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Huiles de noix
Dans ce groupe deux catégories d’huiles sont le plus souvent utilisées.
Huile de coco
C’est une des principales huiles indispensables pour faire un savon à froid, car elle produit une belle mousse abondante et un savon blanc très dure. L’huile est solide à température ambiante. Il existe différentes huiles de coco avec plusieurs températures de fusion qui permettent toutes d’obtenir de la mousse.
L’huile de coco la plus utilisée est celle de 76°C. Elle est souvent combinée avec d’autres avec des proportions pouvant aller jusqu’à 30% dans la composition du savon [8].
Huile palmiste
C’est une huile répandue dans l’industrie du savon, obtenu à partir du noyau de la noix du palmier et non de la pulpe. Elle contient une proportion importante d’acide laurique, elle se saponifie plus facilement avec des lessives fortes et est plus apte au procédé froid. Sa caractéristique spécifique est qu’elle produit facilement une mousse. Du fait de ses effets rudes sur la peau, elle est souvent mélangée à d’autres huiles mais à des quantités limitées. Sa proportion maximale dans la composition d’un savon est de 15% [8].
Graisses dures
Pour la savonnerie, les plus intéressant pour la savonnerie dans ce groupe sont l’huile de palme et les graisses animales (le suif du bœuf, mouton et le saindoux des porcs). Elles renferment des quantités importantes d’acides palmitiques et stéariques, elles constituent des agents protecteurs de mousse ce qui fait que leurs mousses sont plus stables et se forme plus lentement que celle des huiles de noix.
La saponification de ces graisses demande des solutions de lessives moins fortes au début du processus, qui peuvent augmenter au fur à mesure [8].
Huiles douces
Ce sont les plus utilisées en savonnerie, elles renferment des quantités appréciables d’acides non saturées comme les acides oléiques, et acide linoléique etc. Pour la fabrication de savons durs elles sont mélangées avec les huiles de noix. Ces savons moussent facilement, et possèdent de bonne qualités détersives et sont facilement solubles dans l’eau.
Huile de soja (Glycine max)
Elle produit un savon avec une mousse crémeuse qui protège la peau. Elle est adaptée à tous types de peau notamment les peaux acnéiques. Riche en vitamine E, elle permet de régénérer les couches superficielles de la peau et d’être facilement absorbée par la peau. En revanche c’est une huile qui rancit facilement et son taux maximum dans la composition d’un savon est de 20% [8].
Huile arachide (Arachis hypogaea) :
Elle présente des propriétés assouplissantes et nourrissantes pour la peau. C’est une huile de base bon marché, elle contient 52% d’acide linoléique et produit peu de mousse dans le savon. Il est nécessaire de limiter sa quantité pour éviter de ramollir le savon [8 ;9]. Le tableau I représente la composition en acides gras des huiles de coco, de palmiste, de soja et d’arachide.
Beurre de cacao (Theobroma cacao)
Il provient des grains de cacao qui sont des composants du chocolat. Dans sa forme solide, il est dur et fragile. On peut l’obtenir naturel ou raffiné. Contrairement au beurre de cacao raffiné moins odorant, le beurre de cacao naturel dégage une odeur de chocolat chaud. A l’instar du beurre de karité, le beurre de cacao possède des qualités hydratantes et nourrissantes. Il crée une pellicule protectrice sur la peau qui prolonge l’effet hydratant. Sa composition maximum dans un savon est de 15%, au delà le savon peut devenir cassant [8].
Beurre de mangue
Il est obtenu à partir des graines de la mangue. C’est un corps gras qui donne des propriétés d’hydratation et une bonne protection au savon en revanche, il produit peu de mousse, avec un pourcentage jusqu’à 15% dans la composition du savon [8].
Alcalis
Les alcalis ou lessives représentent la deuxième matière première la plus importante en savonnerie. Dans la plupart des cas les alcalis sont importés (hydroxyde de sodium et hydroxyde de potassium), cependant à partir de cendres de bois on peut obtenir l’hydroxyde de potassium
Hydroxyde de sodium (soude caustique)
La soude caustique (NaOH) est la lessive la plus employée. Les savons qui sont obtenus par une réaction de soude caustique sur un corps gras sont des savons durs. La soude caustique est généralement facile à trouver, on l’achète auprès des représentants des firmes internationales commercialisant des produits chimiques, des usines (savonneries, tanneries, etc.) ou certains commerçants au marché.
La soude caustique est sous forme de blocs solides, de paillettes, de poudres et de liquide. Si l’approvisionnement de la soude pose problème, une production locale est à envisager. Dans l’industrie, la soude caustique est obtenue par électrolyse du chlorure de sodium (NaCl) mais ce procédé n’est pas à la portée des petites entreprises, pour la plupart des pays Africain on se tourne vers l’importation. Pour dissoudre la soude dans l’eau, il faut veiller à ce qu’on mette toujours l’hydroxy de soudium dans l’eau et non le contraire. Il est indispensable de porter des gants et des lunettes et si possible un masque au moment de la préparation de la solution. L’hydroxyde de sodium et l’hydroxyde de potassium se comportent de la même manière donc il faudra observer les mêmes règles lors de la manipulation [11].
Hydroxyde de potassium (potasse caustique)
L’hydroxyde de potassium (KOH) ou la potasse caustique est également un alcali qui, en réaction avec des corps gras, donne un savon mou qui est plus soluble dans l’eau que les savons durs de soude. Cette lessive est surtout utilisée dans la fabrication des savons liquides et des shampooings. Le potassium est un élément très répandu dans la nature. Les arbres et les plantes ont la propriété d’assimiler du sol, le potassium en assez grande quantité. Les cendres des plantes contiennent le potassium qui peut être lessivé avec de l’eau bouillante.
Le produit obtenu par lessivage est le carbonate de potassium, une lessive faible qui peut être transformée en lessive forte notamment l’hydroxyde de sodium. Cette réaction se fait de nouveau en utilisant de la chaux éteinte [9].
Autres ingrédients
Agents moussants
Ce sont des agents tensio-actifs qui ont comme fonction de modifier la tension qui existe à la surface entre deux surfaces, en stabilisant les films minces entre les bulles d’air et l’eau pour réussir à former une mousse pour un savon.
Ce promoteur de mousse améliore fortement la détergence des savons ainsi dopés grâce à des propriétés nettoyantes remarquables.
Vitamine E ou tocophérol
D’origine végétal ou synthétique, les savons qui en contiennent offrent des propriétés antioxydantes c’est à dire protégé les huiles et beurres du rancissement, elle entretient la peau en réduisant notamment les dommages cellulaires liés à l’exposition aux UV(ultraviolet), aidant aussi à maintenir l’élasticité et l’hydratation de la peau en renforçant le film hydrolipidique cutané. Ce qui fait qu’elle n’est soumise à aucune restriction ou à des conditions d’emploi [12].
Agents émulsifiants
Ils favorisent la formation de mélange intimes entre des liquides non miscibles en modifiant la tension inter faciale (eau, huile), donc essentielle pour avoir un savon homogène lors du processus de fabrication par saponification ou lors d’un mélange de substances non miscible comme celles retrouvées dans les gels de douche.
Exemple : sodium palm kernelate, palm kernel Acid.
Agents de chélation ou stabilisateurs
Ils sont présents dans le savon comme stabilisant, jouant aussi le rôle de conservateur, il permet d’éviter tout changement de couleur, de senteur ou texture. Que ce soit dans le savon brut ou dans le savon liquide. Ils offrent l’avantage pour les savonniers de garantir un savon qui ne bouge pas, cependant dans un savon ces stabilisateurs doivent respecter un certain pourcentage afin qu’il ne soit pas nocif pour la peau. Il reste néanmoins un agent irritant aux conséquences incertaines sur le long terme [13].
Exemple : Tetrasodium etidronate, Tetrasodium EDTA (Acide Ethylène Diamine Tétra-acétique), acide citrique utilisé aussi comme régulateur de pH et agent masque. L’hydroxyde de sodium est utilisé aussi à ce même effet.
Agents olfactifs
Parfumer n’est pas indispensable mais est intéressante au cas où on utilise un corps gras qui donne une odeur désagréable au savon. On peut utiliser des parfums synthétiques ou des huiles essentielles. Ces dernières permettent de parfumer naturellement le savon, cependant elles peuvent perdre parfois leurs senteurs une fois soumises à la soude, ainsi on conseille de les utiliser que pour leur parfum. Les parfums sont ajoutés à la fin de la préparation à faible température car ils se volatilisent à températures élevées. Les fragrances sont spécialement conçues pour la savonnerie [14 ;15].
Agents hydratants
Notamment la glycérine qui est un composé des systèmes humectant naturels de la peau. En cosmétique, elle lie fortement l’hydratation protège et régénère les fonctions de barrière naturelle de la peau, elle augmente ainsi de manière efficace l’élasticité de la peau.
Exemple : huile paraffine, utilisé aussi comme agent émollient, antistatique et protège la peau.
Eau
L’eau est le milieu dans lequel se fait la réaction entre le corps gras et la lessive. La saponification nécessite de l’eau douce parce que l’eau dure contient des ions de calcium et de magnésium qui vont réagir avec le savon et qui l’empêcheront d’agir comme agent détergent. Pour adoucir l’eau il suffit d’y ajouter une petite quantité de lessive concentrée, de bien mélanger et laisser reposer le mélange pendant 1 à 2 jours. Les ions formeront des particules insolubles dans l’eau qui peuvent être filtrées et ainsi éliminées [16].
Colorants
L’esthétique est elle aussi importante, mais n’est pas indispensable, certains producteurs font le choix de ne pas ajouter de colorants (chimiques) dans l’objectif de présenter un savon naturel, d’autres font le choix opposé et ajoutent un colorant pour améliorer la commercialisation de leur produit. En effet la couleur du savon est le premier contact visuel qui attire le consommateur. Il existe des colorants solubles dans l’huile et dans l’eau [17].
Certains savonniers font l’extraction des colorants naturels de certaines plantes (p.ex. feuilles de niébé, sorgho rouge). Mais aussi ils disposent de différents types de colorants synthétiques.
Agents sur-graissant
Pendant la réaction de saponification le corps gras et la soude sont détruits (les molécules sont réorganisées) pour former 2 nouveaux composés : le savon et la glycérine. La réaction chimique se poursuit jusqu’à épuisement de l’un ou l’autre des ingrédients. C’est-à-dire que lorsqu’un des ingrédients a été totalement saponifié, qu’on ne trouve plus de ces molécules dans le mélange, alors la saponification s’arrête.
Si l’huile est épuisée en premier, il reste de la soude, ce qui donne un savon caustique, si la soude est épuisée en premier, il reste de l’huile ce qui donne un savon sur-gras. Dans le cas où les ingrédients ont été bien dosés de telle sorte que la quantité de soude puisse saponifier toute la matière grasse pour avoir un savon sur-gras on ajoute du gras préalablement calculé par rapport à la quantité du corps gras présent initialement en général 5 à 10% de la quantité de corps gras de départ. Ce surplus de matière grasse confère au savon des propriétés émollientes et hydratantes. De par ses propriétés détergentes le savon va dissoudre la graisse constituant le film constituant le film hydrolipidique recouvrant la peau et l’entraine avec les impuretés qu’elle contient. Ce film protecteur de surface lui permettant de maintenir son hydratation et la protégeant des agressions extérieures.
La présence de matières grasses non saponifiées ainsi que la glycérine naturellement formée lors du processus permettent de limiter le dessèchement et faciliteront la reconstitution du film hydrolipidique [18].
METHODE DE FABRICATION ET CLASSIFICATION DES SAVONS
Méthodes de fabrication des savons
Un savon est le produit d’une réaction chimique entre un corps gras, une base forte (ou alcaline) dans de l’eau. Cette réaction chimique appelée saponification, produit des sels de potassium d’acide gras (c’est ce que nous appelons savon, soit un produit lavant), et de la glycérine qui est une substance hydratante pour la peau. Ce mode de fabrication peut se faire de deux manières différentes [19].
Saponification à froid
La méthode de saponification à froid consiste à mélanger des matières grasses et de la soude pendant environ 20 minutes, sans les chauffer. Il faut savoir que dans ce mélange, au contraire de la saponification à chaud, on ajoute de l’huile en excès pour être sûr que toute la soude réagisse et que la saponification soit totale. La vitamine E (tocophérol) peut être incorporée au mélange en raison de sa propriété antioxydante, agissant comme un bouclier protecteur qui ralentit le vieillissement et l’oxydation des huiles végétales présentes dans le savon.
Le mélange est ensuite coulé dans un moule et laissé au repos pendant 24h -48h. C’est ce qu’on appelle la phase de “gel”. Le savon va naturellement produire de la chaleur et ainsi la première phase de saponification pourra s’opérer. Ce délai passé, le savon va être démoulé, découpé, tamponné et mis à sécher pendant un mois. Durant cette phase de séchage, aussi appelée “la cure”, l’eau s’évapore, et le processus de saponification s’opère complètement. On s’assure ainsi qu’il ne reste plus de soude dans le savon et donc qu’il n’est pas corrosif et prêt à l’emploi. La saponification à froid reste donc une méthode de production de savon difficilement industrialisable à cause entre autres de la période de “cure” qui demande des aménagements d’espaces et d’organisation conséquents.
S’ajoute à cela une durée de vie des produits plus limitée dans le temps, et l’exigence donnée à la qualité des matières premières qui n’est pas forcément compatible avec la problématique de profitabilité maximum de l’industrie cosmétique [20].
Les savons saponifiés à froid offrent comme avantage de contenir naturellement de la glycérine produite lors de la saponification. Ils permettent une meilleure hydratation de la peau, et donc de préserver celle-ci. Les savons saponifiés à froid sont tout particulièrement conseillés pour les peaux sèches et sensibles mais conviennent aussi à tous les types de peau.
Autre avantage, le mélange entre les corps gras et la soude n’étant pas chauffé, les vertus des huiles de sur-graissage sont préservées et gardent leurs propriétés émollientes, adoucissantes, protectrices, et nourrissantes. La méthode de saponification à froid permet de préserver au maximum l’intégralité des ingrédients.
C’est pour cette raison qu’il est d’autant plus intéressant de sélectionner des matières premières de qualité, naturelles, au maximum biologiques et d’éviter tout pesticide ou perturbateur endocrinien [21].
Saponification à chaud
Dans l’industrie du savon, lorsqu’on fabrique des savons en grande quantité, c’est la saponification à chaud qui est utilisée. Pour avoir le produit final les corps gras passent par plusieurs étapes, comme son nom l’indique, ce procédé nécessite une source de chaleur extérieure. Pour cette technique, la première étape est l’empattage. Elle consiste à mélanger l’alcali aux corps gras. Pour ce faire, il faut mettre dans une chaudière l’alcali pour la porter à l’ébullition et puis verser les matières grasses. Pour que la masse savonneuse se forme, il faut bien faire attention à la qualité des ingrédients. Pour compléter la saponification, il faut retirer l’alcali utilisé à la première phase pour le remplacer par un alcali plus fort. C’est la seconde étape de la saponification qu’on appelle l’opération de relargage. On l’arrête jusqu’à ce que la pâte à savon s’ouvre.
La troisième étape de la fabrication du savon est la cuisson de la pâte savonneuse. A ce stade, on s’assure que l’intégrité des matières grasses soit saponifiée. La préparation va commencer à durcir et il faut la retirer du feu lorsqu’elle est suffisamment cuite. La phase finale est variable en fonction du type de savon qu’on veut avoir. Pour le savon blanc de Marseille, par exemple, on fait passer la pâte à savon par la liquidation qui va terminer la cuisson. La saponification à chaud est la technique utilisée pour avoir le savon de Marseille, les bondillons de Marseille et le savon d’Alep traditionnel [22].
Classification des savons
Les savons se présentent sous formes de bloc (pain, cube, forme ovalisées…), de poudre, de paillètes fines (lessives), de mousses, de gel ou de solution, comme le savon liquide. Généralement, on les distingue selon leur provenance géographique, l’origine ou la couleur ; selon l’usage ; selon l’aspect ou la composition. L’art savonnier se distingue plus ou moins différemment.
Selon la provenance géographique
Savon de Marseille
Préparé avec de l’huile d’olive et de la soude, une teneur de 72% en masse d’acide gras était garantie dans le savon de Marseille traditionnel, uniquement préparé à partir d’huile d’olive. En 1688, Colbert a passé un édit limitant l’utilisation du nom « savon de Marseille » uniquement aux savon fabriqués à l’huile d’olive dans la région de Marseille. Actuellement le terme « savon de Marseille » n’est nullement une appellation d’origine contrôlée, il correspond seulement à un procédé de fabrication qui est approuvée unilatéralement par l’Association française des industries de la détergence, de l’entretient et des produits d’hygiène industrielle (AFISE). Ce code définit la méthode de fabrication, basée sur les quatre étapes historiques que sont l’empattage/cuisson, le relargage de la glycérine, le lavage et la liquidation, afin d’assurer l’obtention d’une phase cristalline lisse à 63% d’acide gras au minimum.
Ce savon reste reconnaissable par sa couleur, par sa forme mais aussi par les empreintes portées sur les faces [23]. Ce savon est illustré par la figure 3.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
I.AGENTS NETTOYANTS
I.1. Mécanisme d’action des agents nettoyant
I.2. Tensioactifs
I.3 Règlementation des agents nettoyants
II.PRINCIPAUX INGREDIENTS UTILISEES DANS LA FABRICATION DES SAVONS
II.1. Ingrédients de base
II.1.1. Corps gras
II.1.2. Beurres végétaux
II.2. Alcalis
II.2.1 Hydroxyde de sodium (soude caustique)
II.2.2 Hydroxyde de potassium (potasse caustique)
II.3 Autres ingrédients
II.3.1. Agents moussants
II.3.2 Vitamine E ou tocophérol
II.3.3 Agents émulsifiants
II.3.4 Agents de chélation ou stabilisateurs
II.3.5 Agents olfactifs
II.3.6 Agents hydratants
II.3.7. Eau
II.3.8. Colorants
II.3.9. Agents sur-graissant
III.METHODE DE FABRICATION ET CLASSIFICATION DES SAVONS
III.1. Méthodes de fabrication des savons
III.1.1. Saponification à froid
III.1.2. Saponification à chaud
III.2. Classification des savons
III 2.1. Selon la provenance géographique
III.2.2 Selon l’usage
III.2.3. Selon l’aspect ou la composition
III.3. Gammes en cosmétologie
III.3.1 Gammes de soins ou gamme « problème/solution »
III.3.2 Gammes plaisirs
IV.PRINCIPAUX FOURNISSEURS DE SAVON EN OFFICINE AU SENEGAL
IV.1 Grossistes fournisseurs
IV.2 LABOREX
IV.3 COPHASE ou UBIPHARM Sénégal
IV.4 SODIPHARM
IV.5. DUOPHARM
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
I. Objectifs
I.1 Objectif général
I.2 Objectifs spécifiques
II. Méthodologie
III. Résultats
III.1 Formes galéniques des savons
III.2 Matières grasses utilisées
III.3 Types d’ingrédients
III.4 Types d’allégations
III.5 Volumes des savons liquides et gels de douche
III.6 Poids des savons solides
III.7 Types d’emballages
III.8 Prix
III.9 Catégorisation des savons
IV. Discussion
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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