

Deux ensembles de faisceaux graphiteux du groupe du Manampotsy bordent à l’Est et à l’Ouest une large bande constituée par les migmatites de Brickaville. L’exploitation actuelle se concentre sur les deux gisements vers le Nord d’Andasibe dans les villages d’Ambatoarana et de Tsaravoniana, au voisinage immédiat de la gare de Perinet, et sur le chemin de fer Antananarivo-Toamasina. Ces deux gisements ont donné une grosseproduction et des réserves importantes.
– Le secteur d’Anosibe
D’après H. BESAIRIE, « La formation la plus intéressante se trouve dans l’anticlinal d’Itompy, à 20 km à l’Est d’Anosibe An’ala, où l’on trouve plusieurs faisceaux graphiteux. Cette zone était autrefois accessible par les pistes routières Antanambao-Manampotsy-Analatsara à l’Est, la route Anosibe-Ambinanindrano à l’Ouest, m ais seul le gisement d’Analatsara était relié par la route. Il bénéficiera d’un regain d’intérêtle jour où le réseau routier sera entretenu.
– Le secteur Nord Perinet à Ihofa
Ce secteur comprend les deux anciens sites d’exploitation d’Andasifahatelo de Louys et de Falierana de l’établissement Izouard. Ces dernières se positionnent sur une unique couche puissante, faible pente et parallèle à la topographie.
Rappelons que ces anciens sites étaient autrefois privilégiés, du fait, de la proximité de l’axe routier Antananarivo-Toamasina , de la voie ferrée Moramanga-Toamasina, avec une bretelle de raccordement et de la rivière importante, avec micro-centrale électrique.
Le Secteur Nord Ihofa à Rabaona comprend le giseme nt de Tsaravoniana
Cette zone est attribuée à Izouard et située à 18 km à vol d’oiseau au Nord de Perinet, soit 27 km au N NW de Falierana.
C’est une zone de plateau à arêtes étroites, dominant de 150 m, des vallées étroites ; l’altitude atteint environ de 1000m. Cette région est très boisée et, par la même, de pénétration difficile. C’est ainsi qu’en 1992, les deux Etablis sements ont construit des routes, pour y faciliter l’accès.
Sur le plan géologique, dans cette zone, les niveaux à graphite sont situés au sommet des collines recouvertes d’une forêt primaire. Le minerai, facilement abattable, est constitué par d’horizons graphitiques, avec argile latéritique ou du gneiss décomposé, argileux, séparé par des niveaux stériles.
Les indices de Tsaravoniana et Ambatoaranana sont localisés, dans une même bande de gneiss plus ou moins quartzeux, reposant en concordance, sur un dôme anticlinal de migmatites, au faciès dit de Brickaville.

L’axe de Vatomandry et la région de Marivolanitra

Les gisements de cette région sont situés dans unrayon maximal de 2.5 km autour du mont Ambohitranala, à 32 Km au S. SE de Brickaville , en empruntant la route Ambila-Lemaintso, jusqu’au village Vohitrampasina (25km) , on traverse ensuite le canal des Pangalanes et le lac Ankaraina d’Est en Ouest (2km). Une piste, avec plusieurs embranchements, permet d’approcher les anciens chantiers, d’une part d’Ambodivoahangy, d’Ambohitranala, d’Andalona, d’Andranoriha, de Tsarasaotra, d’autre part d’Amboh imalasa, de Betaraitso, de Mavolambo, de Mahagaga. Ces gisements ont été exploités par les tablissementsE Gallois, entre 1909 et 1952 et ont été abandonnés depuis cette date
Actuellement les Etablissements Gallois restent encore dans cet axe de Vatomandry et de Marivolanitra, mais sur un autre site, comme Marovintsy et Antsirakambo.
Sur le plan géologique dans cette zone, Marovintsy appartenant à la région de Marivolanitra et Antsirakambo sur l’axe Vatomandry ont des formations graphiteuses appartenant à une seule même formation de gneiss, à graphite abondant, migmatisé, de plus de 50 m de puissance, située stratigraphiquement au-dessous des gneiss et migmatites à graphite rare ou sans graphite.

L’axe d’Ampasinambo

Cette région renferme quelques gisements importants qui ont été travaillés jusqu’en 1952 et abandonnés, suite à des frais de transport prohibitifs et de l’ennoyage rapide des couches subverticales.

Le faisceau d’Antsirabe- Ambatolampy

L’examen des indices de cette région montre que si le graphite offre une teneur en roche bien supérieure à celle des gisements actuellement exploités sur la Côte Est, le graphite est généralement plus pulvérulent, donc plus difficileàenrichir et de moindre valeur marchande.
De plus, les amas sont de puissance métrique et leur exploitation à ciel ouvert ne peut supporter économiquement un taux de décapage important. L’exploitation souterraine, compte tenu de la mauvaise tenue de terrains, ne paraît pas convenable à priori.

Le faisceau d’Ampanihy-Bekily

Cette région s’étend sur près de 200 km de long et20 à 25 km de large, dans l’extrême Sud Ouest de Madagascar.
Elle est traversée par une route importante, joignant la province autonome de Toliara.
Le climat est semi- aride, seules les rivières principales restent en eau toute l’année.
Le groupe d’Ampanihy, à faciès granulite, renferme un grand nombre de bancs de leptynites à graphite se groupant en faisceaux continus. La région n’est pas latéritisée et les affleurements sont parfaitement visibles. Les leptynites à graphite pr ésentent une forte kaolinisation des feldspaths. Les teneurs sont souvent fortes mais la roche reste dure et exige un broyage pour séparer le graphite. L’exploitation a été entreprise, mais ell a été rapidement abandonnée par suite du prix de revient très élevé et des difficultés d’alimentation en eau, en dépit de la consommation de barrages de retenue. Le traitement était trop sommaire et le graphite insuffisamment purifié. La région d’Ampanihy paraît très attrayante pour les aisonsr suivantes : la bonne qualité du graphite semble systématique ; paillettes et aiguilles dominantes, à teneur en C très élevée. Les couches sont souvent très puissantes, ce qui est favorable à des exploitations à gros tonnages à ciel ouvert. Les bonnes conditions d’affleurement et le faible couvert végétal facilitent la prospection. Les pistes sont moins coûteuses à établir et entretenir que sur la côte Est, mais les indices sont encore vierges. Parmi les inconvénients, il faut citer : la méconnaissance des teneurs en place, le manque d’eau, la distance de transport au port le plus proche et le manque d’énergie (hydroélectrique, bois) bien que le proche gisement de charbon de Sakoa puisse éventuellement y suppléer. Mais dans le groupe d’Ampanihy dans le Sud, l’exploitati on est très difficile car il faut dégager les roches dures pour mettre à jour le minerai. L’explo itation sur le versant oriental se fait en carrière, en attaquant les argiles avec le bulldozer et en les faisant circuler dans les canalisations avec un courant d’eau. Les argiles sont ainsi mises en suspension et passent par une série de grilles d’épierrage qui retiennent les cailloux, puis sur les tamis de maille convenable, qui retiennent le graphite. Après cette phase de débourbage, le graphite impur est ensuite transporté dans l’usine de raffinage.

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Table des matières

Introduction
Première partie : ESPACES ET EXPLOITATION DE LA MINE DE GRAPHITE
Chapitre I : Andasibe, un milieu physique dominé par des forêts denses humides
I.1 Aperçu général de la zone d’étude
I.1.1 La délimitation géographique de la zone d’étude (Carte n°1)
I.1.2 La localisation des Etablissements du graphite.
I.2 Les conditions écologiques de la zone d’étude (Carte n°2)
I.2.1 Le graphite d’Andasibe dans l’histoire géologique de Madagascar
I.2.2 Le versant oriental : un potentiel considérable en matière de graphite (Figure n°1, croquis n°1) Croquis n°1 : Les axes du graphite Cote Est Malgache
I.2.3 Un relief à pente forte, propice à l’exploitation de carrières (Carte n04)
I.2.4 Un climat à forte pluviosité, condition idéale à l’exploitation du graphite malgache
I.2.5 Un réseau hydrographique dense
I.2.6 Sol et végétation dans la zone d’étude (Photo n°1)
I.27 La biodiversité dans la zone d’étude
Chapitre II : Les Etablissements de graphite, un des anciens attraits des flux des migrants
II.1 La population d’Andasibe et l’exploitation de graphite.
II.2 Occupation et répartition de la population (Carte n 0 5).
II.2.1 Naissance de deux Fokontany du graphite
II.2.2 Le déséquilibre de la répartition de la population et les types différents d’habitation
II.3 La vie rurale et sociale
II.3.1 Vers une société individualiste
II.3.2 Le pouvoir du « tangalamena », un pouvoir symbolique
II.3.3 Les institutions administratives
II.3.4 Les institutions religieuses
II.4 Des infrastructures de bases encore modestes et mal reparties
II.4.1 Les infrastructures de santé :
II.4.2 Les infrastructures de l’éducation
Chapitre III : Une activité économique fondée sur les potentialités des milieux naturels
III.1 Les activités économiques dictées par les ressources naturelles :
III.1.1 Mais la pratique du tavy prédomine :
III.1.2 La cueillette et la chasse :
III.1.3 Les activités industrielles : (Tableau n°3)
III.1.3.1 Les exploitations forestières
III.1.3.2 L’exploitation minière
III.1.5 Les activités liées au Parc Mantadia
III.2 Une vie rurale typique du Centre Est
III.2.1 La poursuite de la culture itinérante sur brûlis
III.2.2 La place de la forêt dans la culture et la vie spirituelle
Deuxième partie : L’EXPLOITATION MINIERE ET SES IMPACTS SPATIAUX
Chapitre IV : L’exploitation de graphite, au sein de l’espace forestier
IV.1 L’emprise spatiale forestière de l’usine et la zone minière (Carte n°7)
IV.2 Un aménagement spatial organisé et planifié
IV.2.1 L’implantation spatiale de différentes constructions et de divers équipements
IV.2.2 La mise en place des canaux et barrage
IV.2.2.1 La canalisation pour la circulation de la boue
IV.2.2.2 La canalisation pour l’approvisionnement en eau des mines et laveries (Photo n°2)
IV.2.2.3 La mise en place des infrastructures énergétiques
IV.2.2.4 L’articulation des pistes d’exploitation. (Photo n°3)
Chapitre V : Les facteurs d’implantation et les processus d’exploitation de graphite : (Photo n°4)
V.1 Des facteurs d’implantation compétitifs pour l’industrie minière
V.1.1 L’eau, une ressource utilisée abondamment
V.1.2 Les minerais :
V.1.3 Une bonne quantité de bois de chauffe :
V.1.4 La présence de voies de communication
V.2 Le processus d’exploitation du graphite : de l’extraction aux produits finis
V.2.1 Le graphite
V.2.2 Le processus d’extraction du minerai au site minier
V.2.2.1 Le décapage et l’extraction des minerais à Tsaravoniana
V.2.2.2 La production des débourbés et le transport vers l’usine (Photo n°5)
V.2.2.3 Le processus de raffinage des débourbés à l’usine de Falierana
V.2.2.4 La fragmentation mécanique
V.2.2.5 La trémie et le séchage de graphite
V.2.2.6 Les produits finis : le graphite en carbone 94
Chapitre VI : Les enjeux spatiaux de l’exploitation du graphite : un environnement menacé et des retombées économiques non négligeables.
VI.1 Les enjeux spatiaux, environnementaux et économiques.
VI.1.1 Le milieu physique perturbé, et modifié
VI.1.1.1 Le profil et structure des sol modifiés (Photo n°6)
VI.1.1.2 Les bassins versants endommagés par l’ensablement
VI.1.1.3 Des impacts écologiques irréversibles
VI.1.1.3.1 Une menace sur la flore
VI.1.1.3.2 La perturbation de la vie floristique
VI.1.1.4 La vie humaine est même en danger
VI.2 Cependant, l’extraction du graphite a une retombée économique considérable
VI.2.1 Les Etablissements du graphite, pourvoyeurs d’emplois
VI.2.2 Le dynamisme économique crée par l’exploitation de graphite
VI.2.3 Les activités annexes liées au graphite
VI.3 Le potentiel et production de graphite malgache
VI.3.1 La production de graphite
Source : Rasolofoharinoro et Auteur
VI.3.2 La transformation et la consommation du graphite
VI.3.2 Production et exportation : le graphite malgache, un échantillon sur le marché mondial
Troisième partie : EXPLOITATION DE GRAPHITE ET DEVELOPPEMENT REGIONAL
Chapitre VII. Les sociétés minières et le bien-être de la population locale.
VII.1 L’intégration de la population locale à l’activité minière
VII.1.1 Les établissements de graphite, pourvoyeurs d’emplois
VII.1.2 Le logement des employés. (Photo n°1)
VII.1.3 Les infrastructures de base de l’éducation.
VII.1.4 Les infrastructures de santé de base
VII.1.4.1. L’eau, une ressource essentielle à la vie.
VII.1.4.2 L’accès à des services de première ligne :
VII.2 Les ressources naturelles sont mises en valeur :
VII.2.1 La valorisation des ressources en eau, et la production d’électricité sur place
VII.2.2 La valorisation des richesses du sous-sol, le graphite
VII.2.3 La valorisation des ressources naturelles en amont de l’exploitation de graphite : le bois
Chapitre VIII. Les lois environnementales et les mesures d’atténuation des impacts négatifs
VIII.1La législation en vigueur en matière d’exploitation minière
VIII.1.1La Mise En Compatibilité de l’Investissement avec l’Environnement et l’exploitation de graphite
VIII.1.1.1 La Mise En Compatibilité de l’Investissement avec l’Environnement ou « MECIE »
VIII.1.1.2 La MECIE et l’exploitation de graphite
VIII.1.2 Le code minier et l’exploitation de graphite
VIII.2 Les mesures de correction à apporter à l’insertion environnementale
VIII.2.1 Le reboisement des surfaces décapées :
VIII.2.2 La récupération des terres de déblais issus de l’opération de décapage
VIII.2.3 La gestion de l’eau et des bassins versants d’Iofa et Sahanody
VIII.2.3.1 Le code de l’eau
VIII.2.3.2 Les mesures prises au niveau des bassins versants
VIII.2.4 La suggestion d’implantation de digue stérile d’un système de décantation des déchets stériles
VIII.2.4 La mise en place d’infrastructures et d’équipements adéquats pour la sécurité et la santé des travailleurs
Chapitre IX : L’insertion environnementale, au développement durable et intégré des Etablissements de graphite
IX.1 Les zones de conservation et les buts
IX.1.2 La réserve privée des Etablissements de graphite
IX.1.3 La conservation de l’écosystème (Photo n°15)
IX.2 Les Etablissements de graphite pour le développement de l’écotourisme local et régional
IX.2.1 La réserve privée des Etablissements Izouard : la valorisation de la biodiversité par l’écotourisme.
IX.2.2 L’hôtel Vakôna, un des fleurons des infrastructures touristiques de la région de Mangoro
IX.2.3 Une collaboration du Parc National d’Andasibe Mantadia et les Etablissements de graphite
X.2.3.1 Les Etablissements à la participation de protection du PNAM
IX.2.3.2 Les deux Etablissements au développement communal
IX.2.3.3 Ouverture à d’autres activités face à l’arrêt du tavy
IX.3 Les deux éléments pour la réduction de la pauvreté :
IX.3.1 Les Etablissements aux programmes d’amélioration de la santé
IX.3.2 Les Etablissements aux programmes d’amélioration de l’éducation
CONCLUSION
TABLE DE MATIERES
BIBLIOGRAPHIE

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