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Mécanisme de la croissance du poulet de chair
Croissance musculaire
Selon Fauconneau (1996), les rendements en chair musculaire et leur qualité sont étroitement liés au développement musculaire. Les caractéristiques quantitatives et qualitatives des muscles se mettent en place essentiellement dans les phases embryonnaire et néonatale du développement musculaire.
Les muscles striés squelettiques constituent la chair musculaire ; à la différence des muscles lisses, leur contraction est placée sous la dépendance de la volonté. Ils sont constitués de cellules longues, multi nucléées et présentant une double striation : ce sont les myocytes ou fibres musculaires striées squelettiques. Ce même auteur, parlant de la myogenèse embryonnaire des muscles striés squelettiques, affirme que la plupart des muscles squelettiques dérivent du mésoderme somitique. Selon Oden (1982), les somites apparaissent chez les oiseaux dés la 20e heure d’incubation.
La croissance du tissu musculaire fait intervenir une population cellulaire particulière et variée, à contraction lente ou rapide selon la classification de Ashomore et Doerr (1971) les oiseaux possèdent trois principaux types de ces cellules qui sont :
¾ Les fibres ßr lentes oxydatives
¾ Les fibres αr rapides oxydo-glycolytiques
¾ Les fibres αw rapides glycolytiques
Notons également les cellules satellites découvertes par Mauro (1961) habituellement enfermées dans un espace limité par la membrane basale et le sarcolemme de la fibre musculaire et qui jouent un rôle important pendant la phase post-natale,dans la croissance musculaire et sa régénération.
Pendant la croissance post-natale du muscle strié squelettique, les cellules satellites restent mitotiquement quiescentes dans le muscle adulte.Par contre, dans le muscle en croissance, les cellules satellites sont mitotiquement actives donc capables de dupliquer l’ADN et de se diviser May et Lott (1992).Selon toujours le même auteur de cette activité mitotique les cellules satellites auront deux destinées :
–les unes fournissent tous les noyaux ajoutés, s’incorporent à la fibre musculaire et contribuent ainsi à la synthèse des protéines qui participent à la croissance musculaire post-natale, les fibres vont ensuite croître par hypertrophie en longueur et en section ;
–les autres capables de proliférer, de fusionner pour former les myotubes et de se différencier en fibres musculaires Antonio et Gonyea (1993).
Croissance osseuse
Les os sont des éléments essentiels du squelette. Leur développement débute chez le fœtus, pour se poursuivre durant toute la croissance de l’animal jusqu’à la période de la puberté. Ce développement se produit soit à partir d’un modèle conjonctif, soit d’un modèle cartilagineux et se fait en longueur et en épaisseur.
Ainsi, nous aborderons successivement d’une ossification de membrane ou endoconjonctive et d’une ossification cartilagineuse ou enchondrale.
Ossification de membrane ou endoconjonctive : Enede (2005).
Ce processus est caractéristique des os du crâne. Dans ce modèle il y a la constitution d’une couche de membrane puis l’apparition d’un centre d’ossification. La zone membrane qui va s’ossifier est richement vascularisée et les cellules mésenchymateuses qui s’y trouvent sont en contact les uns avec les autres, grâce à leurs prolongements.Elles se mettent à déposer sur les fibres de collagène déjà présents, de la substance fondamentale pré -osseux. (On les considère alors comme des ostéoblastes) Ensuite, la matrice se calcifie, de sorte que les os se construisent autour des fibres de collagène originelles. A ce stade les ostéoblastes deviennent des ostéocytes, reliés, les uns aux autres par leurs prolongements qui sont inclus dans les ostéoblastes.
Les premiers phénomènes d’ossification commencent donc par la formation de plaque osseuses qui donneront naissance à un tissu transitoire, spongieux non lamellaire c’est-à-dire primaire. Ces plaques s’entourent rapidement d’ostéoblastes dont la différenciation successive, permet un accroissement appositionnel du tissu osseux qui remplace progressivement le modèle conjonctif. Le tissu conjonctif présent dans les cavités se transforme en moelle osseuse hématopoïétique (moelle rouge).
Le périoste qui entoure l’ébauche osseuse, se transforme rapidement en tissu osseux d’ou dérivent les plaques périphériques de tissu osseux compact, c’est l’endosse : on parle d’ossification périosté.
Ossification Endochondrale
C’est un processus par lequel se développent les os courts et les os longs. A partir de l’ébauche mésenchymateuse, apparaît chez l’embryon un modèle cartilagineux qui présente approximativement la morphologie de l’os futur. Il est constitué de cartilage hyalin avasculaire. Ce dernier se transforme par la suite et de façon progressive en tissu osseux fibreux ou non lamellaire, qui sera à son tour, transformé en tissu osseux adulte ou lamellaire May et Lott (1992).
La première étape consiste en l’apparition d’un foyer au cœur du cartilage. Les chondrocytes de cette zone se multiplient et forment des groupes iso- géniques axiaux orientés dans la direction vers laquelle se fera l’ossification. Le cartilage ainsi produit est appelé, cartilage sérié. Les chondrocytes enfermés dans les chondroplastes du cartilage sérié se gonflent et dégénèrent, constituant ainsi un cartilage hypertrophié.
Ensuite, les chondroplastes vides se constituent en un réseau de cavités séparées les unes des autres par de minces travées, elles mêmes constituées par de la matrice cartilagineuse calcifiée. Les cavités sont bientôt envahies par des vaisseaux sanguins et des cellules mésenchymateuses dont certaines se différencient en ostéoblastes qui s’alignent le long de la travée pour sécréter les éléments de la matrice osseuse nécessaire à l’épaississement des cloisons. Le tissu osseux ainsi produit est non lamellaire, fibreux et spongieux et sera remplacé par un tissu osseux lamellaire compact au cours de l’ossification secondaire.
La croissance en épaisseur résulte de l’activité du périoste par apposition de nouvelles lamelles circonférentielles et par la formation d’ostéones sous-périostés.
La croissance en longueur, s’effectue par la prolifération de la plaque de croissance située entre l’épiphyse et la métaphyse. Ce phénomène s’arrête à la puberté Windle (1974).
Certains facteurs comme les facteurs hormonaux et métaboliques influent profondément sur la croissance et le remaniement de l’os. Leur déficience se traduit, par des anomalies de croissance Senghor (1996).
Régulation de la croissance
La croissance chez le poulet de chair est contrôlée comme chez les autres mammifères par les facteurs hormonaux et métaboliques.
Facteurs intrinsèques
Les facteurs intrinsèques sont les facteurs qui sont propres à l’animal à savoir l’âge, le sexe, et la race qui sont en corrélation avec le génotype.
La vitesse de croissance du poulet de chair varie en fonction de l’âge, selon les souches ou les races. La croissance est surtout accélérée entre 0 et 6 semaines et ralentit et devient coûteuse en énergie Nir et Al (1993).
Selon Enede (2005) les mâles croissent plus rapidement que les femelles, ce qui serait du à l’action des androgènes testiculaires.
Selon INRA (1979) les mâles croissent plus rapidement, car apprennent à consommer plus rapidement les aliments que les femelles. Pourtant selon Bourgon et coll. (1976) les femelles ont une aptitude à déposer plus de gras que les mâles.
Des études faite par Giordani et coll.(1993) sur trois souches de poulet de chair ont montré qu’il y a des différences non négligeables de poids à 8 semaines d’âge ,d’où l’influence des facteurs génétiques sur la croissance des poulets de chair.
Facteurs environnementaux.
Seront ici pris en compte seulement quelques facteurs environnementaux qui sont les facteurs climatiques, facteurs physiques et sanitaires.
Les facteurs climatiques
Les accidents liés à une température ambiante excessive constituent un problème majeur de la filière avicole, tant dans les pays à climat chaud où l’aviculture est en pleine expansion que dans les pays tempérés Trévidy (2000).
Les fortes chaleurs constituent un risque majeur en matière d’élevage avicole. Afin d’éviter les catastrophes lors d’une hausse inhabituelle de température dans les bâtiments, il est nécessaire d’intervenir sur différentes points notamment la mise à jeûn des volailles Afrique Agriculture (2000). Lorsque la température ambiante dépasse 23°C, le premier réflexe de l’animal est de limiter ces apports énergétiques en diminuant sa consommation alimentaire ce qui peut affecter la croissance de l’animal Sanchez et Al (2000). Chez les volailles en croissance, la température est capable de modifier en même temps que la vitesse de croissance, la consommation alimentaire et l’état d’engraissement Enede (2005).
Selon Kolb (1965), une température supérieure à 25°C compromet la prise de poids par réduction de la consommation alimentaire ; ceci est d’autant plus marqué lorsque la température passe de 32°C à 36°C.
Notons également qu’en climat chaud et hygrométrie élevée, les performances des animaux sont inférieures à celles des animaux en climat chaud et hygrométrie modérée Afrique Agriculture (2000).
Les facteurs physiques
Ce sont généralement les bruits brusques,une forte densité, le transport, la vaccination….Ils peuvent entraîner à la longue l’épuisement et un effet immunodépresseur des animaux qui y sont exposés, la conséquence étant un diminution de l’ingéré alimentaire et de la croissance Blood et Henderson (1976).
Les facteurs sanitaires
Les facteurs sanitaires sont représentés surtout par les pathologies parasitaires ou infectieuses. Selon Ahmet (2004) ces facteurs sont responsables de mortalité et de retard de croissance dans nos élevages. L’auteur rapporte qu’au Sénégal la maladie de Gumboro entraîne un taux de mortalité de 13.4%.
Facteurs alimentaires.
La composition des aliments
Les besoins alimentaires du poulet de chair
La croissance constitue l’ensemble des manifestations qui se produisent entre la fécondation et l’épanouissement complet de l’oiseau. Elle comporte le processus de multiplication et d’extension des cellules, qui se traduit du point de vue macroscopique par une augmentation de taille et du poids de l’animal, doublée d’une différenciation des éléments de l’organisme Smith (1992).
Chez le poulet, la croissance est très rapide, le poussin pouvant passer de 38g à un jour à 2kg à 7 semaines d’âge Tesseraud (1999) .Cette croissance va de paire avec une efficacité alimentaire élevée. L’efficacité alimentaire est l’aptitude de la volaille à transformer les aliments en viande. L’aliment doit fournir aux volailles et donc les poulets de chair tous les constituants permettant le renouvellement de la matière vivante, son accroissement éventuel (croissance) pour pouvoir transformer l’aliment en viande avec la meilleure efficacité, l’animal a besoin des glucides, lipides et des protéines, l’énergie et le carburant de la machine animale.
Besoins en énergie
En matière de formulation, la croissance du poulet est étroitement liée à la teneur en énergie de l’aliment. L’effet de la concentration en énergie est d’autant plus marquée que le potentiel de croissance des animaux est plus élevé.
Autrement dit les animaux à croissance rapide ont besoin de consommer des aliments à teneur élevée en énergie Tesseraud (1999).
Selon Kouzoukende (2000), les céréales peuvent représentés jusqu’à 60 à 70 % des rations des volailles car l’accroissement du niveau énergétique conduit toujours à une amélioration de l’indice de consommation.
Traditionnellement, on distingue deux parts dans les besoins énergétiques des animaux ; celle qui concerne leur entretien et celle qu’exige leur production Lapras (1978).
Les besoins d’entretien
Ce sont des besoins qui sont nécessaire au strict maintien de l’homéostasie de l’animal et de l’équilibre énergétique ; autrement dit elle comprend le métabolisme de base, la thermogenèse adaptative (adaptation au froid, thermorégulation en hyperthermie, thermogenèse alimentaire) et l’activité physique.
-Le métabolisme de base est défini par Larbier et Leclercq (1992) comme étant les dépenses énergétiques menées chez un animal au repos et à jeun et dans la zone de neutralité thermique ; on élimine ainsi tous les postes de l’entretien qui par définition, s’ajoutent au métabolisme de base.
-Pour la thermogenèse adaptative les oiseaux sont des homéothermes .Ils doivent maintenir constante leur température interne .L’oiseau doit donc faire face soit à des situations d’hyperthermie (ambiance chaude) ou d’hypothermie (ambiance froide) Mabalo (1997).Dans le dernier cas il doit accroître sa thermogenèse pour compenser l’augmentation des échanges thermiques avec le milieu extérieur. Au contraire aux températures très élevées,ayant atteint le minimum de sa production de chaleur,il doit accroître ces échanges avec le milieu ambiant pour éviter l’hyperthermie Lapras (1978).
-Parlant de la thermogenèse induite par l’aliment Loul (1998) cite que chez les mammifères comme chez les oiseaux, l’ingestion d’aliment entraîne systématiquement une thermogenèse qui constitue une perte inéluctable, surtout chez l’animal élevé en zone de neutralité thermique. L’auteur de poursuivre que tout travail, donc mouvement, déplacement, etc.…, des oiseaux coûte de l’énergie et le rendement énergétique du travail est de l’ordre de 30%, ce qui est assez proche du rendement global de synthèse de l’ATP.Ainsi tout accroissement de l’activité des oiseaux induit celui de leurs dépenses, donc de leurs besoins alimentaires.
Les besoins de production
Les besoins de production comporte d’une part l’énergie contenue dans les productions, et d’autre part les pertes caloriques liées aux synthèses biochimiques du fait que les rendements thermiques de ces réactions sont inférieures à 100% Mabalo (1993).
Selon Larbier et Leclercq (1992) chez les poulets de chair, le type de synthèses réalisées est la croissance tissulaire (muscle, os, plumes..).Le rendement global de transformation de l’énergie métabolisable se situe entre 58 et 85% avec une valeur moyenne de 65%.
Besoins en matières azotées
Le besoin en protéines d’un oiseau étant la nécessité pour celui-ci de recevoir un certain apport en chaque acide aminé essentiel ainsi qu’un apport suffisant en composés azotés à partir desquels les acides aminés non essentiels vont être synthétisés Krogdahl (1985).
Le taux d’incorporation de protéines brutes recommandé pour 3250 Kcal d’énergie est de 20%.Leeson et coll., (1996) en réduisant le niveau d’énergie et le taux de protéines, a remarqué une baisse de la croissance avec une diminution du poids de la carcasse chez les poulets de chair.
Ndoye (1996) a montré que l’apport en lysine de o, 11%et en méthionine de 43%’se manifeste par une augmentation du poids vif d’à peu prés de 27.15%. Selon Trévidy (2000), les taux protéiques élevés permettent de mieux lutter contre la chaleur ; ils compensent la réduction des dépôts protéiques et de la croissance.
Besoins en vitamines et en minéraux
L’aliment intervient dans la croissance aussi par sa teneur en minéraux.
Ce sont principalement le calcium et le phosphore.
En effet, le calcium (Ca) et le phosphore (P) jouent un rôle essentiel dans la croissance spécialement dans la croissance du tissu osseux. Une absence en calcium et phosphore se traduit par une perte d’appétit, une diminution de la croissance et des troubles locomoteurs graves Lapras (1978).
Le squelette concentre 99% et environ 80% respectivement du calcium et du phosphore de l’organisme et de ce fait il est l’élément essentiel de réserve pour les deux minéraux.
Selon Smith. (1992) les vitamines jouent souvent un rôle dans le système enzymatique (Tableau I) bien que l’oiseau n’en a besoin que dans de faibles quantités. Larbier et Leclercq (1992), montrent que le déséquilibre dans l’aliment peut provoquer des troubles sérieux si le niveau de vitamine A dans la ration est trop faible, le taux de croissance se situe en-deça de la normale et la mortalité augmente ; en plus,si l’alimentation n’est pas suffisamment riche en vitamine D3 les volailles seront incapables d’utiliser le calcium et le phosphore contenue dans la nourriture Tesseraud (1999).
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Table des matières
Première partie : Synthèse Bibliographique
CHAPITRE I : Rappel physiologique sur la croissance du poulet de chair
I.1. Mécanisme de la croissance du poulet de chair
I.1.1. Croissance musculaire
I.1.2. Croissance osseuse
I.1.2.1.Ossification de membrane ou endoconjonctive
I.1.2.2.Osssification Endochondrale
I.2. Régulation de la croissance
I.2.1. Rôle des facteurs hormonaux
I.2.2. Rôle des facteurs métaboliques
Chapitre II Facteurs influençant la croissance du poulet de chair
II.1. Facteurs intrinsèques
II.2. Facteurs environnementaux.
II.2.1.Facteurs climatiques
II.2.2.Facteurs physiques
II.2.3. Factures sanitaires
II.3. Facteurs alimentaires.
II.3.1. La composition des aliments
II.3.1.1. Les besoins alimentaires du poulet de chair
II.3.1.1.1.Besoins en énergie
II.3.1.1.1.1.Les besoins d’entretien
II.3.1.1.1.2.Les besoins de production
II.3.1.1.2.Besoins en matières azotées
II.3.1.1.3.Besoins en minéraux et en vitamines
II.3.1.1.4.Besoin en eau
II.3.1.2. Les différents types d’aliments distribués
II.3.1.2.1.Les aliments démarrage
II.3.1.2.2.Les aliments croissance finition
II.3.2. La présentation physique des aliments
II.3.3. Le rythme de distribution des aliments
II.3.3.1.Quelques modes de distribution des aliments chez le poulet de chair.
II.3.3.1.1.La restriction alimentaire
II.3.3.1.2.L’alimentation discontinue
II.3.3.1.3.L’alimentation Séparée
II.3.3.2.Les rythmes de distribution alimentaire.
II.3.3.1. Distribution ad libitum
II.3.3.2. Deux distributions quotidiennes
II.3.2.3.Trois distributions quotidiennes
Deuxième partie : Etude expérimentale
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I.1. Matériel
I.1.1.Matériel Animal
I.1.1.1.Souches utilisées et effectifs
I.1.1.2.Conditions d’élevage
I.1.2.Matériel d’élevage
I.1.2.1.Matériel d’alimentation et de pesés
I.1.2.2.Aliments utilisés
I.1.2.3.Bâtiment d’élevage
I.2.Méthodes
I.2.1. Site et période d’étude
I.2.2. Objectifs
I.2.3.Constitution des lots de poulets
I.2.4.Evaluation de la consommation alimentaire
I.2.5.Evaluation des performances de croissance
I.3. Analyse des résultats
I.3.1.Collecte des données
I.3.2.Analyse statistique
I.3.3. Analyse économique
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSION
II. 1.Résultats
II.1.1.Influence du rythme de distribution des aliments sur la consommation alimentaire
II.1.2. Influence du rythme de distribution des aliments sur les performances de croissance
II.1.2.1.Influence sur l’évolution pondérale
II.1.2.2.Influence sur l’indice de consommation
II.1.2.3.Influence sur le Gain Moyen Quotidien (GMQ)
II.1.2.4.Influence sur la mortalité
II.2.DISCUSSION
II.2.1Méthodologie
II.2.2.Influence du rythme de distribution sur la consommation alimentaire
II.2.3.Influence du rythme de distribution des aliments sur les performances de croissance
II.2.3.1.Sur L’évolution pondérale
II.2.3.2.Sur le GMQ
II.2.3.3.Sur l’indice de consommation
II.2.3.4.Sur le taux de mortalité
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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