PFE & RAPPORT LES INSECTES RAVAGEURS ET LES ENNEMIS DU COTONNIER,LES METHODES DE LUTTE PDF
Introduction générale
Première partie
I. Matériels et méthodes
1.1 Matériels
1.2 Méthodes
Deuxième partie
II. Les résultats
2.1 Accidents et maladies du cotonnier
2.1.1 Accidents
2.1.1.1 Facteurs physiques
2.1.1.2 Facteurs chimiques
2.1.1.3 Facteurs physiologiques et génétiques
2.1.2 Maladies de nutrition
2.1.3 Maladies dues à des Champignons et Bactéries
2.1.4 Maladies dues à des virus et Mycoplasmes
2.1.5 Nématodes
2.2 Les principaux éléments de la faune nuisible au cotonnier
2.2.1 Les ravageurs des semis, des plantules, des tiges et des racines
2.2.2 Les parasites des feuilles
2.2.3 Les ravageurs des organes florifères et des capsules
2.3 Les méthodes de lutte
2.3.1 La lutte chimique
2.3.2 Lutte intégrée
2.3.4 Méthodes agronomiques pour la protection des cultures
2.4 Les matériels de traitement
2.4.1 Appareils manuels
2.4.2 Appareils mécaniques
III. Discussion
Conclusion
Bibliographie
Conclusion générale
Rapport PFE, mémoire et thèse avec la catégorie les moyennes de rendement |
Étudiant en université, dans une école supérieur ou d’ingénieur, et que vous cherchez des ressources pédagogiques entièrement gratuites, il est jamais trop tard pour commencer à apprendre vous trouverez ici des centaines de rapports pfe spécialement conçu pour vous aider à rédiger votre rapport de stage, vous prouvez les télécharger librement en divers formats (DOC, RAR, PDF).. Tout ce que vous devez faire est de télécharger le pfe de Bestpfe.com et ouvrir le fichier pfe PDF ou pfe DOC. Ce programme spécifique est classé dans la catégorie fabriqua à petite échelle sciences où vous pouvez trouver quelques autres mémoires informatique similaires.
Actuellement, de plus en plus de gens sont prêts à partager leurs travaux pfe, mémoire, thèse.. avec les autres et ils ne veulent pas de compensation pour cela. Le rapport LES INSECTES RAVAGEURS ET LES ENNEMIS DU COTONNIER,LES METHODES DE LUTTE est un rapport complet pour aider les autres étudiants dans leurs propres travaux. |
La culture du coton a été pratiquée à Madagascar bien avant l’époque coloniale. Entre 1903 – 1906, dans l’Ouest et dans le Sud du pays, on fabriqua à petite échelle des tissus avec les fibres du cotonnier. Et entre 1926-1933 aussi on cultive du cotonnier dans la région du Lac Alaotra. (KUKLINSKI Franck. 2000) Un regard sur l’évolution des surfaces révèle qu’après la chute de rendement en 1987 (11378ha par rapport à 27731ha en 1986) et une regression au début des années 1990, le coton pluvial se trouve en nette progression et occupait en 1998, 22613ha dont 1t/ha.
Par contre, on constate une stagnation sur la petite surface irriguée (en moyenne entre 1000 à 1500ha) et de la culture de décrue (9720ha). Et les moyennes de rendement sont tombées au-dessous de 2t (1,792t par ha en 1998). (KUKLINSKI Franck. 2000).
Le genre botanique Gossypium comprend des variétés chez lesquelles les graines sont couvertes de poils unicellulaires (soie), utilisables par l’homme, et d’autres qui ne sont pas exploitables et par conséquent ne sont pas cultivées. Les principaux cotonniers cultivés sont les races appartenant essentiellement aux Gossypium hirsutum et Gossypium barbadense, accessoirement à Gossypium arboreum et à Gossypium herbaceum. (DELATTRE R. 1973).
