Morbidité et mortalité des affections signaléeset traitements effectués dans les élevages d’aulacodes 

Technique d’élevage de l’aulacode au Bénin

L’aulacode apprivoisé est élevé en captivité suivant un système au sol ou un système

hors-sol. Les reproducteurs sont regroupés en famille de quatre femelles et un mâle, les jeunes en bandes unisexuées ou bisexuéesquand les mâles sont castrés. Les autres adultes vivent en cage individuelle.
Le bâtiment d’élevage ou aulacoderie peut être construit en matériaux locaux (terre de barre, bois, paille, bambou,liane…) ou en matériaux modernes (ciment, tôle, grillage…). Toutes les formes géométriques sont acceptées : circulaire, parallélépipédique, polygonale…
Pour la forme parallélépipédique, la petite face doit être opposée aux vents dominants. Dans tous les cas une bonne ventilation doit être assurée.Le toît peut être en une ou double pente avec ou non de lanterneau.
Des cages servent à un élevage individuel, tandis que des enclos sont utilisés pour les groupes reproducteurs ou les aulacodes en bande. Un groupe reproducteur polygame a besoin de : 1,6 m 2 de surface et 0,64 à 0,80 m 3 de volume.
Dans le modèle vulgarisé actuellement, les cages individuelles et les enclos à double compartiment sont construits en mêmetemps que le bâtiment, en ciment .
Les équipements et matériels d’élevage sont constitués d’abreuvoirs et de mangeoires, de cage de contention, de cage de pesée et de cage de transport (MENSAH et EKUE, 2003).

Alimentation

Trois éléments sont à considérer : l’eau, les fourrages et les ingrédients alimentaires concentrés et compléments minéraux et vitaminés.

Eau

Il faut mettre chaque jour en permanence de l’eau propre à la disposition des aulacodes. L’eau doit être servie dans les abreuvoirs jusqu’à un niveau de 1,5 cm du bord (MENSAH et EKUE, 2003).

Fourrages verts

Il faut donner à l’aulacode chaque jour trois différentes sortes de fourrages verts de bonne qualité, ni trop jeune et ni trop vieux. Ces fourrages doivent être cueillis la veille entre 11 et 17 h dans des endroits propres, séchés pendant au moins 6 h au soleil, puis étalés et mis en stock dans l’aulacoderie à des endroits prévus à cet effet.
Plusieurs espèces peuvent être utilisées : des tiges de graminées sauvages (Panicum maximum, Andropogon gayanus, Paspalum vaginatum, Pennisetum purpureum, Cynodon dactylon,…) ou vivrières (maïs, mil, sorgho,…) ; les feuilles sèches de légumineuses (Leucaena leucocephala, Moringa oleifera,…) ; les feuilles et la moelle de palmier à huile, de cocotier, de bananier, de papayer,…(MENSAH et EKUE, 2003).

Situation actuelle de l’aulacodiculture au Bénin

Au Bénin, l’aulacodiculture se pratique essentiellement dans les départements du sud et du centre. On rencontre cependant quelques élevages dans le nord du pays. En 2000, seulement 2,67 % des aulacodiculteurs étaient recencés dans le nord du pays contre 97,33 % dans le sud et le centre (MENSAH et al, 2001). Le cheptel national était estimé en 2003 à 72000 aulacodes avec environ 2800 éleveurs (BENIN, 2003).
On dénombre en l’occurrence dans le département du Plateau des élevages atteignant plus de 2000 têtes d’aulacodes.
Une étude sur la typologie des aulacodiculteurs béninois (SODJINOU et al, 2003) a permis de les regrouper en cinq classes : la première est celle des gros aulacodiculteurs expérimentés, la classe 2 est celle des aulacodiculteurs moyens avec assez de personnes à charge, la classe 3 est celle des femmes avec un cheptel d’aulacodes de taille moyenne,la classe 4 est celle des aulacodiculteurs âgés avec un cheptel de petite taille et la classe 5 celle despetits aulacodiculteurs moins expérimentés.
Concernant les techniques d’élevage, on constate que les éleveurs ont pour la majorité, la maîtrise de la conduite des aulacodicultures. Il existe plusieurs associations d’éleveurs comme l’Association Béninoise des Eleveurs d’Aulacodes (A.B.E.A.), l’Association Sous-Préfectorale des Aulacodiculteurs d’Ifangni (A.S.P.A.IF.),…
L’assistance technique au développement de lafilière est assurée par un réseau d’enseignants et de chercheurs des écoleset lycée de formation agricoles, de la Faculté des Sciences Agronomiques (FSA) et l’Ecole Polytechnique (EPAC) de l’Université Abomey Calavi (UAC), de l’Institut National des Recherches Agricoles du Bénin (INRAB) et du Projet Promotion de la diffusion de l’Aulacodiculture en milieu rural en Afrique au sud du Sahara (PPAS). Diverses Organisations Non Gouvernemantales et programmes financent les éleveurs à savoir le PAGER, Bφrnefonden, le PISEA…
Les problèmes rencontrés par la filière sont surtout :
• d’ordre pathologique avec des cas demortalités subites jusque là non clairement élucidés ;
• d’ordre alimentaire avec la raréfaction des fourrages en saison sèche ;
• et enfin d’ordre économique avec un prixde vente élevé (2000 F CFA/kg poids vif) et une demande d’aulacodesd’élevage de consommation encore réduite, le gros la demande étant constitué de reproducteurs destinés à la création de nouveaux élevages.
Des études réalisées par KOKODE (2003) dans les départements de l’Atlantique et du Littoral au Sud Bénin et par GNANSOUNOU (2004) dans les départements du Couffo, Mono, Ouémé, Plateau et Zou au sud et au centre du Bénin sur les aspects socioéconomiques de l’aulacodiculture ont montré que c’est une activité assez rentable qui procure aux éleveurs près du tiers de leurs revenus. Toutefois le revenu généré par cette activité est encore légèrement inférieur au SMIG (Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti).

Pathologie de l’aulacode

Principales maladies et leurs traitements

Les observations faites depuis une vingtaine d’années tant dans les stations de recherche qu’en milieu réel et dans divers pays (Bénin, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire et Gabon) ont montré que les maladies rencontrées en aulacodiculture sont variées. Leur étiologie peut être parasitaire, microbienne, traumatique, carentielle,… (HEYMANS, 1996 ; MENSAH et EKUE,2003 ; FANTODJI et SORRO, 2004 ; HOUBEN, EDDERAI et NZEGO, 2004)
Les tableaux XV à XIX présentent les principales maladies, quelques méthodes de traitement et des mesures de prophylaxie.

Caractéristiques démographiques

La population du département selon le troisième Recencement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH) de février 2002 est de 730 772 habitants. On y compte 91,5 hommes pour 100 femmes contre 94,2 au niveau national. Avec une densité de 570 habitants au km2 , la population rurale de l’Ouémé s’élève à 458 413 habitants contre 272 359 pour le milieu urbain et est composée essentiellement de trois grands groupes ethniquesà savoir : les Fons etapparentés (78,5 %), les Yorubas et apparentés (10,2 %) et les Adjas et apparentés (7,5 %). D’un poids démographique de 10,8%, c’est le second département après l’Atlantique. La population active est de 297 230 personnes (BENIN, 2004a).

Activités économiques

L’agriculture est l’une des activités principales (15 % de la population), précédée par le commerce (45 %) à cause de la proximité avec des grandes agglomérations comme Cotonou et Lagos. Les principales cultures sont : le maïs, le manioc, l’arachide, le palmier à huile, les cultures maraîchères et le niébé. Les techniques culturelles se limitent aux méthodes traditionnelles de labours à la houe. Les transformations agro-alimentaires,les petits métiers, la pisciculture, le petit élevage, l’élevage de porcs et l’artisanat constituent les autres activités des populations de ce département. Le secteur industriel est quasi inexistant (BENIN, 2004a).
Pour ce qui est de l’aulacodiculture, le dernier recensement effectué en février 2004 a dénombré dans l’Ouémé 97 élevages et 2571 têtes d’aulacodes d’élevage.

Description et caractéristiques du département du Plateau

Présentation du département

Le département du Plateau est situé dans la partie méridionale du Bénin. Il comprend les communes de Kétou, Pobè, Adja-ouérè, Sakété et Ifangni. Il couvre une superficie de 3 264 km 2 , soit environ 3% de la superficie nationale. Il est limité au nord par le département des Collines, à l’est par la République Fédérale du Nigeria, à l’ouest par le département du Zou et au sud par le département de l’Ouémé (BENIN, 2004b).

Milieu naturel

Le département du Plateau est caractérisé par un climat de type soudano-guinéen à deux saisons de pluies avec une hauteur annuelle comprise entre 800 et 1200 mm dans sa partie ouest et entre 1000 et 1400 mm dans sa partie est.
Les sols sont de plusieurs types et constitués par les ferrugineux tropicaux, les terres de barre sur continental terminal profond et les sols très argileux profonds et humifères, fertiles mais souvent très difficiles à travailler.
Les formations végétales sont des savanes arborées ou arbustives à dominance Danida ovliveri dans la partie septentrionale alors qu’au centre on trouve la forêt dense semi-décidue. La zone méridionale est constituée par un fourré arbustif où dominent palmiers à huile etgraminées. On y trouve aussi quelques reliques forestières par endroits (BENIN, 2004b).

Caractéristiques démographiques

Le troisième RGPH de février 2002 a dénombré 407 116 habitants. On dénombre 90,3 hommes pour 100 femmes contre 94,2 au niveau national. Avec une densité de 125 habitants au km 2 , la population rurale du Plateau s’élève à 293 718 habitants contre 113 398 urbains. La population est composée essentiellement d’ethnies majoritaires comme les Yoruba et apparentés (67,7%) et les Fon (28,9%). D’un poids démographique de 6,01%, il vient avant les départements du Mono et de la Donga (BENIN, 2004b).

Activités économiques

Les activités économiques du Plateau sont multiples et variées. Les plus importantes sont l’agriculture (50 %) etle commerce (30 %). La production végétale est constituée de cultures vivrières (maïs, niébé, manioc, arachide), de cultures pérennes (palmiers à huile, agrumes, essences forestières) de culture de rente (coton) et de cultures maraîchères (tomate, piment). On y rencontre aussi des productions animales comme l’embouche de petits ruminants,l’aviculture et l’élevage bovin et des structures artisanales et améliorées de transformation de produits agricoles (BENIN, 2004b).
L’aulacodiculture d’après le dernier recensement des aulacodiculteurs de février 2004, est pratiquée dans le Plateau par 104 éleveurs ayant en tout 13 175 têtes d’aulacodes d’élevage.

Matériel et méthodes

Matériel et méthodes de collecte des données sur le terrain

Dans une phase préliminaire nous avons par la documentation :
• recensé les aulacodiculteurs des départements de l’Ouémé et du Plateau ;
• défini les paramètres d’étude ;
• identifié les principales maladies rencontrées en aulacodiculture ;
• et élaboré le questionnaire d’enquête.
Ensuite, nous avons procédé à des visites de quelques aulacodiculteurs pour mener des entretiens en vue de corriger le questionnaireet évaluer les éventuelles difficultés de terrain.
La phase de l’enquête formelle a consisté à recueillir des informations chez les aulacodiculteurs sur la base du questionnaire d’enquête (cf. Annexe 2). Elle a duré de fin octobre à début décembre 2004.

Echantillonnage des élevages

En nous référant aux fiches de résultats du recensement des aulacodiculteurs de février 2004 (201 au total à raison de 97 dans le département de l’Ouémé et 104 dans
celui du Plateau), nous avons tiré au hasard un échantillon de 20 % en prenant soin d’avoir au moins un éleveur par commune (11 au total) où sont installés des aulacodicultures fonctionnelles. Ainsi, nous avons finalement parcouru 46 élevages d’aulacodes, soit au total 21 dans le département de l’Ouémé et25 dans celui du Plateau qui sont répartis par commune comme suit :
• Ifangni, 11 élevages ;
• Adja-Ouèrè, 6 élevages ;
• Bonou, 1 élevage ;
• Adjohoun, 1 élevage ;
• Apkro-Missérété, 5 élevages ;
• Porto-Novo, 3 élevages ;
• Kétou, 3 élevages ;
• Pobè, 2 élevages ;
• Avrankou, 5 élevages ;
• Sakété, 3 élevages;
• Sèmè-Podji, 6 élevages.

Questionnaire d’enquête

Le questionnaire d’enquête (cf. Annexe 2) comprend cinq (5) grandes parties ayant permis de recueillir des informations respectivement sur la localisation des élevages, l’aulacodiculteur, les performances zootechniques, l’état sanitaire et l’hygiène dans l’élevage.

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Table des matières
DEDICACE 
REMERCIEMENTS 
A NOS MAITRES ET JUGES 
TABLE DES MATIERES 
RESUME 
Introduction 
Première Partie : Synthèse bibliographique sur l’élevage et l’aulacodiculture au Bénin
Chapitre 1 : Elevage au Bénin 
1.1 Présentation générale du Bénin
1.1.1 Situation géographique
1.1.2 Superficie etrelief
1.1.3 Climat, sol etvégétation
1.1.4 Réseau hydrographique
1.1.5 Organisation administrative
1.1.6 Démographie et économie
1.2 Importance de l’élevage au Bénin
1.2.1 Estimation ducheptel
1.2.2 Importance économique et sociale
Chapitre 2 : Généralités sur l’aulacode et son élevage au Bénin
2.1 Historique de l’aulacodiculture au Bénin
2.2 Présentation du Grand Aulacode
2.2.1 Taxonomie et répartition géographique
2.2.2 Morphologie
2.2.3 Biologie
2.2.3.1 Eco-éthologie
2.2.3.2 Comportement sexuel
2.2.3.2.1 Période de repos ou anoestrus
2.2.3.2.2 Période d’activité sexuelle
2.2.3.3 Valeurs biologiques
2.3 Technique d’élevage de l’aulacode au Bénin
2.3.1 Infrastructures et équipements d’élevage
2.3.2 Alimentation
2.3.2.1 Eau
2.3.2.2 Fourrages verts
2.3.2.3 Ingrédients alimentaires concentrés et compléments minéraux et vitaminés
2.3.3 Gestion de la reproduction
2.3.3.1 Mode d’élevage
2.3.3.2 Test de gestation
2.3.3.3 Mise bas, allaitement etsevrage des aulacodeaux
2.3.4 Conduite de l’élevage
2.3.4.1 Sexage
2.3.4.2 Calendrier des opérations journalières et périodiques en aulacodiculture
2.3.4.2.1 Activités journalières
2.3.4.2.2 Activités périodiques
2.3.4.2.3 Evénements importants à noter en aulacodiculture
2.4 Situation actuelle de l’aulacodiculture au Bénin
Chapitre 3 : Performances de production et étatsanitaire des élevages d’aulacodes en Afrique
3.1 Performances zootechniques
3.2 Evolution démographique du cheptel
3.3 Pathologie de l’aulacode
3.3.1 Principales maladies et leurs traitements
3.3.2 Signes à rechercher lors d’un examen clinique
Deuxième Partie : Evaluation des performances de production et de l’état sanitaire des élevages d’aulacodes installés dans les départements de l’Ouémé et du Plateau au Sud-Est du Bénin
Chapitre 1 : Milieu d’étude,matériel et méthodes 
1.1 Milieu d’étude
1.1.1 Description et caractéristiquesdu département de l’Ouémé
1.1.1.1 Présentation du département
1.1.1.2 Milieu naturel
1.1.1.3 Caractéristiquesdémographiques
1.1.1.4 Activités économiques
1.1.2 Description et caractéristiquesdu département du Plateau
1.1.2.1 Présentation du département
1.1.2.2 Milieu naturel
1.1.2.3 Caractéristiques démographiques
1.1.2.4 Activités économiques
1.2 Matériel et méthodes
1.2.1 Matériel et méthodes de collecte des données sur le terrain
1.2.1.1 Echantillonnage desélevages
1.2.1.2 Questionnaire d’enquête
1.2.2 Matériel et méthodes de prélèvement et d’exploration clinique sur le terrain
1.2.2.1 Matériel de prélèvement et d’exploration clinique
1.2.2.2 Méthodes de prélèvement et d’exploration clinique
1.2.3 Matériel et méthodes de diagnostic expérimental desmaladies
1.2.3.1 Matériel de diagnostic expérimental
1.2.3.2 Méthode d’autopsie desaulacodes morts
1.2.3.3 Méthode de diagnostic des parasitoses digestives
1.2.3.4 Méthode de diagnostic des affections bactériennes
1.2.4 Méthodes de traitement des données
1.2.4.1 Traitement des données liées aux caractéristiques des aulacodiculteurs
1.2.4.2 Traitement des données zootechniques pourvérification de l’hypothèse H1
1.2.4.3 Traitement des données sur l’état sanitaire pour vérification de l’hypothèse H2
1.2.4.4 Vérification de l’hypothèse H3
Chapitre 2 : Résultats
2.1 Caractéristiques des éleveurs et des élevages
2.2 Performances de production des élevages
2.2.1 Evolution du cheptel
2.2.2 Paramètres de reproduction
2.2.3 Types et modes de distribution des aliments utilisés
2.3 Etat sanitaire des élevages d’aulacodes
2.3.1 Principales maladies rencontréesdans les aulacodicultures
2.3.1.1 Symptômes observés, résultats des examens coprologiques etdes autopsies
2.3.1.2 Diagnostic des principales affections rencontrées chez l’aulacode d’élevage
2.3.1.3 Morbidité et mortalité des affections signaléeset traitements effectués dans les élevages d’aulacodes
2.3.2 Niveau de respect de quelques règles d’hygiène recommandées en aulacodiculture dans les élevages visités
2.4 Relation Caractéristiques socioprofessionnelles des éleveurs – Performances de production des élevages – Etat sanitaire des élevages d’aulacodes
Chapitre 3 : Discussion et suggestions 
3.1 Discussion
3.1.1 Choix du lieu et de lapériode d’étude
3.1.2 Discussion du matérielet des méthodes
3.1.2.1 Matériel et méthodes de terrain
3.1.2.2 Matériel et méthodesde laboratoire
3.1.3 Discussion des résultats
3.1.3.1 Caractéristiques socioprofessionnelles des éleveurs d’aulacodes
3.1.3.2 Evaluation des performances de production et vérification de l’hypothèse H1
3.1.3.2.1 Mouvement du cheptel
3.1.3.2.2 Paramètres de reproduction
3.1.3.2.3 Types et modes de distribution des aliments utilisés dans les aulacodicultures
3.1.3.2.4 Vérification de l’hypothèse H1
3.1.3.3 Evaluation de l’état sanitaire des élevages d’aulacodes et vérification de l’hypothèse H2
3.1.3.3.1 Principales pathologies rencontrées dans les élevages d’aulacodes et leurs traitements
3.1.3.3.2 Respect des règles d’hygiène
3.1.3.3.3 Vérification de l’hypothèse H2
3.1.3.4 Relation Caractéristiques socioprofessionnelles des éleveurs – Performances de production des élevages – Etat sanitaire des élevages et vérification de l’hypothèseH3
3.2 Suggestions
3.2.1 Suggestions en direction des structures de l’Etat (PPAS, PEEANC,…)
3.2.2 Suggestions aux aulacodiculteurs et associations d’aulacodiculteurs
3.2.3 Perspectives de recherche
Conclusion 
Bibliographie 

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